La fessée du père de famille
Auteur : TSM
Il n’ira pas au tribunal et ne sera pas condamné mais cette fessée là, elles s’en souviendront ! Karine et sa mère sont devenues très complices après les années difficiles de l’adolescence. Par une belle après-midi d’été, elles discutent à bâton rompu entre femmes et parlent de leurs souvenirs d’enfance puis d’adolescente.
Sophie se laisse aller en confidence en racontant qu’elle cherchait parfois à énerver son père pour avoir une fessée, qui malgré les douleurs et la honte, la laissait pantelante et intimement troublée. En discutant ainsi sans tabou, elle ouvre la voie des confidences ce qui lui permet d’en savoir un peu plus sur les coquineries de sa fille. De fil en aiguille, Karine avoue à sa mère que son copain lui met parfois de petites fessées érotiques en guise de préliminaire aux câlins amoureux. A son tour Sophie avoue à sa fille qu’elle aimerait bien que son mari lui en donne une de temps en temps avant d’ajouter que cela dynamiserait peut-être un peu leurs relations conjugales devenant de plus en plus platoniques.
Comme à son habitude, Karine provoque sa mère et la pousse dans ses retranchements pour qu’elle s’abandonne en confidences, Sophie finit par dire à sa fille que rien que d’en parler elle est toute excitée.
- Et si je te donnais une petite fessée ? Demande Karine.
- Voyons ma fille, ce n’est pas possible, je suis ta mère !
- Cela change quoi, nous sommes entre femmes, personne ne le saura et après tout, nous ne ferions rien de mal.
Sa fille étant très persuasive, Sophie finit par accepter de jouer le rôle de la coquine qui, après s’être faite gronder, va prendre une fessée. Au moment de se coucher sur les genoux de sa fille, elle hésite, trouve cela pas convenable, puis finit par céder. Karine trousse sans aucune gêne la petite robe d’été puis entreprend de claquer les fesses de sa mère. Ni l’une ni l’autre ne voit de mal à cela, au contraire, elles rigolent comme des folles et se taquinent. Les petites claques données Karine sont réellement un simple jeu, jamais au grand jamais elle ne lèverait la main sur sa mère.
QUE FAITES-VOUS ! Crie le père en entrant dans la pièce au moment ou Karine dit à sa mère : « Maman, tu as un très beau cul pour ton âge » !
La honte ! Elles sont mortes de honte d’avoir été surprises dans ce petit jeu complice et surtout sans aucune arrière pensée. Le père ne l’entend pas de cette oreille, que sa fille donne une fessée à sa femme et qui plus est, sa mère, n’est pas concevable. Les excuses bredouillées n’apaisent en rien sa colère, bien au contraire, car deux femmes rougissent et s’embrouillent dans leurs propos quand elles parlent de la fessée.
- Puisque vous êtes en manque de fessée, et bien je vais t’apprendre moi à donner des fessée en commençant par t’en coller une ! Répond Henri ayant bien compris qu’il n’y avait rien de mal et qu’elles s’accordaient un petit délire entre femmes. Les voir complices après des années difficiles le comble de bonheur.
Karine a bien essayé de dire « tu ne vas pas oser » sans grande conviction, en un rien de temps elle se retrouve allongée sur les genoux du père qui ne se prive pas de claquer le magnifique fessier de sa fille. La puissance des claques données sur son postérieur le fait rapidement rougir, sa fille crie et s’agite mais il n’en a que faire. Voir son mari fesser sa fille excite Sophie qui dans un geste réflexe pose sa min entre ses cuisses avant de la retirer aussitôt. Ce geste furtif Henri et Karine l’ont vu, ils en rigolent et se moquent d’elle.
- A ton tour coquine ! Dit Henri en aidant sa fille à se relever.
Sophie rouge comme une écrevisse essaye de résister, elle a trop honte.
- Après ce que j’ai vu et entendu en arrivant, tu ne vas pas faire ta mijaurée, tu es en manque de fessée, je vais donc y remédier !
Tirée sur les genoux de son mari, elle ne résiste plus et s’y couche sous les rires de sa fille qui frotte ses fesses endolories et rajoute même : « à ton tour maman » ! Ni une ni deux, Henri donne des claques appuyées et sonores sur le cul de sa femme en y prenant un certain plaisir. Sophie crie, rigole nerveusement, s’agite mais ne parvient pas à s’échapper des bras de son mari s’en donnant à cœur joie. Lorsqu’il sent monter en lui une grande excitation, le fait de s’exciter devant sa fille le gêne beaucoup, il met aussitôt un terme à la fessée, ordonne à sa fille d’aller au coin et y envoie son épouse en espérant qu’elles ne voient pas qu’il bande sous son pantalon.
Voir les fesses rouges de sa femme et sa fille côte à côte est une vision érotique ne manquant pas de charme.
EPILOGUE
Depuis ce jour là, il n’a plus jamais fessé sa fille, contrairement à Sophie car la fessée entrée dans leurs pratiques, a donné un coup de fouet à leurs relations intimes. Ils se sont d’ailleurs inscrits sur Fessestivites pour faire des rencontres autour de la fessée.
TSM