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Manège à trois BDSM qui fait très mal
Par TSM dans BDSM rencontres et évènements le 6 Septembre 2015 à 12:24Manège à trois BDSM qui fait très mal
Une histoire très forte en émotions sur les pratiques BDSM
Manège à trois BDSM qui fait très mal
Il m'a adressé cette photo en me demandant de m'attacher seule sans la culotte mais avec des bas et une cagoule occultant mes yeux. Il voulait qu'en plus des accessoires de cette photo, j'attache mes menottes à la barre de mes chevilles et que je l'attende avec une bougie allumée dans les mains comme seule lumière.
Je devais l'attendre ainsi entravée et offerte fesses à l'air à partir de 19 heures dans le salon sur le carrelage, loin de tout point pouvant s'enflammer si la bougie m'échappait des mains. A son arrivé, je devais avoir de la cire de bougie sur les doigts pour lui prouver que j'avais respecté l'heure indiquée. Les clés des menottes et cadenas devaient être posées sur le sol de la cuisine au cas où il lui arrive quelque chose.
Recevoir un tel message et une telle photo sur son téléphone le matin quand on est au travail est gênant mais aussi très perturbant. J'y ai pensé toute la journée en le détestant mais en mouillant aussi à certains moments je l'avoue. Qu'allait-il me faire encore vivre ?
Tout préparer comme demandé avec mon téléphone à la main pour ne commettre aucune erreur était presque angoissant tant j'avais peur d'oublier quelque chose, peur de mériter une punition. Je n'avais aucune peur le concernant, il a toute ma confiance, juste une légère appréhension, comme devant l'inconnu quand j'ai refermé les menottes avant d'attraper à l'aveugle la bougie allumée. Je sentais la chaleur monter vers mon intimité déjà moite de par mes folles pensées. Je me sentais ouverte, offerte et comme un jouet, son jouet. La cire coulait sur mes doigts, j'essayais de ne pas bouger, de résister. Les minutes semblent être des heures dans ces moments là, on est confrontée à nos folies, notre conscience et notre mauvaise conscience.
Quand le bruit de la serrure de la porte m'a annoncée son arrivé j'étais heureuse mais assez tendue. Pas un mot n'a été échangé, il a juste posé ses mains sur mes fesses, un contact réconfortant même si j'étais totalement à sa merci. Un doute m'a soudain habitée quand il m'a semblée entendre un craquement d'articulation à côté de moi, était-il seul ? Une troisième main s'est posée sur mon dos puis une quatrième, elles ont commencé à me griffer doucement le haut des épaules pendant que mon Maître le faisait aussi à l'intérieur de mes cuisses.
Quel plaisir malsain mais aussi quelle horreur que d'être ainsi ouverte et offerte au regard d'un autre homme. Leurs mains ont continué leur manège sadique et pervers avec comme but de me faire frissonner. Ma folle envie que deux dominateurs s'occupent de moi ensembles se réalisait, mais je n'arrêtait pas de me dire " pourvu qu'il s'arrête au BDSM et ne vire pas au sexe" car je ne suis pas de nature libertine. C'est un mixte qu'il avait organisé pour me pousser dans mes retranchements et cela c'est mal passé à cause de moi.
L'homme s'est occupé de mes tétons à m'en faire crier quand il les pinçait trop fortement pendant que mon Maître me tannait amoureusement les fesses avec son martinet. Ils ont ensuite changé les rôles, quelle horreur, l'inconnu devait s'amuser des contractions de mon anus quand il claquait mes fesses avec ses mains calleuses. J'étais autant gênée que la première fois que je suis allée chez mon gynécologue et pourtant, quelque chose de pervers s'animait en moi : le désir de plus. Ils se sont ensuite amusés à tourner autour de la proie volontaire et à leur merci avec des martinets, je ne savais jamais où cela allait tomber, si ce serait doux ou fort.
Au bout d'un moment, je me suis enfermée dans ma bulle, je planais sous les lanières cinglantes sans penser à rien d'autre que les agréables sensations éprouvées. Je ne savais plus si je les désirais plus forts ou moins forts, j'étais dans un autre monde, j'étais bien. Deux mains ont écarté mes lèvres intimes, un doigt s'est insinué entre elles comme une caresse, ils devaient voir en moi tant on m'écartait. La honte m'avait quittée, je n'étais plus qu'un jouet qu'ils pouvaient utiliser à leur convenance, enfin c'est ce que je pensais à ce moment là.
