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Réseaux sociaux et l’enfer de la prostitution et de la drogue
Par TSM dans Histoires érotiques le 29 Janvier 2022 à 17:56A mi-chemin entre le policier, le thriller, l’érotisme et le hard, ce récit aux rebondissements multiples vous entraînera dans les bas-fonds de ce monde.
Outre le plaisir de lire ce type d’histoire, les parents devraient prendre le temps de s’enrichir de certaines informations qu’il contient. Leurs e n f a n t s pourraient (hélas) être un jour pris dans cette tourmente.
Grisant, inquiétant, pédagogique, affolant !
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Avec ses yeux bleus à faire fondre les curées et les nonnes, à 18 ans, Alice est une très belle jeune fille. Un véritable cachou d’amour à mi-chemin entre Marilyn Monroe et l'actrice sud africaine Charlize Theron en modèle réduit. En effet, sans être maigre, malgré une poitrine un peu généreuse, sa taille fine donne l’impression qu’elle a 15 ou 16 ans. Insouciante, un peu fofolle parfois, cette boule d’énergie positive est toujours souriante, pleine de vitalité.
Chaque jours que dieu fait, ses parents la badent et s’auto congratulent d’avoir fait une aussi jolie fille. Brillante avocate, sa mère a choisi un poste de conseiller juridique à temps partiel dans une multi-nationale pour pouvoir être disponible, pour élever sa fille. Son but était de compenser un peu les absences fréquentes de son paternel.
Engagé dans les commandos marines, son père, Daniel, dit Danny, a réussi à y gravir très vite les échelons grâce à son courage mais aussi son instinct de fin prédateur. Après 15 ans d’armée, il a été recruté par les renseignements généraux. Sa formation militaire l’a emmené à former des agents de terrain mais aussi à réaliser des missions, plus ou moins officielles, un peu partout dans le monde, pour les services secrets Français.
Seize ans plus tard, il quitte officiellement ce métier usant pour prendre une retraite « à temps partiel ». En clair, il ne réalise plus que quelques missions très officieuses grassement payées par l’État, pour des actions non revendiquées visant à débarrasser la terre de quelques nuisibles hauts placés, impliqués dans des cartels mafieux. Le dernier en date était un ambassadeur véreux.
Pour fêter ses 18 ans dignement, Alice souhaite quitter Aix et se rendre à Paris pour une virée avec ses amies et copines des réseaux sociaux. La lubie de l’une d’entre elle, a été d’organiser une grande virée d’étudiantes pour fêter leur BAC. Autant dire que Danny voit cela d’un très mauvais oeil. Laisser partir la perle de sa vie dans le monde de la nuit parisienne, ne l’enchante pas.
Convaincu à grands coups de bisous et de « papa je t’aime », le père finit par céder et accepte de la laisser partir. Habitué à des missions d’espionnage, il subtilise le téléphone mobile de sa fille pour y placer un traqueur GPS. Ce n’est pas qu’il souhaite la fliquer, mais il a tellement vu de choses horribles qu’il préfère se donner un moyen de la retrouver « au cas où ».
Arrivées à Paris Orly avec une de ses copines, elles se font accoster par un jeune beur, très bien de sa personne. Un mouvement de grève de transport parisien ne leur permet pas de prendre le métro automatique Orlyval bloqué par les grévistes. Avec un Français impeccable, des vêtements de grande marque, il leur propose de prendre un taxi et de partager la note.
Pendant le trajet, ils discutent de tout, sympathisent et Lisa, la copine coquine d’Alice ne cache pas qu’elle le trouve craquant. Au lieu de se rendre à l’hôtel comme prévu, elles se rendent chez une de leurs amis du réseau social « Skyrock ». Ses parents étant en voyage, elle peut les recevoir sans aucun problème dans un luxueux appartement proche de la Seine, entre le Palais-Bourbon et les Invalides. A peine arrivées, après les accolades et bisous, Lisa échange déjà des textos avec ce soi-disant étudiant marocain, étudiant à Paris.
Karim connaît déjà l’adresse des filles, il sait aussi qu’elles sont seules et qu’elles ont envie de faire la fête. Par texto, il leur propose de venir à la fête donnée par un ami sur une péniche renommée pour ses fiestas grand luxe ou l’on croise le gratin parisien. Le rendez-vous est pris, il passera les prendre avec sa voiture à 20 heures.
Sur Faceboock, Skyrock blog et autres réseaux sociaux, tout internet sait déjà que les filles ont eu des entrées sur la péniche renommée. Entre filles, on aime bien partager, surtout ce genre de chose qui fait râler les copines.
