• RECIT Une coquine piégée et forcée se découvre

    Je savais que je ne devais pas les suivre mais c'était comme si une force particulière m'entrainait. Louis et Anna sont des coquins libertins, ils font aussi du BDSM et me disent depuis toujours qu'en moi réside l'âme d'une soumise qui ne demande qu'à se révéler pour que je m'épanouisse.

    RECIT Une coquine piégée et forcée se découvre

    Je savais que je ne devais pas les suivre mais c'était comme si une force particulière m'entrainait. Louis et Anna sont des coquins libertins, ils font aussi du BDSM et me disent depuis toujours qu'en moi réside l'âme d'une soumise qui ne demande qu'à se révéler pour que je m'épanouisse. Nous étions dans le grenier d'une vielle maison en cours de restauration, Louis avait pris une bouteille de vodka pour qu'on s'échauffe les sens mais je n'en ai pas bu, je n'aime pas ça. L'ambiance de ce grenier semblait leur plaire, ils se caressaient, s'embrassaient et moi, je tenais la bougie... Pour les laisser tranquilles, je me suis éloignée mais les râles de plaisir ont attisé ma curiosité.

    Dans l'angle d'un mur derrière une vieille porte de bois, je les observais en me disant qu'ils avaient de la chance de pouvoir vivre leurs passions contrairement à moi qui suis trop timide. Ils ont raison sur une chose quand ils parlent de moi, j'aimerai être bousculée, prise comme une salope et m'éclater, les cordes et bondage comptent aussi de mes fantasmes mais entre mes rêves et la réalité, il y a un pas que je ne pensais pas franchir un jour.

    Des ouvriers sont arrivés, trop occupée à mater Louis et Anna en me caressant discrètement je ne les ai pas entendus et ils m'ont vue. Je me suis précipitée vers mes amis, les ouvriers ont suivi. Ils ont vite compris et les voyant que je matais leurs câlins. « Elle a des envies de sexe mais n'ose pas » leur a dit cet enfoiré de Louis. J'étais blême, je l'aurais tué.

    coquine piégée et forcée« On va la décoincer » Répondit un des ouvriers en me poussant vers mes amis. « Ce serait une bonne idée » leur a répondu Louis au lieu de me défendre. De fil en aiguille, ils sont devenus très entreprenants avec moi, j'avais peur mais la présence de Louis me rassurait un peu. Anna a disparu, je crois maintenant qu'elle était de mèche avec Louis pour ce qu'il m'est arrivé ensuite. Les mains baladeuses des ouvriers sans gêne devenaient plus précises, Louis les a rejoint puis m'a ordonné de me mettre à genoux. Comme je n'arrivais pas à m'y résoudre, ils m'ont appuyé sur les épaules pour me faire fléchir. A genoux face à Louis massant son sexe à travers son pantalon, j'ai alors compris que je n'aurai aucune aide de sa part, bien au contraire. « Suce-le » criait un des ouvriers. L'un d'eux a guidé ma main sur Louis, j'étais morte de honte mais sous leur insistance j'ai fini par ouvrir son pantalon.

    Ils me touchaient les seins comme des malades et commençaient à les malmener, l'un d'eux m'a attrapée par la nuque pour plaquer mon visage sur le sexe de Louis. Contrainte et forcée je l'ai pris dans ma bouche, cela m'a fait comme un électrochoc, il y avait au moins deux ans que je n'avais pas de copain. Un des ouvriers me tenait la tête et me faisait faire des mouvements pour que je le « suce bien » pendant qu'un autre passait sa main sous ma jupe. J'avais beau le repousser, ses doigts sont entrés dans ma culotte et là, il a crié à tous le monde que je mouillais comme une salope. Quelle honte. Si j'avais pu passer entre les tuiles je me serai envolée comme un papillon affolé. Au lieu de m'aider Louis forçait ma bouche pendant que les ouvriers me malaxaient les seins ou me tripotaient la chatte malgré ma résistance. Mon chemiser a été ouvert brutalement, laissant dans ce grenier de la honte quelques boutons. Mon soutien-gorge n'a pas résisté longtemps à leur fougue, palpée de toute part, je ne savais plus où donner de la tête. Je disais « non » j'essayais de résister mais en même temps, je faisais tout ce qu'ils me disaient de faire. Quand un autre des ouvriers à sortie son sexe et me l'a présenté, je l'ai sucé lui aussi sans qu'il me le demande.

