• La découverte de moi-même avec un Maître

    La découverte de moi-même avec un Maître

    Une histoires émouvante sur la soumission et le BDSM

     

    La première chose que mon Maître m'a apprise, c'est à être femme. Je sais que cela peut surprendre, ces choses devraient se découvrir par soi-même, au fil de l'apprentissage des choses et des rencontres que l'on fait lorsque l'on débute dans la vie.

     

     Je me crois jolie, attirante même si comme beaucoup de femmes j'avais honte de mon corps, chose qui n'est plus grâce à lui. J'ai perdu ma virginité un peu avant mes 19 ans et j'ai eu des rapports sexuels sans vraiment y prendre plaisir. C'était bien bon mais sans plus. Dans ma tête j'avais des fantasmes BDSM, les livres et internet ont alimenté ma libido, mais je me croyais décalée, anormale.

     

     J'étais à deux doigts de tout laisser tomber quand j'ai rencontré mon Maître sur Fessestivites, celui qui a su me guider dans la soumission, me faire accepter mon corps, mes envies, mes fantasmes et surtout m'apprendre à être une femme dans un lit.

     

     Après x et x emails et heures de tchat, j'ai accepté de le rencontrer dans une brasserie. Il a été d'une courtoisie étonnante, d'une gentillesse et patience d'ange puis ne m'a pressée en rien. Lors de notre premier rendez-vous, il a commencé par m'inviter au restaurent en jouant le "papa" qui guide sa soumise pour qu'à table sa tenue ne soit pas négligée. Cela m'a valu une petite fessée ultra gentille et une longue discussion après la fessée. Enfin un mec qui ne voulait pas se servir du BDSM pour avoir une gâterie ou me sauter !

     

     Comme je me sentais en sécurité avec lui, j'ai accepté qu'il me fasse un shibari. Pendant cette soirée corde, il n'a eu aucun geste déplacé, bien au contraire, il a souhaité pour un premier bondage que je reste vêtue. Alors que j'étais totalement entravé, il m'a proposé de vivre quelque chose de plus érotique en restant "bien entendu vêtue " avait-il précisé. Et là, il a sorti un magic wand massager qu'il a promené sur tout mon corps avant d'en arriver à la zone sensible chez une femme. A travers mes vêtements c'était soft mais franchement torride car j'étais à la merci de ses désirs de jouer avec mon plaisir. Il m'a rendue folle ! S'il avait voulu aller plus loin, j'étais déjà prête ce soir là mais il n'en a pas profité.

     

     Le week-end suivant, il a travaillé sur mon "lâché prise" dès le vendredi soir en m'indiquant qu'il allait me dévêtir et me faire des choses. Pour cela il m'a tendu des menottes en me demandant de les mettre moi-même en signe de soumission puis d'aller me mettre debout penchée en avant les mains contre un mur. Au lieu de me dévêtir il a commencé par me vêtir en posant un bandeau sur mes yeux.

     

     Encore une fois sa douceur dans les gestes lents et posés m'a rassurée. Se faire dévêtir en étant menottée et aveuglée est grisant même si l'on est pudique. La partie BDSM a commencé réellement ce soir là. Ses mains sur moi enflammaient mes sens, je me sentais déjà sa "chose". Penchée en avant jambes écartées et nue je m'attendais à me faire prendre, en guise de sexe, j'ai eu droit à de petites pinces à sein puis des coups de martinet soft sur tout le corps y compris entre les jambes. C'est chaud mais c'est bon !

     

     Il m'a faite ensuite mettre à quatre pattes puis marcher jusqu'à son canapé où il m'a demandée d'attendre. Je m'attendais à ce qu'il me demande une gâterie quand le bruit d'un bouchon de champagne m'a faite sursauter. Quelques secondes plus tard une main guidait ma tête, il m'ordonnait de boire dans le creux de sa main. Cela s'est fait plusieurs fois avant qu'il m'ordonne de prendre des positions très sensuelles. A chaque fois il me complimentait sur la beauté de mon corps. Imaginez-vous nue, les yeux bandés en train de prendre des postures très coquines à 20 ans, devant un monsieur qui a le double du votre. C'est chaud !

     

     Alors que j'étais étendue sur le dos comme une petite chienne qui a les pattes en l'air, il a fait couler le champagne sur mes seins et ma poitrine avant de venir le boire en lutinant mes tétons au passage. Quand il a fait de même avec mon sexe, j'étais prête, j'avais envie de lui, d'être la petite chienne soumise de mes fantasmes. Il m'a imposée de le lui dire, j'aurai eu de la peine à réfuter, j'étais trempée. Oui mais avouer que l'on veut être prise comme une chienne à 20 ans, c'est chaud !

