• Soumise et poupée de sexe

    Soumise et poupée de sexe

    Mes fantasmes ont toujours tourné vers la soumission, le BDSM et le sexe.

    Avant de me lancer dans ce monde, j’ai lu des histoires érotiques et regardé, d’une main, beaucoup de vidéos sur Fessestivites. Et puis je l’ai rencontré.

    J’ai rencontré un mec beau comme un dieu, un peu dominant, cet homme était un amour et au dodo, le parfait amant. J’en suis tombée amoureuse très vite, ma vie à ses côtés était idyllique pour tout même si côté BDSM c’était vraiment très soft. Quelques petits bondages pour le sexe, les quelques petites fessées qu’il me donnait étaient plus des caresses de préliminaires qu’autre chose mais cela m’allait bien. Nous parlions mariage quand il a rencontré une garce qui n’en voulait qu’à son fric. La blondasse gros nichons a brisé notre couple, mon Apollon m’a virée et abandonnée comme une vieille chaussette.

    J’étais désespérée, dégoûtée de la vie, mon moral a tellement chuté que j’envisageais de devenir nonne. Un soir de beuverie solitaire, de celle qui vous cloue au lit le lendemain, j’ai décidé de me punir et de dégrader mon image en faisant la pute. Ce soir là, j’ai ressortie mon copain dildo du tiroir et je me suis godée devant le miroir en me traitant de tous les noms.

    Paradoxalement, lors de cette crise de grande tristesse, j’ai joui. Tout s’est mélangé dans ma tête, le BDSM, la soumission, le sexe et la dégradation de mon « moi ». Ce soir là, j’ai décidé de vivre au moins une fois un week-end sexuel dégradant, de devenir une soumise poupée de sexe. Il fallait que je souffre, que je me dégrade, le BDSM allait m’y aider même si ce n’est pas son rôle. Malgré le mal au crâne, le lendemain l’idée ne m’a pas quittée. J’ai rédigé cette annonce :

    « Soumise poupée de sexe cherche à être dominée, humiliée, baisée un week-end entier par plusieurs hommes sous la direction d’un Maître. Annonce réelle et sérieuse ».

    J’ai ajouté trois photos, une de mes fesses, une de mes seins, une de ma chatte. Autant dire que les messages privés n’ont pas tardé à arriver. Pour jouer la prudence, je n’ai pas contacté ceux qui me disaient ne pas être abonné et me donnaient leur @. Le fait de rester dans le monde des rencontres réelles sur un site m’offrait la garantie qu’en cas de réels soucis, le mec seraient identifiable par son règlement par carte de paiement.

    L’un des abonnés m’a parue être bien parce qu’il a cherché à en savoir plus sur mes envies avant de me donner son 06. Après le quatrième message privé échangé avec Tom, je l’ai appelé. Nous avons discuté deux heures de BDSM, de lui, de moi et surtout de mes recherches. Il a clairement compris que je voulais vivre un week-end uniquement dans ces conditions et que je n’étais pas une prostituée ni un cas social.

    Pour le rassurer, je lui ai précisé que j’allais lui adresser un email avec mes souhaits, que je l’imprimerai et lui remettrai signé lors de notre première rencontre dans une brasserie. Ce message indiquait :

    Je souhaite vivre un week-end entier, du vendredi au dimanche de la soumission BDSM et sexuelle sans condition hormis que le préservatif doit être obligatoire pour les pénétrations, que je souhaite ne pas être blessée, un peu marquée oui, blessée non et que je ne veux qu’aucune photo ou vidéo ne soit faite. Je précise que mes trois orifices seraient à son entière disposition pour lui et ses amis, que si je résistai il aurait le droit de me punir et me contraindre par les moyens qu’il jugerait bien. J’ai conclu la lettre en précisant que je voulais réellement vivre comme une esclave du vendredi au dimanche.

    Lors de la rencontre dans une brasserie, Tom a essayé de comprendre ma motivation, c’est ce qui m’a rassurée, même si je ne lui ai pas donné les vraies raisons. Il est donc parti avec ma lettre signée et moi avec des angoisses.

    LE JOUR J

    Je me suis présentée à son domicile le vendredi soir avec une micro valise comme demandé. Sa maison en pleine nature et au milieu des vignes près de Bordeaux ne me rassurait pas car, si j’appelais au secours, personne ne viendrait. A peine arrivée, il m’a ordonnée de me mettre nue. Si je m’y attendais un peu, à ce moment là, je n’étais pas fière. Après avoir déposé tous mes vêtements sur son canapé, il m’a tendue des bracelets à mettre moi-même à mes poignets puis un collier BDSM. Je me suis donc équipée seule et nue des moyens de contrainte devant un homme que je n’avais vu qu’une fois. Quand il a fermé le cadenas de mon collier et ramené mes mains derrière mon dos pour verrouiller les bracelets faisant office de menottes, j’ai su que je ne pourrai plus faire marche arrière.

    Le week-end a commencé par une auscultation, il m’a tripotée partout en soupesant ma poitrine, en écartant mes fesses pour voir mon petit orifice puis en touchant ma chatte qu’il a un peu sondée. Il s’est assis dans son canapé et a sorti un martinet Saku de derrière un coussin.

    • Ça c’est pour toi si tu te rebelles ! M’a indiquée Tom avant de me demander de me mettre à genoux et d’aller jusqu’à lui pour lui démontrer, comme une bonne chienne que j’avais envie de sa bite.

