• Une femme découvre la soumission au gîte fétichiste

    Lors de leurs vacances en Espagne, une femme découvre les plaisirs du BDSM avec son mari coquin

    Une femme découvre la soumission au gîte fétichiste

    Cela faisait un moment que Paul me parlait de BDSM et, personnellement, cela me faisait peur. Certes, j’avais bien quelques fantasmes coquins mais de là à les vivre... Ce coquin m’a bien eue en me promettant que nous ne ferions que l’amour dans la chambre LOVE !

    A notre arrivée, j’étais un peu tendue. Cela n’a pas duré car l’accueil est aussi simple que chaleureux. C’est vraiment l’esprit « vacances » à la campagne qui est mis en avant. Après nous avoir aidé à décharger nos affaires et expliqué rapidement le fonctionnement du gîte, Marc nous a fait visiter sommairement le parc, l’immense verger en nous disant que nous pouvions aller cueillir des fruits, si nous en avions envie ou nous y amuser. Sous-entendu perçut par Paul comme vous le constaterez plus tard.

    Jusque là, c’était l’esprit « vacances » à la campagne mais cela n’a pas duré. Après nous avoir fait voir la piscine en nous précisant que nous pouvions y faire du naturisme, il a ouvert une porte donnant sur ce qu’il a appelé : les lieux de perditions. OUF ! C’était la première fois que j’entrais dans un donjon et si cela est excitant à voir sur internet, en réel, c’est troublant.

    Marc nous a fait voir pour la climatisation, les jeux de lumières, la télécommande du treuil puis les accessoires et mobilier à notre disposition. A chaque fois, il donnait très sommairement des exemples d’utilité... Les yeux de Paul brillaient d’envie ! Lorsque Marc nous a précisé que nous pouvions aussi sortir du matériel pour jouer ou faire l’amour à la piscine, dans le parc ou le verger, je me suis décomposée en imaginant que mon mari allait avoir ces envies.

    Accompagnés à l’accueil, un ancien moulin restauré, pour y faire les papiers, j’étais encore troublée par ce que j’avais vu dans le « lieu de perdition ». Autant dire qu’une fois seuls, Paul n’a pas tardé à vouloir y retourner. Il m’a attrapée et jetée sur le lit de la chambre LOVE pour me dévorer de bisous.

    Un bisou en appelant un autre, dans ces lieux grisants, le plaisir charnel semble décuplé.

    Comme par hasard, le lit de la chambre love est équipé de menottes permettant d’attacher une personne. Paul a retiré ma culotte et m’a donc entravée les bras et jambes en croix pour continuer de me dévorer de bisous et caresses. Il m’a soudain abandonnée pour aller chercher un gros vibro dans les X sextoys du donjon. Branché à la rallonge fixée à la tête du lit, j’ai du « subir » ses attaques sensuelles sans même pouvoir le caresser à mon tour ni même, l’étreindre.

    « Obligée » de subir un tsunami de caresses, de bisous avec en plus, un truc qui vibre contre votre bouton magique, cela donne des envies de plus. J’ai fini par lui dire de me prendre tant j’étais excitée. Il n’a pas tardé et, pour la première fois, je me suis vue dans le miroir situé au dessus du lit. J’ai découvert les fesses de mon mari en pleine action mais aussi que mon visage peut être très expressif...

    Paul avait commandé le repas livré dans le réfrigérateur du gîte. Si bien qu’après la douche, j’ai mis la table et réchauffé le repas au micro-onde. Mon mari n’avait pas l’air d’avoir faim et n’avait pas encore pris sa douche. Il lisait et sa lecture semblait passionnante au point de m’oublier ! ! ! J’ai compris la raison de cette soudaine passion pour la lecture, quand il est allé prendre sa douche.

    Sur la table du gîte se trouvent deux classeurs. Un avec toutes les infos pratiques et touristiques pour les touristes, l’autre appelé « le classeur des vraies bonnes mauvaises idées ». C’est en quelque sorte le tutorial pervers des installations coquines. Mon mari avait trouvé un mode d’emploi pour libérer ses envies sadiques ! ! ! Bon, j’avoue que certaines des idées du classeur sont troublantes...

    La route nous ayant fatigué, nous n’avons pas traîné à essayer le lit king size. Un bisou et trente secondes plus tard, Paul dormait me laissant seule avec mon temps d’insomnie. J’avais envie de retourner lire le classeur maudit, juste.... pour tuer le temps en attendant que Morphée s’occupe de mon cas. Lire a mis le feu aux poudres de ma libido. Mes doigts coquins ne sont pas parvenus à « m’achever », une douce somnolence a fini par envahir. Au lieu de profiter du lit king size, je me suis lamentablement endormie sur le canapé avec la lumière allumée.

