• Milking par une magnifique et cruelle Maîtresse

    Veuf à 55 ans et sans enfant j'ai décidé de vivre ma vie et mes fantasmes. Les dominatrices professionnelles m'ont fait faire mes premiers pas mais aussi bien soient-elles cette vie n'a pas la saveur d'un cœur à aimer et à servir. Quand je parle d'aimer, je parle d'affection, si sexe il y a c'est que Madame en éprouvera le désir.

    Milking par une magnifique et cruelle Maîtresse

    Veuf à 55 ans et sans enfant j'ai décidé de vivre ma vie et mes fantasmes. Les dominatrices professionnelles m'ont fait faire mes premiers pas mais aussi bien soient-elles cette vie n'a pas la saveur d'un cœur à aimer et à servir. Quand je parle d'aimer, je parle d'affection, si sexe il y a c'est que Madame en éprouvera le désir.

    J'ai rencontré il y a quelques mois, une Magnifique Maîtresse dont je ne dirai pas le nom car elle ne souhaite pas que l'on fasse de la publicité sur ces activités. Bien qu'elle soit une professionnelle, cette femme est envoutante, sa domination n'est pas chronométrée. Elle entre dans la tête des gens pour les faire évoluer puis les combler « s'il le méritent » comme elle se plait à le dire.

    Je garderai en mémoire cette séance qui fut dure pour moi mais cela fait partie de ma formation dit-elle. Il y a quinze jours, j'ai osé lui demandé si je pourrai jouir lors d'une séance et sa réponse m'a déstabilisé. « Que m'offres-tu en échange » ?

    Avec toute les formes d'usage que se doit d'avoir un soumis lorsqu'il s'adresse à sa Maîtresse, j'ai répondu avec beaucoup de gêne que je la rétribuais. Dans ses yeux, j'ai vu passer une colère froide qui m'a fait froid dans le dos. Ma réponse ne lui a pas plut, voilà en quelques mots ce qu'elle m'a répondu :

    « Me défrayer du temps que je passe avec toi est une chose, par contre, je ne suis pas à vendre ni à louer. Même avec une poigné de billets de 500 euros, jamais un soumis ne me fera faire ce que je n'ai pas envie de faire tu entends, jamais. Un soumis chez moi se doit d'accepter la domination qui me plait, qui m'amuse, les soumis sont mes jouets pas autre chose. Ta réponse est lamentable et irrespectueuse; tu mériterais que je te vire sur le champ et te rende ton fric ».

    Je ne savais plus où me mettre, j'avais honte car sa colère n'était pas feinte. Au plus je m'excusais, au plus elle s'énervait. En guise de punition, j'ai du passer deux heures au coin avec les mains sur la tête. Si je baissais les bras ou refusais, elle me virait cash et croyez-moi, cette magnifique Maîtresse me faisait peur même si j'ai fait 15 ans de commando et que me battre ne me fait pas peur malgré mon âge. J'ai donc accepté sa punition sans broncher ni même ouvrir la bouche car je ne voulais pas la perdre et retomber chez des Maîtresses sans classe ni cœur. Deux heures les bras sur la tête, croyez-moi c'est long et douloureux.

    Deux heures plus tard avec de sérieuses douleurs dans les épaules, j'ai du lécher ses pieds en écoutant la grande « messe » avec une interdiction de parler. Elle m'a expliqué qu'un soumis doit répondre « ce que vous voulez Maîtresse » quand elle lui demande « qu'est-ce que tu m'offres en échange » ou alors lui proposer quelque chose que l'on n'aime pas pour lui démontrer qu'il y a une logique de présent et d'effort pour lui plaire.

    Pour me « récompenser » d'avoir accepté sans broncher ma punition, elle m'a annoncé que j'allais jouir mais qu'en échange, j'allais devoir accepter ses conditions.

    Ses conditions, elle ne me les a pas indiquées, j'ai du accepter l'échange sans savoir ce que j'allais devoir lui offrir.