Vêtue comme des reines, elles montent sans se méfier dans un fourgon Mercedes aux vitres tintées, même si à l’intérieur, il y a déjà trois hommes eux aussi vêtus pour la fête. A peine assises et la porte fermée, un des hommes les braque avec un pistolet, des sacs épais leur sont passés sur la tête. Terrorisées, elles se laissent menotter.
Pendant le trajet, malgré leurs suppliques de désespérées, elles sont plus ou moins tripotées, mais rien de plus. Un quart d’heure plus tard, le fourgon pénètre dans une cour d’entreprise, le portail est aussitôt fermé derrière eux. Invitées à descendre, les gazelles en larmes sont conduites dans une chambre froide réaménagée en cellule de transit.
La prise en charge de la marchandise.
Installées confortablement, debout mains menottées aux barres, servant, en d’autre temps à accrocher des quartiers de viande, elles se désespèrent. Une heure plus tard, l’une d’elle s’est fait pipi dessus, autant de peur que d’envie. Lorsque la porte de la chambre froide s’ouvre, toutes les trois cris de peur, l’une d’elle crie « au secours », mais, évidement, sans grand résultat.
L’une d’elle est décrochée pour être guidée dans une autre chambre froide pour une visite médicale, ou plutôt, une inspection visant à chercher une éventuelle virginité. Placée manu militari sur une vielle table gynéco, une fois la culotte arrachée, la jeune fille se met à hurler lorsqu’un homme se met à tripoter son sexe. Convaincue qu’elle va être v i o l é e, elle se débat et supplie en vain. L’inspection ne dure pas. Après lui avoir fait une piqûre de ??? dans le bras, elle n’est pas v i o l ée et ramenée à la cellule avec ses copines. La suivante est Lisa, elle est tellement terrorisée que les hommes doivent la porter, les gifles ne l’ont pas débloquées, au contraire, elle s’est écroulée sur le sol.
Lorsque Alice apprend ce qui est arrivée à la première des filles, elle a encore plus peur. Elle comprend que leurs ravisseurs font partie d’un réseau de traite de blanches ou quelque chose comme ça, et que les attouchements n’ont qu’un but : voir si elles sont encore vierges. Les jeunes vierges peuvent être revendues à de riches émirs des pays du Moyen-Orient, les autres dans des bordels. Celle qui est passée la première semble de meilleure humeur, la piqûre de ??? semble l’avoir un peu apaisée.
A son tour, Alice est conduite à « l’inspection », sachant ce qu’ils veulent voir, elle n’est pas terrorisée. Effectivement, c’est bien ce qu’ils cherchent, ils font le tri des filles pour les réorienter en fonction de leur virginité. Elle en est clairement convaincue quand ils la félicitent et lui disent que c’est « une bonne fille ». Effectivement, c’est la seule chose qui la différencie des autres. Alice a beau être un peu coquine, elle ne voulait faire « la chose » qu’avec l’homme de sa vie.
Après sa piqûre, elle aussi se sent plus calme mais, grande sportive, son corps résiste mieux à la d r o g u e qu’ils lui ont injectée. Ramenée à la chambre froide avec ses copines, elle leur annonce clairement ses conclusions et leur demande si elles sont vierges. Les deux autres ne le sont plus et commencent à le regretter amèrement.
Le dressage commence avec les photos de la marchandise.
Un quart d’heure plus tard, des hommes cagoulés pénètrent dans la chambre froide. Il leur retire le sac qu’elles ont sur la tête.
- Les filles, il va falloir être gentilles si vous ne voulez pas souffrir. Vous voyez ce truc que j’ai dans la main, c’est un mini Taser. Pour l’instant, je l’ai réglé au minimum. Même au minimum, c’est très douloureux, et au maximum dans la chatte ou le cul, c’est horrible. Perso, j’aime bien le mettre sur le clito des filles, après elles ne peuvent plus se branler comme des salopes. On peut les exciser sans problème le bouton ne leur manquera pas. Vous allez donc faire ce que l’on vous demande sans discuter ou alors.... bizzz, bizzz ! Leur indique le sadique en faisant « crisser » le Taser près de leurs visages.
Détachées et encadrées par trois hommes, elles sont conduites dans un local où une mini scène, équipée d’une barre de Pole Dance, est grandement éclairée. Sur le côté de la salle, se trouvent des coiffeuses sommaires équipées d’un spot et de nécessaire à maquillage.
