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Trop confiant j’ai invité un sauvage à la maison
Tags : histoires érotiques, BDSM, cage de chasteté, gay, chastity, travesti, transMon Maître m’avait mis sous cage de chasteté depuis 8 jours, une Bon45 achetée sur ABCplaisir dont il avait pris les clés avant de partir 15 jours pour affaires. J'ai invité un mec et je me suis fait démonter.
Mon Maître m’avait mis sous cage de chasteté depuis 8 jours, une Bon45 achetée sur ABCplaisir dont il avait pris les clés avant de partir 15 jours pour affaires.
En partant, il m’avait laissé libre de m’amuser si je voulais mais uniquement comme une fille. Huit jours plus tard, j’étais donc en manque et totalement « folle », à certains moments, la cage de chasteté, cela rend dingue. Je surfais donc en recherche sur Fessestivites d’un plan cul plutôt que de m’aventurer sur des parkings.
« TTBM cherche trav ou trans à sodomiser, recherche réelle, sans passer deux heures sur le net » indiquait son annonce.
Je le contacte en MP, il me propose immédiatement un chat webcam en me disant « je n’aime pas les fantasmeurs, comme ça, on voit si tu es réelle ou pas ». Je lui demande 15 minutes pour finir de me faire belle, il ne m’en accorde que 5. Autant dire que j’ai fait le plus vite possible pour essayer de transformer ce coup que je sentais bien. Trop bien.....
De retour à l’ordinateur, je le contacte à nouveau et lui propose une cam, chose qu’il accepte rapidement. Et là, il me dit que je lui plais beaucoup, mais qu’il aime aussi le BDSM. Je lui réponds que je n’ai rien contre les entraves, une petite fessée et que je suis sous cacge de chasteté mais que la douleur pour la douleur ce n’est pas mon trip.
- Cela tombe bien moi aussi ! Me répond Milit en allumant à son tour sa webcam pour que je puisse le voir.
Hummmm, un beau militaire âgé d’une trentaine d’année et bâti comme une armoire
apparaît sur mon écran. Après quelques questions mutuelles, nous décidons de nous rencontrer. Milit accepte mon invitation sans discuter mais m’annonce que je dois accepter ses règles, sans quoi il ne vient pas et me les rappelle :
- Je dois avoir le cul parfaitement propre.
- Je dois être très féminine.
- Je dois accepter qu’il m’attache et me bande les yeux pour me baiser.
- Préservatif obligatoire.
- Je dois lui donner mon adresse par téléphone parce qu’il n’a pas envie de se taper 30 bornes pour rien.
Etant sur un petit nuage et excitée à mort, je valide toutes ses demandes en lui indiquant que j’adore être un peu bousculée et f o r c é e.
- Et bien tu vas être servie ma belle. Prépare-toi à être v i o l é e ! Conclut Milit avant de raccrocher.
Je fonce donc à la salle ne bain me laver les fesses, je mets de la musique et tamise les lumières avant de me maquiller et de mettre mes faux seins, une robe de charme puis mes tallons hauts. La sonnette tant attendue me fait bondir. Je me précipite pour aller lui ouvrir et, par réflexe, je demande qui c’est. « C’est ton violeur banane » est sa seule réponse.
Lorsqu’il entre dans mon appartement, j’ai immédiatement l’impression d’être toute petite malgré que je fasse une mètre soixante-dix sans mes tallons. Milit me colle une bouteille de whisky dans les mains et m’ordonne de servir deux verres en précisant : « au pas de course salope ». Moi le whisky sec, cela ne passe pas, c’est trop fort, j’ajoute donc du coca dans mon verre.
- Encore une chochotte ! Me dit Milit en le voyant et en prenant son verre pour le vider cul sec.
Alors que je m’apprête à le resservir, il se colle contre mon dos et me plaque le nez contre le mur. Et là, je n’en mène pas large.
- Qui t’a autorisée à mettre du coca dans ton verre ? Me demande Milit en malaxant mes fesses.
- Personne monsieur !
- Tu sais ce que cela mérite ?
- Une punition monsieur, mais pas trop forte s’il vous plait, je ne savais pas qu’il fallait demander.
Ses mains baladeuses s’aventurent entre mes cuisses, tripotent ma cage de chasteté et s’en amusent avant de revenir à mes fesses. Il les écarte sans ménagement pour fouiller l’épicentre d’un doigt pour sonder l’orifice qu’il va réellement ravager, mais ça, je ne le savais pas encore.
Il remonte brusquement mes mains dans le dos qu’il menotte avec une sorte de serflex en plastique solide. J’ai vu les même sur ABCplaisir, c’est pas mal ce truc. Ses gestes rapides me laissent à penser qu’il a une réelle expérience dans l’immobilisation des personnes. Prestement retournée comme si j’étais une simple poupée, je suis aussitôt bâillonnée par une bouche de vorace. Tenue par le cou, je ne peux rien faire pour échapper à sa langue très envahissante et ses mains malaxant mon postérieur avec une envie évidente de sexe.
De sa poche il sort un large et long bandeau de tissu noir dont il fait faire plusieurs fois le tour de ma tête pour m’aveugler. Il serre trop fort, je me plains et ramasse une gifle avant d’être à nouveau bâillonnée par sa bouche toujours aussi vorace coupant net mes réfutations. Humm, cela commence à m’exciter terriblement tout ça, un de mes fantasmes de v i o l va se réaliser. Attrapée à bras le corps, je suis portée dans l’appartement jusqu’à ma chambre avant d’être jetée sur le lit. Mon coeur bât la chamade quand il m’abandonne là sans rien me dire. Alors que l’idée d’être cambriolée me traverse l’esprit, Milit m’attrape la cheville gauche pour y attacher une corde qu’il passe derrière ma nuque avant de me relever les jambes pour attacher ma deuxième cheville.
