• Les secrets de la chambre des filles

    Les secrets de la chambre des filles


    Entre mettre quelques instants érotiques des sous-vêtements féminin et être obligé d’en porter ainsi que des couches devant une dominatrice lesbienne aussi perverse que diabolique, il y a un monde. Un monde d’une grande cruauté et à rebondissements avec des nuits en couche sous bondage, des fessées et des tonnes de choses immorales qu’un étudiant à la FAC n’aurait jamais imaginé vivre avec ses cousines diaboliques.

    féminisé humilié par deux lesbiennes

    Les secrets de la chambre des filles

    Par Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites

    Résumé
    Entre mettre quelques instants érotiques des sous-vêtements féminin et être obligé d’en porter ainsi que des couches devant une dominatrice lesbienne aussi perverse que diabolique, il y a un monde. Un monde d’une grande cruauté et à rebondissements avec des nuits en couche sous bondage, des fessées et des tonnes de choses immorales qu’un étudiant à la FAC n’aurait jamais imaginé vivre avec ses cousines diaboliques.

    féminisé humilié par deux lesbiennes
    …………….

    Cet été encore, nous nous sommes retrouvés en Bretagne dans l’immense maison familiale où chaque année la famille se retrouve depuis des lustres. L’ambiance est sympa, la plage est à deux pas, la ville n’est pas trop loin pour aller draguer, le top quand on est étudiant et sans fric comme moi. Pour cause de manque de place, mes deux cousines dorment dans la même chambre, cela ne leur pose pas de problème, elles sont déjà colocataires à Paris pour leurs études.

    Un matin, la famille quitte la maison pour aller voir une exposition en ville, la peinture ne m’intéressant pas, je décline la proposition de les accompagner. Profitant d’être seul, je vais fouiner dans la chambre de mes cousines, je les sais très coquines et m’attends à des surprises. Un rapide coup d’œil dans la grande armoire ne m’offre pas de trésor féminin, tout au plus des jupes et chemisiers ou tee-shirt d’été. Lorsque je m’attaque à leur valise, ma libido déjà exacerbée prend un coup de pied dans l’échine. Sous les petites culottes que je prends plaisir à caresser, je découvre des dessous très coquins comme une culotte fendue et deux culottes en plastique avec deux couches rectangulaires assez grosses pour être de simples protections. Très attiré par les dessous féminins, je fais une très excitante séance d’essayage. Mon sexe au garde-à-vous dépasse des petites culottes dont la douceur m’enchante.

    Le lit n’étant pas fait, je m’allonge dans leurs draps aux senteurs féminines avec sur moi une culotte en plastique rose. Mes mains sont attirées par mon sexe, ce qui devait arriver arriva, après quelques caresses plus intimes, je m’envole au paradis des plaisirs.

    Deux filles superbes sont avec moi, l’une me caresse le corps pendant que l’autre me fait une gâterie quand soudain, un coup de sac dans la figure m’arrache de mes rêves. Mes cousines furieuses sont là avec leur téléphone portable à la main. Mes excuses les plus plates les font sourire, je sens l’embrouille grave.

    - Enfoiré, tu n’as pas honte de fouiller dans les affaires des autres ? Me demande Julie.

    - Les fouiller et les essayer tant qu’à faire. Tu es très beau en fille mes copines vont adorer ! Ajoute Laura en me faisant voir son téléphone portable.

    - Tu vas commencer par tout ranger comme il faut et puisque tu es là, fais notre lit. M’ordonne Julie.

    Dans la position où je suis, je ne peux qu’accéder à leurs demandes, si elles parlent, je vais être la honte de la famille. Forcé de restituer la culotte et de m’habiller devant elles, ma pudeur est mises à mal tout comme mon moral quand soudain, Julie m’arrête et me tend une culotte en m’ordonnant de la mettre. Devant mon refus, en me montrant son téléphone portable, Julie me demande si elles font voir les photos à l’apéro ou au dessert. Que répondre ? Que faire ? Rien, hormis céder à son caprice débile.

    La culotte enfilée, elles me demandent de m’habiller, cette garce de Julie en profite pour faire d’autres photos qui ne me disent rien de bon. Une fois vêtu, je fais donc leur lit à la hâte avec comme objectif de fuir leur chambre mais encore une fois Julie m’arrête avant que je ne sorte.

    - Regarde comme tu es belle ! Me dit-elle en me montrant son téléphone portable. Jusqu’à la fin des vacances, tu viendras faire notre lit et le ménage dans la chambre, sans quoi, tes vacances risquent d’être difficiles si tu vois ce que je veux dire.

    - C’est du chantage, tu es ignoble.