- Vous avez dix minutes pour vous refaire une beauté, après bizzz, bizzz ....
Les filles supplient et obtiennent des « bizzz, bizzz » en l’air et un sourire sadique en guise de réponse. L’une d’elle essaie de s’enfuir, rattrapée près de la porte, elle est conduite à celui qui semble être le chef. Le hurlement qu’elle pousse au contact du Tazer est très pédagogique pour les deux autres. La fille rebelle en larmes crie des « oui » des « pitiés » avant d’être relevée et poussée vers une des coiffeuses.
Se refaire une beauté dans ces conditions tient du miracle, mais quand monsieur bizzz, bizzz est derrière vous, vous faites des efforts.
- Ca suffit, montez sur la scène et tenez-vous la main !
Les trois « stars » un peu chancelantes s’exécutent, le chef fait des photos de groupe en leur ordonnant de prendre des pauses. ALICE est toujours au milieux des trois, « pour un tarif de groupe peut-être » pense t’elle. A la suite de quoi, c’est chacune leur tour, mais les choses deviennent plus difficiles. En effet, elles doivent faire voir leur fesses, leurs seins et prendre des poses lascives en s’accrochant à la barre. Le rimmel de ALICE se désespère sous les larmes. Fermement invitée à se reprendre et à arranger sa « gueule de salope » après quelques minutes, elle monte sur scène à son tour pour la séance photo dont elle se serait bien passée.
- On va vous conduire en chambre, soyez sages !
Ce qu’ils appellent « chambre » s’avèrent être une autre chambre froide équipée d’un somptueux matelas jeté à même le sol et des toilettes chimiques. Un pack de bouteilles d’eau est posé dans un coin pour leur « apéritif » de bienvenue.
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Danny s’inquiète, sa fille ne l’a pas appelé et pire encore, tous ses textos sont restés sans réponse, elle ne répond plus au téléphone. Il quitte Aix pour se rendre à Marignane et prendre le premier avion pour Paris après avoir passé quelques coups de téléphone.
Fred, un de ses amis des renseignements généraux, a immédiatement quitté son domicile pour se rendre au bureau et lancer une recherche. Ce qu’il découvre sur les fichiers de la police, n’est pas rassurant.
Le nombre de fugues chez les 13-17 ans explose de 10 % chaque année. Sur les 58 911 personnes recherchées en France en 2009 et recensées dans le fichier national, 46 595 disparitions étaient des fugues de m i n e u r s. Selon le fichier national des fugues, 77% des fugueurs étaient âgés de 15 à 18 ans. Les fugues de m i n e u r s concernent autant les filles (50,8%) que les garçons et durent plus de 1 mois dans un 1/3 des cas.
En affinant ses recherches, il découvre que de nouveaux réseaux de prostitution sévissent en France depuis que les réseaux sociaux se développent. Sur la région parisienne, plusieurs enquêtes sont en cours. Hélas, la police manque de moyens et avec les procédures devenues de plus en plus contraignantes, comme la présence d’un avocat lors d’une perquisition..... Cela ne les aide pas.
Il est minuit quand il récupère son ami Danny à Orly dans une voiture de service. Lorsqu’ils remontent sur Paris, le bilan n’est pas génial même si Fred essaye de le rassurer, « c’est encore une ado elle fait la fête. Elle a peut-être cassé son téléphone, ....
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Son téléphone est coupé depuis 21 heures. Conduit moi à la planque du centre, je vais enquêter de mon côté.
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Tu vas faire des conneries, fais attention, tu n’es pas en mission.
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Le nom de la mission est « ma fille » !
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OK mais attend demain avant de t’affoler et de t’énerver.
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Après avoir récupéré une valise de première urgence contenant un téléphone satellite, des armes et autres bricoles.... Danny prend un taxi pour se rendre à l’hôtel où sa fille devait descendre avec sa copine. Lorsqu’il présente sa carte de police au réceptionniste, il apprend que sa fille n’est jamais venue et que la chambre n’est pas occupée. Le petit jeune n’aime pas les flics et refuse de lui donner la clé pour qu’il aille vérifier. Attrapé par le col de sa chemise, il est soudainement attiré par le comptoir, Danny rapproche sa tête de la sienne en lui disant « dans dix secondes je vais faire de toi une femme avant de t’envoyer en garde à vue ».