    A son regard et au ton de sa voix, j’étais convaincue qu’il n’hésiterait pas à se servir du martinet. Je me suis donc avancée vers lui pour venir mettre mon visage entre ses cuisses et titiller le devant de son pantalon. J’ai pu sentir qu’il bandait à travers le tissu, mais aussi, comme il ne sortait pas son sexe, qu’il avait envie de s’amuser avec mes nerfs. Ça, cela m’a plu, cela m’a excitée, il n’était pas qu’un queutard. J’ai du retirer sa ceinture avec les dents et pour le bouton du pantalon il m’a aidée. Sa fellation j’ai commencé à la faire par dessus son slip, monsieur n’était pas pressé, il avait une esclave à disposition pour le week-end. Il a quand même fini par extraire son sexe de sa prison de tissu mouillé et me le tendre.

    Je venais à peine de le prendre en bouche qu’il m’a repoussée avant de plaquer ma tête entre ses cuisses et me fouetter avec le martinet parce qu’il avait senti mes dents ! J’ai été surprise, je me suis rebellée en lui disant que sans les mains, je n’avais pas d’équilibre et que c’était compliqué. Aussitôt attrapée par les cheveux, j’ai été obligée de me lever pour être prestement couchée sur ses genoux et être fessée pour cause de rébellion. J’ai découvert ce qu’est une réelle fessée ! Mon fondement prenait feu, je mordais son canapé innocent pour ne pas crier sous l’avalanche de claques.

    Il m’a repoussée et remis à genoux. J’ai cru que je devais me remettre à le sucer et penchée en avant. Il m’a arrêtée et donnée une gifle parce que je ne l’avais pas remercié ! ! ! Ouf, ouf, ouf, là j’étais vraiment en présence d’un Maître dur et impitoyable. Après m’être excusée et l’avoir remercié, les fesses et la joue chaude, ma bouche a repris son office mais cette fois, en faisant très attention. Le fond de ma bouche a découvert que Tom aime les gorges profondes, je n’en avais jamais fait et j’essayais de ne pas vomir lorsque son gland butait tout au fond. Avoir la tête entre ses mains l’agitant comme un sextoy, m’a perturbée. Cela est très excitant mais aussi gênant car cela fait baver comme un bouledogue.

    Je m’attendais à ce qu’il jouisse comme ça, mais non, le sadique savait se contenir et avait des idées tordues derrière la tête. J’ai été repoussée et guidée vers la table de sa salle à manger où il m’a faite me pencher en avant. Il m’a plantée là pour aller chercher un grand miroir sur pieds qu’il a mis en face de moi.

    • Écartes tes fesses et tes jambes pour me faire voir tes centres d’intérêt ! M’a ordonnée Tom pendant qu’il enfilait un préservatif.

    Ouf, ouf pour le choix des mots !

    • Je ne veux pas que tu fermes les yeux, tu dois me regarder pendant que mon auguste membre te prendra. Si tu les fermes, je m’arrête, je te fouette avant de recommencer à te baiser, est-ce bien compris ?

    J’ai répondu « oui Maître » pour éviter de me faire fouetter et je l’ai regardé se positionner derrière moi et fouiller mon sexe pour trouver l’entrée de ma chatte. Il m’a prise sans plus de précaution, par réflexe j’ai fermé les yeux et pris une grande claque sur la fesse.

    • Le visage et les yeux d’une aussi belle femme que toi son dix fois plus jolis à regarder que son cul, aussi mignon soit-il. Je te conseille de ne pas m’en priver si tu ne veux pas souffrir !

    Me regarder me faire prendre ne me plaisait pas, je me trouvais moche et conne, je me suis donc concentrée sur lui et ses expressions. Ne pas fermer les yeux sous ses coups de butoir devenant forts agréables fut difficile, c’était même un peu castrateur de plaisir. Encore une fois, Tom a su se contenir. Il m’a conduite sur les rivages du plaisir en tirant ma tête en arrière et en me prenant comme une chienne. Mon côté animal, femelle soumise se révélait quand il a décidé d’arrêter. Je l’ai détesté !

    Si il s’était arrêté, c’était pour mieux reprendre ailleurs ! Après avoir mis un peu de lubrifiant maison à la pulpe de gingembre sur et dans mon anus, il m’a ordonnée de lui demander d’essayer mon cul pour voir si j’étais bonne ! Son putain de lubrifiant mettait le feu à mon petit orifice.

    • J’attends mais si tu ne dis pas ce que je désire entendre, je te farcie aussi la chatte avec mon lubrifiant et je te laisse attachée !

    Le feu couvant en moi et la situation ne m’ont pas laissée le choix. j’ai du demander à un homme rencontré pour la deuxième fois d’essayer mon cul pour voir si j’étais bonne. L’humiliation était à son comble pour moi à ce moment là, surtout face au miroir. Par chance, pour la sodomie il n’a pas été brutal. Sa verge massait mon anus, cela apaisait le feu et me faisait du bien. Il a soudain attrapé mes cheveux pour tirer ma tête en arrière en m’obligeant à nous regarder, à regarder la chienne se faire couvrir.

    Il a voulu que je tire la langue comme une chienne pendant qu’il me sodomisait et au bout d’un moment, j’ai encore lâché prise, j’étais dans un autre monde, ou plutôt, plus qu’un orifice se faisant ravager de plaisir. J’ai pris un pied d’enfer, mes jambes tremblaient et ce fut encore plus fort quand il a accéléré pour conclure son moment de plaisir.

    La bête comblée, la poupée de chair avachie sur la table fesses offertes que je voyais dans le miroir, c’était moi. J’avais eu ce que je voulais, je n’en voulais pas plus sauf que je savais que Tom ne lâcherait pas l’affaire pour autant. Quand il est venu s’occuper de mes cheveux et me faire une queue de cheval, je n’ai pas compris la raison de ce changement soudain d’attitude. Je n’allais pas tarder à le comprendre et cela a été aussi surprenant que difficile !

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