    Pourquoi ai-je fait ça, pourquoi n'ai-je pas crié, pourquoi ne les ais-je pas mordus ? Je n'en sais rien mais à partir du moment où je les suçais au lieu de me débattre, je crois que j'ai ouvert la porte à tous leurs délires et toutes leurs envies perverses. Je suis convaincue maintenant qu'ils ne sont pas des violeurs, certes ils m'ont tripotée comme des mecs qui ont envie de faire peur à une fille mais si j'avais voulu m'enfuir j'aurai sûrement pu le faire. Au lieu de ça, j'ai accepté de sucer toutes les bites qui se présentaient devant ma bouche. Cet enfoiré de Louis a tendu ses fesses vers mon visage en m'ordonnant de les lécher, il a suffi qu'une main me pousse un peu pour que j'y loge mon visage et ma langue. Ils ont tous voulu goutter à ma langue de « lèche cul » et je les ai laissé faire même si je disais « non » sans résister physiquement ou mordre.

    coquine piégée et forcéeL'un d'eux a attrapé ma culotte et l'a déchirée, ils m'ont tripotée et s'amusaient à dire que je mouillais comme une salope. Pour me prouver que c'était vrai, l'un d'eux m'a carrément fait lécher ses doigts après m'avoir tripotée. Ils m'ont soulevée pour me présenter jambes écartées à Louis. Soulevée et entre leurs mains, je n'étais qu'un pantin de chair, cuisses ouvertes, chatte à l'air prête à être baisée. Louis a osé me prendre, sa verge dure m'a comblée totalement, si j'étais morte de honte, ses mouvements en moi me troublaient. Entre sa bite et les mains des ouvriers me malaxant les seins et me caressant le clitoris, j'ai rapidement senti monter en moi une onde de plaisir malsain. Louis s'est retiré, j'ai cru qu'un autre aller prendre sa place et me violer mais au lieu de ça, l'un d'eux m'a enfoncé ses doigts dans la chatte pour me branler de l'intérieur comme un malade. A un moment il s'est passé quelque chose que je n'ai pas compris. Mon ventre devenait bouillant, j'avais envie de faire pipi. Je leur ai dit mais ils s'en moquaient. Au lieu de ça, celui qui me branlait comme un malade l'intérieur de mon ventre à accélérer encore son mouvement. J'avais honte, je criais, mon corps semblait décoller, ma vue s'est troublée, j'ai cru perdre connaissance tellement les sensations étaient fortes.

    coquine piégée et forcée« Elle est fontaine » cria celui qui me branlait comme un malade. « Elle est fontaine ». J'ai jouis une première fois contre mon gré puis une seconde qui m'a faite hurler tellement c'était fort, puissant, un peu comme une avalanche qui ravage tout sur son passage. A partir de ce moment là, je ne me souviens plus de grand-chose, j'ai été soulevée plus d'une fois et prise dans tous les sens, j'ai sucé des culs et des bites sans même opposer aucune résistance, je n'étais plus moi-même. J'y éprouvais un plaisir malsain, c'est fou.

    Même si aujourd'hui j'ai encore honte j'avoue que j'ai vécu quelque chose de très fort, de si intense que je le revis seule le soir sous ma couette avec mes doigts. Je n'arrive plus à faire fontaine, à connaître cette jouissance qui m'a faite totalement décoller et que je n'avais jamais vécue avant. Louis m'a promis de me faire vivre d'autres choses et que cette fois ce serait dix fois plus fort encore. J'ai honte de le dire mais je n'ai pas dit non.

    TSM journaliste de Fessestivites

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    « Mardi 23 avril à 21h interview de soumise Kioki-san et bébé Kio een webcam »
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