    - Oui, et fouiller les affaires des filles et les essayer avant de squatter leur lit pour te branler c’est quoi ? Un signe de chrétienté et de chasteté ?

    - Ce n’est quand même pas pareil.

    - Pour moi, c’est du pareil au même et puisque tu râles alors que nous pourrions te pourrir la vie aux yeux de toutes la famille voir plus, tous les soirs tu viendras chercher ma culotte sale que tu porteras le lendemain. Tu voulais les essayer, je vais t’en donner les moyens conard ! Sort de là avant que je m’énerve.

    Mes 15 derniers jours de vacances furent un calvaire, mes cousines n’arrêtant pas de me prendre pour leur boy, de vérifier « mes dessous » et tenant presque tous les soirs à ce que j’enfile la culotte de Julie devant elles avant d’aller me coucher.

    LA CATA !

    Les arrangements familiaux sont parfois cruels ! Pour la rentrée scolaire, octobre pour moi, mes parents se sont arrangés avec ceux de mes cousines pour la colocation. Mes réfutations n’ont pas durée plus d’une minute, mon père m’ayant répondu : « on n’a pas de fric et on te paye tes études, alors si ça te plait pas tu vas à l’usine, je peux t’y faire rentrer lundi si tu veux ». Que répondre à cela ? Rien.

    ………………………

    Le 30 septembre 2012, j’arrive donc chez mes cousines avec ma valise à roulette, mon sac à dos et mon ordinateur portable. La première chose que j’ai vue en arrivant, c'est moi avec une culotte de fille sur les fonds d’écran de leur ordinateur.

    - Notre « larbine » est arrivé ! Crie Julie à Laura dans sa douche.

    Je me suis révolté, j’ai même faillit la gifler, mais elle m’a cadré de suite cette salope.

    - Ecoute conard, avant nous étions peinardes toutes les deux, maintenant il va falloir que l’on supporte une tante qui fouille dans nos affaires. Penses-tu que ta présente nous arrange ? Non, bien au contraire, tu viens polluer notre existence alors tu la fermes où je diffuse les photos de toi sur le site de la fac. Suis-je claire ?

    Je suis vert de rage mais ne peux que répondre, « n’aller pas trop loin ou je vous étrangle ». Sur ces entre faits Julie me montre ma chambre et sort sans fermer la porte. Ma cousine Laura passe nue dans le couloir et me fait un petit coucou de la main. Heuuuuuu. Dix minutes plus tard, les filles m’appellent dans leur minuscule salon transformé en bureau.

    - Je vais te planter le décor « larbine ». Me dit Julie. Nous sommes toutes les deux lesbiennes, tu comprends donc que la présence d’un mec chez nous nous faire carrément chier. Nous n’allons pas changer nos habitudes pour toi et vivre notre vie comme avant. La seule variable c’est que nous avons une bonne gratuite. Tu feras le ménage et la bouffe, si tu ne sais pas la faire on t’apprendra. Tu as intérêt à te faire discret si tu ne veux pas d’embrouille, sache que nous ne voulons pas de mec à la maison. Si tu veux voir un copain, c’est dehors ou chez lui. Comme on ne veut pas de mec à la maison, Laura t’a préparé une tenue.

    Laura se lève de son bureau pour déposer sur la petite table du salon une culotte, un soutien-gorge et une robe noire avant de venir s’asseoir aux pieds de Julie.

    - Il est hors de question que je m’habille avec ça ! Hurlais-je soudain.

    - Déjà Larbine, tu vas nous parler sur un autre ton. Me répond Julie avec un calme qui me surprend. Sache que je suis une dominatrice et que si je te supporte c’est parce que mes parents ne m’ont pas laissé le choix. Soit tu fais ce que je t’ordonne, soit je vais faire de ta vie un enfer. Regarde mon ordi, je n’ai que trois clics à faire pour balancer les photos de toi sur le net. Non non, ne rêve pas, il est codé et j’ai les doubles sur mon téléphone portable puis sur celui de Laura et sur un disque dur externe. Va t’habiller et ne m’énerve pas sans quoi, cette cravache va t’aider à le faire. Me dit Julie en sortant une cravache de derrière le clic-clac

    Les larmes dans les yeux, je quitte le salon avec les vêtements donnés par Laura. Arrivé dans ma chambre, je médite un instant sur tout ça. Mes cousines sont lesbiennes, Julie est dominatrice et elles veulent que je sois leur larbin sans quoi, je peux dire adieu à mes études sachant qu’en prime, mon père me tuerait s’il apprenait ! ! ! OUF …… .

