• Ma colocataire lesbienne me piège et découvre le selfbondage

    Dans cette histoire érotique de selfbondage, le piège n’est pas celui imaginé, il est à répétition.....

    Ma colocataire lesbienne me piège et découvre le selfbondage

     

     

    Je m’étais attachée les jambes avec du cellophane et, pour ma séquence de selfbondage, j’avais coincé mon vibro dans ma culotte. Elle aussi était recouverte de cellophane très serré. Pour ce selfbondage, j’avais fait simple pour une fois, une corde avec un noeud coulant attachée à un des angles supérieur du lit, et une paire de menottes à l’autre angle.

    Pour la libération, j’avais du attendre que mon ice-timer me rende les clés. Pour le fun, mes tétons avaient été équipés de pinces à sein soft, parce que cette fois, je ne voulais pas souffrir ni trop lutter, juste jouir plein de fois. Ce fut le cas.....

    Lorsque ma colocataire est rentrée, j’étais quasiment libre. Il ne me restait à libérer que mes jambes et ma culotte. Par contre, ma petite cantine de matériel coquin et BDSM était encore dans le salon avec mon ordinateur encore ouvert sur Fessestivites. Au départ, elle a cru qu’il y avait quelqu’un à la maison, puis, en avançant, elle m’a découverte. La porte de ma chambre était grande ouverte, il y avait encore la corde et les menottes accrochées à la tête du lit.

    En voyant son visage affolé, je me suis sentie obligée de la rassurer, de lui dire que tout allait bien. Son inquiétude s’est rapidement transformée en curiosité. Elle a regardé avec grand intérêt le contenu de ma cantine, avant d’afficher un sourire banane, le genre de sourire de fille qui semble te crier, qu’elle s’amuse de ta déconvenue. Elle est restée sur la pas de la porte de ma chambre, en me regardant me battre avec ce « putain » de cellophane.

    - Mais qu’est-ce qu’il y a dans ta culotte ?

    - Heu, tu sais que c’est gênant et que tu n’es pas obligée de jouer les voyeuses !

    - Nous sommes entre filles ma belle, et puis si tu ne voulais pas être vue en train de te faire plaisir, tu n’avais qu’à fermer la porte de ta chambre.

    - Oui et bien, ferme la porte s’il te plait !

    Laurie a fermé la porte avec le même sourire moqueur affiché sur son visage. J’étais ultra gênée et furieuse, de m’être faite surprendre. Pour ce genre de chose, on préfère être seule... Lorsque vêtue normalement, je suis arrivée dans le salon, elle fouillait dans ma cantine.

    - Ça va, ne te gêne pas !

    - Oh, arrête un peu de faire la coincée que tu n’es pas, à ce que je vois..... ! M’a répondue Laurie en me montrant mon gode vibrant.

    Pour ne pas répondre, je lui ai demandé pourquoi elle n’était pas partie comme prévu. Elle m’a répondu que la SNCF avait purement et simplement annulé son train, que le suivant était complet et que son week-end était mort car, partir le samedi après-midi pour rentrer le dimanche après-midi c’était idiot. Mais la garce a arrêté de fouiller, pour se pencher sur mon ordinateur et regarder Fessestivites.

    - C’est quoi se site ?

    - Un site coquin !

    - Ah oui, quand même, on y voit de drôles de choses ! M’a dit Laurie en faisant un surf. Alors comme ça, tu aimes le BDSM, qu’on t’attache et qu’on te fasse des trucs cochons.....

    - Cela ne te regarde pas !

    - Mais qui te dit que je n’aime pas les trucs cochons moi aussi ? Et si, au lieu de se disputer on se commandait une pizza et qu’on se raconte un peu nos petits délires ?

    Sachant que Laurie est une lesbienne, je voyais où elle voulait m’emmener. Cela ne me branchait pas de coquiner avec elle, trop proche, cela ne pouvait que devenir un sac d’embrouilles. Elle a continué de profiter de ma déconvenue pour me demander si, je m’attachais souvent toute seule, ce que je pouvais éprouver en faisant ça.

    Pour la contrer et, à mon tour la mettre mal à l’aise, je lui ai proposée d’essayer. A ma grande surprise, en me répondant « volontiers » Laurie m’a prise à mon propre piège, pour la seconde fois de la journée. « Ah tu veux jouer, tu vas souffrir » fut ma pensée du moment. Sans lui laisser le temps de réfléchir, j’ai attrapé une de mes cordes pour lui attacher les mains dans le dos à la façon des shibaristes. Avec une autre corde, j’ai lié ses chevilles avant de la pousser sur le canapé où elle s’est avachie. De là, je l’ai faite glisser par terre, pour lier ses poignets à ses chevilles à la façon Hogtied. Puis, pour le fun, j’ai soulevé sa jupe et tiré sa culotte pour lui glisser un vibro.