Le petit jeune abdique aussitôt devant cet homme aux yeux de tueur. Après l’avoir posé sur son siège mais sans lâcher la cravate, il lui explique calmement qu’il va oublier ce contretemps dans son rapport pour enlèvement et séquestration. La chambre est effectivement vide, les filles ne sont pas venues. Danny rappelle aussitôt son collègue pour lui donner cette information puis lui indique qu’il se rend au dernier bornage du téléphone de sa fille au nord de la Porte de la Chapelle.
Lorsque le taxi le dépose dans une zone industrielle au milieu de la nuit, le chauffeur lui indique que le secteur est plutôt dangereux à cette heure. Questionné sur les raisons de cet avertissement, il lui indique que beaucoup de dealers et camés zonent dans le quartier. Danny part à pied dans la zone pour trouver un dealer. Son but n’est pas d’acheter de la came comme l’on peut s’en douter, mais faire croire qu’il recherche des filles pour son très riche patron qui les aime jeunes.
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Les affaires ne traînent pas chez les Kalbî, les photos des filles sont déjà sur le Dark net sous d’autres prénoms, évidement. Quelques émirs ont été contactés pour la jeune poupée vierge. Sa mise à prix est à 200 000 euros sur un réseau ultra privé. Le lendemain à 11 heures, sa cotation est à 400 000. Craquant sur la petite jeune, elle est achetée à 18 heures pour la modique somme d’un million d’euros. Elle doit être livrée vierge mais dressée sans être abîmée.
Dans leur chambre quatre étoiles, les filles se désespèrent. Outre l’enlèvement et la séquestration, la bouffe est dégueulasse, l’eau n’est pas celle initialement contenue dans les bouteilles. Au plus elles boivent, au plus elles ont soif, et au plus elles boivent, au plus elles sont fatiguées de ne rien faire.
Lorsqu’ils viennent chercher Alice pour son dressage, elle est déjà un peu zombie et ne résiste plus. Ils lui posent un sac sur la tête et la font monter dans le fourgon. Déposée devant un immeuble Porte Saint-Martin, elle est guidée dans des couloirs jusqu’à une pièce sombre pour y être entravée sur une chaise. Sa cagoule lui est retirée.
- Tu vas assister à un beau spectacle ! Lui indique le chef après l’avoir bâillonnée. C’est ce qui arrive aux filles rebelles, ensuite, elles sont mises au bordel, nous passerons en voir un pour que tu puisses savoir ce que tu risques si tu déconnes et refuses de te soumettre.
Abandonnée sur sa chaise, Alice se morfond pendant un long moment et commence à s’endormir. Soudain, le mur face à elle s’illumine. A travers une glace sans tain, elle découvre une pièce emménagée en donjon. Une fille très jeune et nue est conduite sous une chaîne, pour y être menottée. Son visage puis ses cheveux en bataille affichent clairement qu’elle a souffert et pleuré. Un petit homme cagoulé entre dans le donjon avec un fouet à la main. Lorsqu’il entreprend de la tripoter, elle lui donne des coups de pied.
Le petit homme prend du recul, arme son fouet et entreprend de la lacérer sous les yeux horrifiés d’Alice. La fille hurle, se tord de douleur, remonte ses jambes pour essayer d’éviter les coups en vain. Un quart d’heure plus tard, son corps meurtri pend lamentablement sous la chaîne. Il la redresse et la tripote, épuisée et ne voulant plus souffrir, elle se laisse faire. Totalement brisée, la jeune fille se laisse même embrasser à pleine bouche.
Après l’avoir décrochée, il lui ordonne de ramper à ses pieds et de les embrasser. Son ordre est conclu par un coup de fouet en l’air. La pauvre petite se met aussitôt à ramper vers lui, elle s’accroche à ses pieds comme si ils devenaient sa bouée de survie. Attrapée par les cheveux, elle est mise à genoux devant le sadique qui ouvre son pantalon pour sortir son sexe. Devant son refus de le sucer, la valse du fouet reprend aussitôt. Le coeur d’Alice est au bord de l’explosion devant toute cette horreur. Elle peut fermer les yeux mais pas ses oreilles, ce qu’elle entend lui serre la gorge tout en faisant couler ses yeux.
La fille finit par abdiquer, une fois remise à genoux, elle prend le sexe bandé en bouche et se laisse profaner par le petit vieux. Après, semble t’il avoir éjaculé, il la repousse, se rhabille et sort de la pièce en la laissant sur place comme un meuble. Anéantie, elle s’écroule sur le sol. Quelques secondes plus tard, deux hommes entrent, et la porte jusqu’à un carcan en forme de pilori obligeant la victime à rester penchée en avant. Ils lui lient les jambes avant de quitter la pièce.
