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Le colocataire soumis humilié et dominé
Par TSM dans Histoires érotiques le 9 Avril 2013 à 13:02Tags : gynarchie, BDSM, maitresse, soumis, marché aux esclaves, soumisesSoumisympa nous raconte ses premiers pas dans la soumission avec des colocataires dès plus surprenantes.
Le colocataire soumis humilié et dominé
Soumisympa nous raconte ses premiers pas dans la soumission avec des colocataires dès plus surprenantes.
Je cherchais un studio mais en vain, je me suis donc orienté vers la colocation, chose qui ne m'amusait pas mais bon, il me fallait bien trouver un toit. De petites annonces en petites annonce et appartements miteux, je suis tombé sur un appartement luxueux avec deux filles ravissantes. Une Hollandaise prénommée Brenda et une Canadienne prénommée Lisa étaient déjà dans la place lors de mon installation. Elles m'ont fait clairement comprendre dès mon arrivée que j'avais intérêt à ne pas foutre le bordel et qu'elles n'étaient pas ma mère.
Si la collocation se déroulait bien, j'avoue avoir été surpris par l'impudeur des filles qui se promenaient parfois à poil dans l'appartement sans aucune gêne. De vous à moi, elles ne gâchaient pas le paysage..... Ce qui m'ennuyait un peu c'était le caractère de Brenda qui, se prenait pour la maîtresse de maison et n'hésitait pas à diriger son fonctionnement sans aucune concertation. Un samedi matin, alors que je devais partir de bonne heure pour une virée en moto avec des pots, j'évoluais en slip entre la salle de bain et la cuisine et là, surprise, la porte de la chambre de Brenda était entrouverte. Mon œil de voyeur n'a pu résister à l'envie de voler un peu de son intimité et il n'a pas été déçu. Les deux gazelles étaient étendues à poil sur le lit lovée l'une contre l'autre avec un gode-ceinture posé sur le sol aux pieds du lit.
Je n'arrivais pas à décrocher mes yeux de ce charmant duo féminin et comme un gros couillon que j'étais, je me suis tapé une branlette debout devant leur porte. Et là, alors que dans mes songes érotiques les plus fous j'étais entre ces deux charmantes demoiselles, j'ai fermé les yeux pour m'abandonner au plaisir. Une grande gifle accompagnée d'un volume d'insultes m'ont arraché à mes rêves. La main pleine de sperme, mort de honte j'ai fait volte face pour partir en courant dans ma chambre. Un quart d'heure plus tard, le pauvre étudiant rouge comme une écrevisse s'est fait coincer dans le couloir par deux furies. Autant dire que j'ai passé un sale quart d'heure.
Si la virée en moto fut géniale, le retour à la maison me posait souci. « Convoqué » ou tout comme au salon par les filles calmées, j'ai du m'expliquer et m'excuser de mon manque de discrétion. Lisa tempérait la discussion, Brenda mettait la pression et moi, j'étais comme un punching ball pris en tenaille entre deux filles malgré tout décidées à en découdre. Pour m'en sortir, j'ai fait deux tonnes de compliment sur leur beauté tout en leur faisant remarquer que jusqu'à présent, je ne leur avais jamais manqué de respect ni essayé de les draguer en leur indiquant que ce n'était pas l'envie qui me manquait.
- Je suis sûre que tu nous as espionnées hier soir, voir même d'autres soirs, met-toi à genou et fais-nous des excuses. M'ordonna Branda
Allez donc savoir pourquoi j'ai accepté ?
- Tu vois que c'est un soumis, j'avais raison ! Cria Brenda à son amie, j'avais raison. Je suis sûre qu'il a des livres SM dans sa chambre.