    Décidée à lui donner une leçon de respect de la vie privée des autres, j’ai dégrafé son chemisier, baissé son soutien-gorge pour poser des pinces sur ses tétons. Cela m’a fait tout drôle, car c’était la première fois que je touchais une fille ainsi. Après, je l’ai faite glisser derrière le canapé et j’ai commandé la pizza. Là, elle a tout de suite trouvé ça moins drôle.

    Je n’ai pas cédé à ses demandes, ni ses menaces, ni ses insultes. Au contraire, je l’ai menacée de la remettre devant le canapé pour que le livreur de pizza la voit. Ma menace a dû être prise au sérieux, car elle s’est excusée avant de me demander quand je la détacherai.

    - Je ne te détacherai pas, tu vas devoir le faire seule. Mais au lieu de râler, profite du vibro, une lesbienne ça doit aimer quand ça vibre sur le clito non ?

    - Il n’est pas bien placé, tu peux le guider un peu s’il te plait ? Fut sa réponse, du coup très gênante pour moi.

    Piégée pour la troisième fois de la journée, je suis allée tripoter dans la culotte d’une femme. Histoire de ne pas traumatiser le livreur de pizza, j’ai tout remis dans la cantine avant de me mettre à surfer sur les forums BDSM et selfbondage de Fessestivites. Le temps est passé si vite que le livreur m’a faite bondir. Une fois qu’il fut parti, j’ai tiré le canapé et, sans aucune pitié pour ma colocataire, j’ai attaqué ma part de pizza en la regardant se débattre dans mes cordes.

    En fait, elle ne se débattait pas ! La garce cherchait à se donner du plaisir avec mon vibro ! ! ! Comme ça, devant moi sans aucune gêne. Je l’ai vue prendre son pied, et, pour la première fois depuis son arrivée, la situation m’excitait. Je l’ai trouvée mignonne quand elle se pinçait les lèvres ou soufflait lentement, en affichant son plaisir. Les yeux fermés, elle s’était faite un trip et prenait du plaisir. Ce qui m’a troublée aussi, c’est d’être la cause, la meneuse du jeu.

    Animée par un sentiment de pitié, je lui ai demandée si elle voulait de l’aide pour se libérer. Elle m’a répondue « non pas toute de suite, c’est trop bon ». Scotchée, elle m’a scotchée ! Moi j’aurai été morte de honte, elle non, au contraire, elle semblait même adorer la situation. Ce n’est qu’au bout d’une heure que je suis allée l’aider à se libérer, même si je pense qu’elle y serait arrivée toute seule. Laurie m’a remerciée de cette initiation, qu’elle a qualifiée de « magique ».

    Pour fêter ça, nous avons commencé à boire des coups, trop ! L’a l c o o l délie les langues, surtout la mienne. Elle m’a parlé des filles, moi des hommes, et, quand elle a voulu tout savoir sur le BDSM et le selfbondage, étant un peu pompette j’ai oublié la pudeur. Et quand elle m’a demandée si on pourrait recommencer juste de s’attacher, j’ai répondu oui, en ouvrant la porte à l’inconnu.

    Elle m’a aussi demandée si ce n’était pas dangereux de faire du selfbondage. Sur fessestivites, je lui ai faites voir des tutos, je lui ai expliqué le principe du ice-timer, ou les trucs où il faut ramper pour aller chercher les clés.

    - Tu me fais peur, j’ai vraiment peur un jour d’arriver à la maison et de te trouver morte. Si tu veux, quand tu joueras, tu m’envoies un texto. Comme ça, je sais que je ne dois pas rentrer avant une certaine heure, et en plus, que je ne dois pas emmener une copine. En plus, si je le sais, je pourrai te libérer et peut-être te sauver si un jour tu es coincée.

    - C’est gênant d’adresser un texto pour dire à quelqu’un qu’on va s’envoyer en l’air, tu ne trouves pas ?

    - Ce sera encore plus gênant, si un jour j’arrive à la maison avec une copine et qu’on te trouve attachée avec un gode dans la chatte au milieu du salon !

    - Pas faux, mais si je te le dis, tu me jures de garder le secret ?

    - Promis !

    La soirée des filles coquines s’est un peu éternisée avant que nous allions nous coucher. Les confidences intimes n’ont pas manquées, je crois que nous savions tout sur nous.

    ....................................

    J’ai joué le jeu en lui adressant un texto la semaine suivante. En fait, je voulais la tester, voir si elle ne rentrerait pas plus tôt pour jouer la voyeuse. Je n’ai évidement rien fait, mais elle a joué le jeu ce qui m’a rassurée. Laurie ne comptait pas en profiter, pour me piéger à nouveau.