Dès que je suis sans défense et totalement offerte, il écarte mon string pour me bouffer le cul avec autant de voracité que lorsqu’il m’a embrassée. Sa langue jouant la bite sauvage me rend dingue tout comme cette sensation particulière et si excitante de savoir que je vais être « v i o l é e ». Milit abandonne mon « centre d’accueil » prêt à le recevoir pour se coucher sur moi et recommencer à m’embrasser. Je m’attendais à ce qu’il m’oblige à le sucer pour le mettre en forme et prendre plaisir à me défoncer la bouche, mais non, ce n’était pas son but. Son but était de me bâillonner pour m’empêcher de hurler ! ! !
Je ne le comprends que lorsque je sens son gland entre mes fesses. Sur le coup, j’ai pense que c’est son genoux ! ! ! ! J’exagère à peine cette impression et c’est bien sa bite qui commence à pousser mon anus. Le mot « pousser » est tout à fait adapté. J’ai peur et commence à me débattre mais menottée, jambes attachées en V au-dessus de mon corps recouvert par une montagne de chair, je ne peux que gémir puis crier dans sa bouche. Mon anus se refuse à éclore et Milit bataille en s’énervant.
Quand il abandonne ma bouche pour prendre de la salive en guise de lubrifiant supplémentaire, je le supplie d’arrêter, mais en vain. Ses lèvres recouvrent les miennes à nouveau et il m’embroche cash en poussant d’un coup. J’ai l’impression que mon cul prend feu quand il parvient à me prendre. Ma « rondelle » est comme en flamme, j’ai un mal de chien, aucun plaisir, que de la douleur. C’est horrible. Milit n’en a rien à faire et me laboure littéralement à grands coups de reins. Mes yeux coulent, s’il ne me bâillonnait pas de sa bouche, j’ameuterai l’immeuble tout entier tant j’ai mal.
Au bout de quelques minutes de massacre et de souffrance, mon anus finit par s’habituer à la présence d’un pieu, un pieu qui me remplit totalement et me dilate comme je ne l’ai jamais été. J’ai moins mal mais ne prends aucun plaisir physique, mentalement je me sens v i o l e r pour de vrai, mon fantasme n’était pas à vivre avec un mec aussi bien membré, trop membré qui me démonte.
C’est avec un immense soulagement que j’entends sa respiration s’accélérer juste avant qu’il se bloque un instant en moi pour éjaculer. Milit me donne encore quelques coups de reins rageurs avant de s’écrouler sur moi et de libérer enfin ma bouche. Écrasée par cette montagne de chair, je tente de reprendre mon souffle en priant le seigneur pour qu’il n’ai plus envie de moi. Lorsqu’il se retire, mon cul se met à palpiter, à se contracter tout seul. J’ai l’impression de rester « ouverte ». Je jouis du cul sans comprendre après ce que je viens de vivre.
- Tu es très bonne ! M’indique Milit en libérant mes jambes qu’il dépose avec douceur.
Que répondre à ça alors que l’on a souffert comme jamais ? Rien !
J’étais prévenue, j’ai acceptée, je lui ai même dit que j’adorais être bousculée, f o r c é e, il n’a fait que ce qui était convenu mais quand même...... Toujours avec la même douceur, il entreprend de retirer le bandeau occultant ma vue puis m’abandonne un instant. J’entrouvre doucement les yeux, la lumière me fait mal, il est devant moi avec mon whisky coca à la main.
Je vois pour la première fois sa bite, ce n’est pas un sexe humain, c’est plutôt comme une bite de cheval qui pend entre ses jambes. Je comprends maintenant pourquoi il ne s’est pas fait sucer avant, j’aurai pris peur et j’aurai refusé. Il attrape ma tête et me fait boire, cela me fait du bien, sa douceur soudaine me rassure.
- Si tu veux que je te libère, il faut me sucer maintenant !
- Mais elle rentrera jamais dans ma bouche !
- Allez, fait un effort, essaye.
Je ne me suis pas trompée, ma mâchoire ne s’ouvre pas assez, mais je lèche ce pieu qui m’a défoncée comme jamais. Milit se remet à bander, à mes yeux suppliants et mon visage angoissé, il devine ma peur et me rassure, il ne me prendra plus ce soir. J’ai envie de lui crier « plus jamais » mais contient ma rage.
- Le plus dur, c’est la première fois, c’est comme un pucelage, si je reviens te baiser, tu verras, cela passera mieux. Je te rendrai encore plus salope que tu ne l’es déjà.
Milit se lève, sort de sa poche un cran d’arrêt dont il fait jaillir la lame. Ma gorge se serre aussitôt mais, quand il me demande de lui faire voir mes poignets, je comprends le but de son couteau. Il n’y a pas que mon anus qui a souffert, mes poignets sont bien marqués, les bouger et les masser est un réel soulagement.
- Alors heureuse petite salope, tu voulais être bousculée j’ai fait comme tu voulais. Mais qu’est-ce que tu couines quand tu te fais baiser !
- Tu oublies juste d’annoncer un « détail » de taille XXXL quand tu prends des contacts.
- Oh, 80 de diamètre c’est pareil qu’un petit fist non ?
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