J'ai eu beau réfuter, elles ne m'ont pas cru et quand elles m'ont proposée d'aller vérifier, mon refus troublé les a confortées dans leur position. Brenda a attrapé mon oreille puis m'a dirigé entre ses cuisses où elle y a coincé ma tête comme dans un étau. J'étais fait, fait comme un rat. Un rat qui effectivement avait des fantasmes de soumission et des livres porno SM dans sa chambre. Je suis maintenant convaincu qu'elles avaient fouillé ma chambre en mon absence.
Attiré sur les genoux de Brenda, j'ai donc pris ma première fessée à travers mon jean. Cette fessée n'a fait mal qu'à ma fierté grâce au jean, par contre, par mon acceptation, je leur accordais le droit de me dominer. Relevé par les cheveux par Brenda bien plus grande que moi, je n'ai pas vu arriver sa main venue tâter mon entrejambe.
- Mais il bande ce salop ! Cria Brenda amusée.
Lisa vérifia ses dires en me tâtant sans vergogne, puis, dans sa lancée, elle entreprit d'ouvrir mon pantalon. Malgré mes réfutations, ce dernier s'est retrouvé à mes chevilles, Lisa m'a attiré sur ses genoux et fessée à son tour en prétextant qu'elle y avait droit aussi.
Les choses se calmèrent grâce à Lisa qui décida qu'il était temps que j'aille préparer le repas. Pendant le diner, nous avons longuement discuté mais cette fois de façon plus cordiale sur le SM, la fessée et tous ces sujets forts plaisants pour ma libido exacerbée. Ce jour là, j'ai aussi découvert que les filles peuvent avoir un langage très cru pour parler du sexe mais j'appris aussi que Brenda tournait dans quelques filles pornos pour arrondir ses fins de mois d'étudiante.
Le lendemain après le petit déjeuner en petite tenue, Brenda me demanda de me lever puis vint vers moi avec un énorme rouleau de cellophane. Malgré mes timides réfutations, elle attacha mes bras le long du corps en tournant autour de moi pour recouvrir mon buste de cellophane. Je ne me suis pas méfié pensant que ce plastique ne résisterait pas à ma force, que nenni, après plusieurs tours, mes bras étaient bel et bien bloqués. Une fois saucissonné entre les mains de cette furie dominatrice dans l'âme, je devenais son soumis, son jouet.
- Ah tu n'osais pas me draguer, mais en clair, tu aurais bien aimé me baiser avoue petit soumis ! Me dit Brenda en malaxant mes couilles à travers mon slip. Et bien tu vas le faire mais à ma façon.
Elle retira mon slip ce qui commença à me faire bander mais elle le remplaça aussitôt par une culotte de filles à carreau en m'indiquant que c'était pour me donner le côté féminin qui lui convenait pour baiser. Lorsque je lui ai indiqué que cela me gênait, elle me mit du scotch noir sur la bouche pour me faire taire. Lisa lui apportant leur gode ceinture me fit très peur car j'ai cru qu'il était pour moi. Elle me fit lever les pieds puis m'enfila leur gode-ceinture qu'elle attacha à ma taille avec les regards ravageurs d'une femme qui va vous croquer. Brenda me fit m'étendre sur le canapé et entreprit de faire des câlins au gode-ceinture ! ! ! !
Toujours sans aucune pudeur, elle souleva sa chemise de nuit pour se caresser la chatte en me disant quelle n'était pas pour moi. Et là, elle m'enjamba pour s'empaler sur le gode ceinture pendant que son amie filmait la scène. J'étais aussi blême qu'excité car une blonde plantureuse vorace qu'il s'empale sur vous, cela ne laisse pas indifférent. Elle s'éclatait autant sur le gode qu'à m'allumer avec des mots crus que je n'écrirai pas. Une fois sa fougue apaisée, elle est allée lécher le gode en me lançant des regards narquois qui en disaient long sur le plaisir qu'elle éprouvait à me dominer.
Elles m'ont planté là, attaché et sont parties faire un gros câlin dans leur chambre en me disant d'être sage.
Témoignage recueillit par TSM journaliste de Fessestivites.
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