    Convaincue de son honnêteté, la semaine suivante j’ai profité de l’annulation d’un de mes cours, pour me faire un scénario de selfbondage plus sophistiqué et surtout, plus coquin. Mes orifices étaient comblés .... (dans les deux sens du terme) et j’étais en train de jouir comme une folle, quand elle est arrivée deux heures plus tôt que prévu. Je l’ai haïe de chez haïs puissance dix. Cette salope a coupé la ficelle de mon ice-timer et s’est barrée avec les clés de mes menottes qu’elle a mises en hauteur, inatteignables sans son aide.

    Malgré mes insultes et suppliques, elle m’a clairement annoncée qu’elle comptait bien se venger du coup du livreur de pizza. Et là, elle s’est assise par terre à côté de moi et a planté ses griffes dans mon dos. Son but n’était pas de ma faire mal, mais de me donner du plaisir, de me faire frissonner. Pour ce selfbondage, j’avais attaché mes poignets à mes chevilles puis, pour m’obliger à restée pliée (et donc assise sur mes jouets intimes....) j’avais relié mon collier de soumise, à la chaîne de mes chevilles.

    Après m’avoir faite frissonner comme une malade en déposant des bisous sur mes épaules, elle est allée chercher son magic wand massager, le gros noir de chez ABCplaisir. (Depuis j’ai acheté le même mais ça, c’est une autre histoire) A son retour, elle s’est assise derrière moi malgré mes réfutations et l’a fait glisser entre mes jambes. J’avais beau dire « non », elle n’en n’avait que faire. Comme je n’étais pas du tout coopérative, elle s’est attaquée à mes tétons.

    La garce sachant y faire avec les filles, elle a vite compris que j’aime quand cela pince un peu et qu’on les fasse rouler sous les doigts. Sans me prévenir, elle m’a faite tomber en arrière sur ses genoux puis glisser complètement sur le dos. Laurie avait une vue imprenable sur mon intimité comblée, malgré la culotte qui avait surtout pour but, de maintenir le plug et le gode vibrant. Elle s’est carrément assise sur mon visage, son bras gauche a bloqué mes jambes pendant que de sa main droite, elle s’est attaquée à mon clitoris avec son magic-wand massager.

    Son jean m’empêchait de la mordre, la haine car mes dents glissaient dessus, sans parvenir à avoir une prise.

    Le savoir faire de Laurie avec son magic-wand massager qui porte bien son nom, PLUS les sextoys dans mes orifices PLUS la contrainte totale dans le plaisir, cela fait beaucoup de choses monstrueusement érotisantes. (Même pour une hétéro dominée par une lesbienne déchaînée.....) J’ai rapidement compris qu’elle allait m’avoir, que je ne pourrais pas résister, que j’allais jouir entre les mains d’une femme.

    Une femme qui connaît bien les femmes, cela fait du « dégât ». Quand elle a senti mes jambes vibrer, elle m’a ordonnée de me laisser aller. Elle s’est mise à pousser mes sextoys en même temps qu’elle titillait plus fortement mon clitoris à travers la culotte. J’ai littéralement implosée, explosée façon puzzle. Le nez dans son jean, j’essayais de jouir sans trop faire de bruit. Me sentant totalement partie et vaincue, elle a tiré ma culotte vers le bas, pour mettre mon clitoris à nu et poursuivre avec sa bête de combat. J’ai crié « non », un non qui voulait dire « oui encore » tant c’était fort et bon en même temps. J’ai cru mourir à la seconde vague de jouissanceSSSSS. C’était comme si cela ne s’arrêtait pas.

    Quand elle m’a enfin lâchée, j’étais une véritable carpette. Tout mon corps continuait de vibrer. Cela me faisait peur toutes ces contractions, qui continuaient y compris dans mes membres et mon cou. Laurie m’a embrassée sur la joue et m’a recouverte totalement avec le plaid du canapé. J’étais comme sous cloche sous le tissu, j’étais bien, j’étais dans un autre monde. Elle m’a laissée comme ça un petit moment avant de venir déposer les clés, dans ma main.

    Lorsque je me suis libérée, elle était partie. Laurie m’a expliquée plus tard, que son souhait en partant, était de me laisser me retrouver seule avec moi-même dans mon intimité. Cela m’a faite sourire car question intimité...... Je lui ai dit, sans aucune méchanceté, que je me vengerai. Et là, elle m’a répondue « oui, quand tu veux ».

    Depuis, de temps en temps nous nous martyrisons. Je ne l’épargne pas question BDSM, et elle ne m’épargne pas question « câlins ». La semaine dernière, elle m’a attachée bras et jambe en croix sur le lit pour une séquence plaisir. Et pour la première fois, alors qu’elle me broutait la chatte à merveille comme sait le faire une lesbienne, j’ai eu envie de lui faire pareil, de l’embrasser et de coucher avec elle.

    Cela me trouble d’avoir envie d’une femme, je crois que le piège est là.

    Fin

    TSM

    Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

    ABCplaisir a ouvert son rayon selfbondage-shop

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    Soyez prudents et surtout, ne faites JAMAIS de selfbondage avec du breath control (étouffement / contrôle de la respiration).

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