     

     Il a été doux au départ, a essayé ensuite la manière plus hard d'un rapport sexuel sans jamais parvenir à me faire jouir. C'était bon mais sans plus. Après cette partie de sexe, il m'a demandé de me lever puis m'a portée jusqu'à sa chambre sans retirer mes menottes et là, j'ai eu droit à un gros câlin puis quelques questions qui m'ont poussée à lui dévoiler que je ne connaissait pas la jouissance. Dans ses bras j'étais bien, ma langue se déliait, ma pudeur tombait peu à peu.

     

     Le lendemain, il m'a dit avoir un grand projet pour moi et qu'il espérait faire de moi une femme comblée si tenté que je lui renouvelle ma confiance. Lorsque j'ai voulu savoir ce qu'il mijotait, il m'a simplement répondu c'est une surprise. Après une ballade en ville et un petit restaurent, nous nous sommes retrouvés chez lui. En guise de départ de jeu, il m'a demandé d'aller prendre une douche et de l'attendre nue dans la salle de bain. Quand il m'a rejoint je sortais de la douche, il m'a tendue un bandeau en me demandant de le mettre. Portée jusqu'à sa chambre je me suis retrouvée nue couchée sur le lit. Avec douceur il a commencé à entraver mes jambes très écartées, j'étais convaincue qu'il allait me prendre. Qu'elle erreur il a fait pire.

     

     Il a ensuite attaché mes poignets très écartés, dans cette position je ne pouvais pas être plus offerte à ses envies. Et là, au lieu de se jeter sur la chair fraîche, il m'a dévorée par petits bouts. Il a mangé mes jambes, mes pieds, mes cuisses en évitant mon sexe tout en le frôlant puis a tracé de sa langue des chemins imaginaires sur ma poitrine en évitant mes tétons. Je n'en pouvais plus, j'avais envie de plus "consistant" mais il était le Maître, le Maître de mes sens en ébullition. Soudain mes seins sont devenus ses proies, en alternant petits pincements, baisers doux et petits coups de dents il m'a rendue folle, folle de désir.

     

     La cible suivante a été mon chaton, caressé, palpé, embrassé, ouvert avant que mon clitoris subisse l'attaque de sa langue habile. Je mourrais d'envie de le serrer dans mes bras, les entraves ne me le permettaient pas, même en tirant dessus quand les sensations physiques me rendaient folle. Ces jeux d'allumage d'une pauvre soumise innocente ont duré au moins une heure, une heure d'enfer, une heure de pur bonheur. Quand il est monté sur le lit pour prendre place entre mes cuisses maintenues écartées par les entraves, je mourrais d'envie de lui. Ce sadique n'avait pas encore envie d'occire sa victime sur l'estrade des condamnées. Non il a fait pire !

     

     Mon sadique Maître a joué du gland juste à la porte de mon sexe devenu affamé, en titillant mon clitoris avec son magic wand. Au bout d'un moment, je me tendais vers lui pour être enfin prise, j'étais devenue une chienne en chaleur, c'était horrible de ne pas être prise, de ne pas le sentir en moi. Tous les pores de ma peau étaient devenus des capteurs sensoriels, la moindre de ses caresses, le moindre frôlement m'arrachait des gémissements et des plaintes de louve en manque.

     

     LA POSSESSION

     

     La possession c'est faite de la même manière que l'heure de perversion des sens, la douceur poussée à son paroxysme dans la pénétration. Elle a été lente, très lente et profonde, ce n'est que quand j'étais totalement comblée de son Priape qu'il s'est allongé sur moi et m'a embrassée. A ce moment là, je n'étais plus qu'un sexe en manque de vigueur et j'ai été servie au-delà de mes espérances. Le marteau piqueur des sens s'est abattu sur moi, pincée, embrassée, baisée fortement, j'ai perdu pied et crié en tirant sur mes entraves. Tout devenait trop fort, trop jouissif, trop..... il a fait la sourde oreille à mes suppliques et mes "non" pour me conduire au nirvana. C'était la première fois que je découvrais ce que signifie jouir.

     

     Libérée et recroquevillée dans ses bras, j'ai pleuré, tremblé, mes bras n'étaient pas assez forts pour me serrer contre lui. Je venais de devenir femme.

     

     Le samedi soir, il m'a entravée nue comme sur l'image, je n'avais plus qu'une idée en tête, être sa chose et il en a joué en me laissant savourer le plaisir de l'offrande et des courants d'air grisants. C'est dans cette position que j'ai enfin pu remercier de ma bouche le sexe qui m'avait rendu si heureuse et soumise. Quel bonheur !

     

     Ecrivaillon

     

     

     

    QUELQUES LIENS

     

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