    Le lendemain, Marc nous a conseillé d’aller visiter le Monastère de Pierre en nous indiquant que ce serait une bonne stratégie, à cause du vent très fort ce jour là. Après 40 minutes d’autoroute gratuite, cela change, nous sommes arrivés à destination. Ouah ! Ce lieu est lui aussi magique ! Après la visite de l’abbaye grandiose, nous avons visité le parc et ses cascades. Ce lieu est géant, frais et abrité du vent. C’est un peu fatiguant pour les petites jambes habituées aux ascenseurs. Marc nous avait prévenu des horaires espagnols, nous n’étions donc pas inquiets en arrivant au restaurant en début d’après-midi. Pour 15 euros nous avons pu apprécier un bon repas servi rapidement. A priori, ils n’aiment pas faire attendre les clients ou sont mieux organisés pour le service, cela change.

    Pour revenir au gîte, nous avons essayé un autre itinéraire fort sympathique, passant de zones ultra boisées à des zones quasi désertiques. Les contrastes sont surprenants. En arrivant, Paul m’a proposée de prendre un bain à la piscine puis de se reposer. Reposer, mon oeil... J’ai rapidement été attaquée par un requin coquin et affamé. Il a osé, essayé de me manger mais j’ai refusé par peur que Marc nous voit. En guise de câlins aquatiques, je me suis laissée bloquer dans le pilori du donjon.

    Rapidement dévêtue, et pour cause je n’avais qu’un bas de maillot, je me suis faite traiter de sorcière par le grand inquisiteur bien décidé à essayer quelques instruments. Après avoir désinfecté et recouvert d’un préservatif le petit plug de chienne, il me l’a logé dans les fesses en me disant que la petite queue m’allait très bien. Le mufle !

    Ce n’était pas la première fois qu’il me mettait un petit truc dans les fesses, mais me faire prendre debout, entravée avec un truc dans l’anus m’a faite décoller très vite. Chacun de ses mouvements était comme décuplé derrière. C’est là que j’ai commencé à trouver que le BDSM, ce n’est pas si inintéressant que ça dans la réalité. En effet, cela faisait deux fois qu’il me faisait l’amour en deux jours, et deux fois que... que c’était bien bon !

    Le repas du soir fut pris dans la salle de restauration du gîte avec les propriétaires. Supers zens, ils nous ont parlé de leurs mésaventures, des surprises en arrivant au moulin. Il nous ont indiqué ne pas regretter un seul instant d’avoir quitter la France. Nous avons compris rapidement pourquoi pendant notre semaine de vacances. Ici la vie est moins chère, les gens sont zens. Le repas, servi sur assiette ressemblait à celui d’un trois étoiles ! Pour treize euros tout compris, c’était franchement bon et copieux.

    Le lendemain, nous avons continué de « touristiser » en allant au marché de Saragossse sur les conseils de Marc et son épouse. Constat cruel : quand les prix sont de folie et ultra bas, on dépense plus ! Bon en même temps, j’ai deux ans d’avance pour les fringues. RIRE ! 

    Arrivés au gîte, après un énième resto cette fois à 12 euros par tête, puis une première exploration de Saragosse, la piscine nous tendait les bras. Et mes fesses devaient les tendre aussi à mon mari désireux de jouer les requins toujours affamés. Devant mon refus, la pudeur... il m’a dit que cela mériterait une fessée.

    « Hummmm, voilà une bonne idée, mais sur le banc à fessée » fut ma réponse. Paul fut surpris car je n’avais jamais osé lui parler de ce fantasme. Conduite au donjon puisque nous avions la clé, je fus donc entravée sur le banc à fessée puis, punie pour provocation.

    Aie, aie, aie au début, mais, au bout d’un moment, j’étais comme dans une bulle. Quand Paul s’est arrêté en voyant mes fesses rougir « sérieusement » d’après lui. L’inconsciente lui a dit « c’est tout » ?

    Que n’avais-je pas dit là ! Il a attrapé le paddle Fessestivites et j’ai dégusté au départ avant d’entrer à nouveau dans la bulle d’une « masochiste des fesses qui se découvre ».

    Le repas du requin étant servi et entravé sur un banc à fessée, les deux côté de mon tube digestif ont été utilisé même si, derrière, je n’aime pas trop. Là, ce fut différent, peut-être que le fait d’être entravée décuple mes plaisirs.

    La suite des vacances c’est déroulée sur le même principe et c’est, finalement, épuisant ! Tourisme, marche, piscine et sexe avouons-le, c’est génial mais fatiguant.

    Pour le sexe en extérieur, Paul avait conspiré avec Marc lui ayant prêté des menottes. Sous prétexte d’aller manger des fruits mûrs sur l’arbre, mon mari m’a faite marcher jusqu’au fond du verger. Et là, il m’a menottée par surprise à un arbre, m’a déculottée, fessée et ....

    Finalement, faire ça au grand air ce n’est pas si mal ! Bon d’accord, j’ai perdu une culotte puisque nous l’avons oubliée au fond du verger !

    Ce qui est un peu fou en ces lieux, c’est qu’en plus des vacances touristiques, on a envie de céder à la tentation et que l’on découvre des choses pas désagréables du tout. 

    Fin
     
    Cette histoire est fictive.Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé est purement fortuite hormis pour Marc qui existe réellement tout comme le gîte fétichistes dont le site est ICI

     

    Visitez les zones fétichistes du gîte sur Youtube ICI

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