    Enfiler des sous-vêtements féminins dans le secret de ma chambre aurait tendance à générer des réactions physiques du côté de mon bas-ventre mais là, la chose est tout autre. Je me sens ridicule au possible, sortir de ma chambre me semble impossible. La cravache à la main, Julie pousse soudain la porte et m’attrape par l’oreille comme un gamin pour me conduire au minuscule salon. Laura est nue à quatre pattes, ses délicieuses fesses attirent mon regard mais Julie m’envoie aussitôt à la cuisine faire du café que je dois leur servir.

    Dans le silence seulement troublé par la cafetière, mes neurones s’affolent. Où suis-je tombé ? Que m’arrive t-il ? Les trois cafés servis, je prends un plateau pour les emmener. Arrivé au salon, Laura est couchée sur les genoux de Julie qui m’ordonne d’attendre sans bouger et de rester silencieux. Sans tenir compte de ma présence, elle entreprend de lui donner une fessée sous mes yeux ébahis. La fessée dure un long moment, les fesses de Laura virent au rouge, ses jambes se soulèvent parfois, offrant sans pudeur à mon regard gourmand d’images son petit abricot aussi lisse qu’un nouveau né. La fessée de Laura terminée, elle s’installe aussitôt à ses pieds en la remerciant ! ! ! Julie vautrée sur le clic-clac m’ordonne de servir le café et de m’asseoir par terre pour le boire.

    - Tu viens d’assister à une punition, si tu ne veux pas que je m’occupe de tes fesses, tu as intérêt à marcher droit ! Me dit Julie en me montrant du doigt.

    Nous avons discuté pendant deux heures comme si de rien n’était, jusqu’au moment ou Laura m’a conduit à la cuisine pour faire le repas et me faire voir où sont les choses. La cuisine fut aussi vite préparée que consommé au salon dans la même position que pour le café : pâtes à la carbonara et raisins. Une fois consommé, Julie m’ordonne d’aller faire la vaisselle et de ranger la cuisine, chose que je fais bien volontiers en finissant par oublier ma tenue. Les choses se sont rapidement corsées quand j’ai rejoins les filles au salon ! Julie a tenu à venir vérifier mon travail, ce qui ne m’ennuyait pas outre mesure, sauf que pour elle, la vaisselle aurait du être essuyée et rangée.

    - A ton prochain loupé, je te tanne le cul larbine ! Allez on va te coucher, c’est l’heure.

    A 21h, je n’avais aucune envie d’aller me coucher mais je n’ai pas trop eu le choix avec Julie qui agitait sa cravache. La surprise est arrivée dans ma chambre avec Laura qui est entrée avec une couche à la main. Elle m’a aidé à me dévêtir puis m’a demandé de m’étendre sur le lit. Julie s’est agenouillée à la tête du lit pour y attraper quelque chose de métallique en m’ordonnant de lui donner mes mains. Au moment où je les lui tendais, j’ai aperçu des menottes, le temps que je réagisse, un de mes poignets étaient prisonnier du métal. J’ai essayé d’user de ma force pour ne pas lui donner le second, les trois violents coups de cravache qui sont tombés sur les cuisses m’ont convaincu de céder à sa demande……

    Laura est montée à son tour sur le lit pour me mettre la couche pendant que Julie m’indiquait qu’il était hors de question que je trouve un prétexte pour me lever et les voir câliner. J’étais blême et vert de rage. Quand Laura très soumise m’a demandé de l’aider, comme Julie s’énervait après elle, j’ai soulevé mes fesses et l’ai laissée me mettre une énorme couche-culotte puis la fameuse culotte en plastique que j’avais essayé dans le secret de leur chambre. Avant de me recouvrir du drap, Julie a fait quelques photos avant de fermer la porte de la chambre.

    Julie et Laura lesbiennes, la fessée à laquelle j’avais assisté, Julie dominatrice m’imposant de me féminiser et me faisant dormir en couche attaché à mon lit, tout cela me perturbait grandement. Dans un sens, j’étais révolté, dans l’autre, je découvrais en vrai un monde de domination soumission que je n’avais vu que sur le net et qui m’excitait. Le voir et fantasmer est bien, le vivre de force est autre chose.

    Les cris de Laura à travers la fine cloison séparant ma chambre du salon, attirent mon attention. Que lui fait-elle pour qu’elle crie comme ça ? Le silence se fait à nouveau avant d’être troublé par des gémissements de plaisir. Avec Julie et Laura, mon année scolaire s’annonce chaude, brûlante même !

    La suite des aventures de Larbine et ses cousines est publiée sur le forum écriture littérature culture BDSM de fessestivites ici.

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