Tête et mains bloquées dans ce pilori exposant ses petites fesses, elle ne peut rien faire d’autre que subir les hommes qui, à tour de rôle viennent la baiser. Alice comprend que l’un d’eux la sodomise quand elle se met à hurler. Horrifiée, elle ferme les yeux, elle voudrait ne plus rien entendre, ne plus rien voir, mais hélas, cela fait partie de sa .... formation. Le chef vient la chercher un long moment plus tard.
- Je vais te faire visiter l’établissement. Si tu tentes quoi que ce soit, tu passeras au donjon toi auss,i avant de passer dans un des salons que tu vas voir.
Alice ne peut répondre, il ne lui a pas retiré son bâillon. Toujours menottées mains dans le dos, elle est guidée dans les couloirs. Des box sommaires sont emménagés, une tenture comme les salons d’essayage des magasins ferme la porte de chacun d’eux. Le chef en soulève quelqu’une au passage, Alice est horrifiée parce que qu’elle voit. Des filles complètement camées offertes en pâture à des hommes. Elles ne se défendent même plus et, comme des poupées sans vie, se laissent tripoter et baiser. Certaines semblent vraiment très très jeunes
Ce que ne peut savoir Alice, c’est qu’une bonne partie de ces filles est là presque « volontairement ». Certaines ont subit des chantages après avoir été piégées sur le net, la menace que tout soit découvert et que leur vie de « dépravée » soit affichée sur Facebook et autres réseau sociaux les ont contraintes à ça. A la suite de quoi, elles ont été camées contre leur gré au départ, et à présent, elles viennent négocier leurs corps contre des doses.
- Là tu vas voir la rebelle de tout à l’heure, elle est de service ce soir !
La pauvre fille est attachée bras et jambes en croix sur un lit, un gros pervers est en train de la baiser en couinant comme un porc. Emmenée au donjon, Alice se désespère. Elle s’imagine à la place de l’autre fille qu’elle a vu souffrir et vivre un enfer.
- Nous allons faire un test pour voir si tu as compris ! Lui indique son ravisseur « en chef » après lui avoir attaché les mains au-dessus de sa tête et retiré son bâillon.
Ce que ne peut savoir Alice quand il se love contre son corps de rêve, c’est qu’il ne peut pas la fouetter et qu’elle a été vendue vierge et sans marque pour un million d’euros. Tout en la tripotant, il colle sa bouche contre la sienne pour l’embrasser. Même à deux doigts de vomir, elle ne fuit pas le baiser, ce qu’elle a vu est trop horrible, la menace est trop forte.
Elle rend le baiser à cet homme abject fouillant sa bouche de sa grosse langue. Les poils de sa moustache griffent son visage, l’odeur de cet homme lui donne également la nausée. Lui, il savoure ce baiser. La petite à un goût de miel, sa peau est si douce qu’on dirait de la soie. En d’autre temps rabatteur, avant d’être recruté par les Kalbî, il sait dompter les gazelles, même si celle là, il ne peut la baiser. Tout en lui roulant une pelle interminable, il joue avec les « tétines » de la poupée pour la faire réagir.
Son autre main lui caresse les fesses et sonde délicatement son étroit orifice. Puis c’est à son chaton qu’il attaque avec la même douceur, même horrifiée, la jeune vierge ne reste pas insensible à son savoir faire. Il faut dire qu’avec ce qu’elle a dans les veines, Alice n’a plus toute sa raison....
En totale perdition sous les effets de la D r o g u e , avoir droit à des caresses au lieu d’horribles souffrances la perturbe. Alice pousse à présent de petits couinements mélodieux sous l’experte caresse. C’est horrible pense t’elle soudain en réagissant.
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Les jeunes de 15 à 24 ans sont les plus connectés. À l’échelle mondiale, 71 % d’entre eux utilisent Internet contre 48 % pour la population totale. Les garçons passent 4 h par jour environ, 3 h 20 pour les filles devant les écrans (tablettes, smartphones et ordinateurs). Ils utilisent beaucoup les réseaux sociaux* comme Facebook et Instagram pour partager des informations, et vont sur des applications comme Snapchat pour échanger des photos et des vidéos. Lorsqu’ils jouent à des jeux vidéo, ils peuvent communiquer avec des joueurs en ligne. Tous ces échanges comportent des risques car on ne sait jamais qui se cache derrière un pseudo.
Il y a des trucs sympas, sur les réseaux sociaux, le problème majeur est de laisser les mineurs sans surveillance. En effet, il n’y a pas que la drogue et le sexe sur internet !
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