Si je dis " ce que je pensais à ce moment là" c'est parce qu'une dizaine de minutes plus tard, Maître s'est agenouillé derrière moi et m'a pénétrée sans crier gare ni tout autre forme de caresse. Là j'ai été submergée de honte !
J'ai crié "non arrête" car il savait que je ne voulais absolument pas de ça en public et que le libertinage était hors de question pour moi. Il ne m'a pas écoutée, bien au contraire, il est devenu v i o l e n t dans ses coups de reins. Entravée comme j'étais je ne pouvais absolument pas lutter mais seulement crier et je ne m'en suis pas privée. Il a insisté alors je suis devenue très agressive et très menaçante dans mes propos.
Il s'est brusquement arrêté pour venir arracher ma cagoule sans précaution en me criant : "en quoi ai-je trahi ta confiance, nous sommes seuls ? "
J'ai immédiatement regardé derrière-moi l'homme n'était plus là. Il avait juste servi à échauffer mes sens, à réaliser un de mes fantasmes, mon Maître l'avait fait partir. Il avait respecté mes limites et interdits.
Mon coeur s'est déchiré.
Mon coeur s'est déchiré parce que j'ai eu peur de le perdre.
Je me suis haïe
Je me suis haïe d'avoir dit des choses horribles.
J'ai pleuré.
J'ai pleuré sur mon sort convaincue que c'était fini entre nous, j'étais allée trop loin.
Il m'a laissée comme ça dans mon désespoir pour aller se chercher un verre de whisky qu'il a bu face à moi assis dans le canapé avec un oeil noir très dur braqué sur moi. Il réfléchissait, je sentais très mal ses réflexions. J'étais mal.
J'ai voulu m'excuser mais il me l'a interdit d'une voix cassante que je ne lui connaissais pas.
- Nous sommes d'accord que tu mérites une sévère et réelle punition ?
- Oui Maître ! Ai-je répondu en le pensant réellement.
- Je vais te la donner et tu vas avoir de bonnes raisons de pleurer. Tu vas recevoir vingt coups de cravache, vingt vrais coups punitifs. Je vais faire en sorte que tu ne les oublies jamais. Les acceptes-tu pour te faire pardonner de toutes ces ignominies que tu viens de me dire ?
- Oui Maître ! Ai-je répondu avec la peur au ventre.
- Tu les conteras et après chaque coup tu rajouteras " mon Maître ne trahira jamais ma confiance".
J'ai accepté.
J'ai beaucoup souffert.
J'ai vraiment beaucoup souffert. Je ne savais pas que je pouvais avoir aussi mal et pourtant je ne lui en voulais pas.
Mes fesses étaient réellement en feu, elles ont gardé les marques de ma honte pendant un mois malgré les crèmes apaisantes. Il a été très dur jusqu'au bout et ne m'a rien épargnée. Il est même allé se coucher sans moi en m'ordonnant de me libérer seule et de me soigner avant de le rejoindre. Je l'avais vexé, je l'avais menacé alors qu'il avait respecté mes limites et interdits en organisant la réalisation d'un de mes fantasmes.
Après m'être soignée en constatant qu'il ne m'avait effectivement pas loupée, je me suis dirigée vers la chambre dans laquelle je n'osais pas entrer. Et là, je ne sais pas ce qu'il m'a prise, je suis montée sur le lit et je me suis couchée en boule à ses pieds. D'une main ferme planté dans mes cheveux il m'a attirée à lui. Quand je l'ai embrassé, ses joues étaient mouillées. En comprenant qu'il avait pleuré j'ai cru mourir un peu.
Pour me faire pardonner, je l'ai mangé de bisous partout en le remerciant de m'avoir punie. Je lui ai même offert toute seule assise sur lui ce que je lui avais toujours refusé, mon petit coin. Il ne m'a pas laissé faire longtemps et m'a faite relever en me disant : "je ne veux pas que tu me l'offres comme ça, ce jour là, ce sera un acte d'amour, pas un acte de pardon".
Pourquoi cette nuit là quand il m'a fait l'amour c'était plus fort que d'habitude dans tout mon corps ?
Ecrivaillon
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« Les dés décisionnaires de vos douleurs ou plaisirsRencontre ABDL dans un gîte en Bretagne en gîte en NOVEMBRE 2015 »Tags : rencontres BDSM, histoires érotiques, bondage, soumise, sexe, maître, limites BDSM
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