    Milking Maîtresse

    Maîtresse m'a demandé de m'étendre sur sa banquette en cuir pendant qu'elle préparait ces accessoires pour que je puisse jouir. Son regard perfide ne me disait rien de bon mais comme j'ai confiance en elle, je me suis laissé attacher les mains derrière la tête. Pour m'exciter à mort, elle s'est mise torse-nu offrant à mon regard sa magnifique poitrine tout en jouant avec mon sexe. Je bandais comme un âne même si je n'avais aucune idée de ce qu'elle allait faire avec l'assiette et la petite cuillère posées près de nous. Quand Maîtresse s'est approchée de moi avec une espèce de bâillon fait d'un long tube, un doute m'est venu sur ses intentions. En bon soumis obéissant, j'ai ouvert la bouche et je l'ai laissée me le mettre puis fermer les sangles. Maîtresse en a rajouté une pour que je ne puisse plus bouger la tête, j'avais un peu peur qu'elle m'oblige à boire son urine, car c'est quelque chose qui me dégoute.

    Assise sur une chaise entre mes jambes, elle s'est amusée avec mon sexe bandé à mort. Elle m'a branlé avec ses pieds, ses mains, parfois les deux en même temps c'était divin. Les pieds sur mes couilles comme si elle voulait les presser de leur jus, Maîtresse m'a conduit à la jouissance à son rythme et sans ce presser. Ce qui m'a perturbé c'est l'assiette qu'elle a posé sur mon ventre avant de me faire exploser.

    Sans même me laisser le temps de reprendre mes esprits, elle est venue s'asseoir sur mon ventre et me regardait avec un sourire malsain posé sur ses lèvres. Ses yeux brillants m'envoutaient totalement tout comme la chaleur de son corps sur le mien.

    Milking Maîtresse- C'est pour qui tout ça ? M'a demandé Maîtresse en me faisant voir mon sperme dans l'assiette.

    Et là j'ai compris ce qu'il allait m'arriver. Toujours avec son sourire diabolique, elle recueillait mon sperme à la petite cuillère en m'indiquant que j'allais tout boire, que ce serait mon petit « cadeau » de remerciement pour m'avoir fait jouir. J'étais blême mais comment lui échapper ? Avec un grand sourire sadique et un regard pervers, Maîtresse a vidé la cuillère dans le tube de mon bâillon. J'étais fait, fait comme un rat et sans repli possible. C'était dégelasse et pour m'en débarrasser avaler au plus vite était la seule solution. Maîtresse ne comptait pas en rester là. Elle s'est levée, et pour la première fois depuis que je suis son soumis, elle a retiré sa culotte. Oh ce n'était pas pour le plaisir de mes yeux, non, c'était pour s'en servir comme un morceau de pain et essuyer l'assiette. Sans se presser et avec un rire sadique, elle m'a clairement fait comprendre avec des mots choisis que je n'avais pas le droit d'en laisser dans l'assiette quand elle a enfoncé la culotte « morceau de pain » dans le tube du bâillon.

    Pour m'obliger à lécher sa culotte, elle m'a pincé le nez puis l'a enfoncée dans le tube qu'elle a refermé de sa main comme pour m'étouffer. Je n'avais pas d'autre choix que de lécher le tissu soyeux hélas imbibé de mon sperme.

    La prochaine fois, j'hésiterai sûrement à lui demander de jouir !

    Pour-vous-servir

    Témoignage recueilli par TSM de Fessestivites

    Les photos sont ICI

    http://www.fessestivites.com/fre/Article/15_Domination-feminine-Gynarchie-SM-chastete-camisole/albums/4092_Milking-par-une-magnifique-et-cruelle-Maitresse.html

    La vidéo est ICI

    http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/7_BDSM-homme-soumis-Gynarchie-SM/2523_Milking-par-une-magnifique-et-cruelle-Maitresse.html

    « Kife mes pompes et lèche mes pieds soumisLe colocataire soumis humilié et dominé »
    Tags Tags : , , , , , ,