• Le Daddy punit par la couche

    Le Daddy punit par la couche


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    J’avais 23 ans lorsque j’ai rencontré mon Daddy, mon Maître mon sadique, mon pervers Pépère en fin 2011 sur Fessestivites et malgré nos différences d’âge, (il a 42 ans) j’ai trouvé en lui mon confort de vie. Avec lui j’ai tout, un père très protecteur mais sévère, un amant extraordinaire et un Maître aussi sadique que pervers qui m’a fait découvrir beaucoup de choses. Lorsque le soir je me love contre lui dans le canapé je ronronne de bonheur dans ma grenouillère pour adulte.

    Le Daddy punit par la couche


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    J’avais 23 ans lorsque j’ai rencontré mon Daddy, mon Maître mon sadique, mon pervers Pépère en fin 2011 sur Fessestivites et malgré nos différences d’âge, (il a 42 ans) j’ai trouvé en lui mon confort de vie. Avec lui j’ai tout, un père très protecteur mais sévère, un amant extraordinaire et un Maître aussi sadique que pervers qui m’a fait découvrir beaucoup de choses. Lorsque le soir je me love contre lui dans le canapé je ronronne de bonheur dans ma grenouillère pour adulte.

    Je ronronnais nettement moins au début quand il me donnait des fessées mais je m’y suis habituée pour finalement y prendre goût. Mon erreur fut de lui dire sans aucune méfiance lorsqu’il ma demandé un jour si je faisais exprès de faire des bêtises. En exposant là mon masochisme je me suis non pas privée de fessée car il m’en donne bien volontiers avant de me faire l’amour comme un dieu mais, sans m’en rendre compte, je l’ai contraint à trouver un autre moyen de punir la grande ado que je suis parce que j’aime me conduire en gamine. Cela m’amuse qu’il s’occupe de moi mais aussi qu’il me dirige en jouant le rôle de mon père très souvent absent dans mon enfance et qui s’est barré de la maison quand j’avais 10 ans.

    Comme le dit souvent Daddy, les punitions ne sont pas des jeux de coquins, de spanking ou BDSM, cela doit être désagréable sans quoi la fautive en profite pour satisfaire ses envies de soumission ou son masochisme.

    Quand nous nous sommes amusés dans le monde ABDL découvert sur le site, il a testé comme punition le fait de m’imposer de porter la couche 24/24 le week-end me privant ainsi de gros câlins charnels et donc de jouissance. En grand pervers cela ne l’empêche pas de me donner à téter son « biberon » mais lui seul peut jouir. Par contre, il m’autorisait les toilettes pour faire caca car c’est vraiment un truc qui me dégoutte. Si à la maison je m’en moque car je prends plaisir à mouiller ma couche, là où j’aime c’est quand il me fait mettre une jupe courte pour aller faire les courses au supermarché avec une grosse couche.

    La semaine dernière, j’étais à nouveau punie pour avoir délaissé la maison et jouer sur l’ordi Je n’ai rien trouvé de mieux samedi matin pendant qu’il n’était pas là de recommencer. Comme je ne sais pas m’arrêter, quand il est rentré de travailler j’étais toujours devant l’ordi en train de jouer, la maison était en bordel et le repas n’était pas prêt. Il n’a pas apprécié du tout ! Daddy m’a plantée là en me disant qu’il devait aller faire deux courses en m’ordonnant de me bouger le cul et au son de sa voix, cette fois je me suis transformée en une véritable fée du logis et une excellente cuisinière Vivagel.

    A son retour une heure plus tard, en voyant son visage rieur je sentais bien qu’il se tramait quelque chose mais impossible d’en savoir plus. Le repas consommé, Daddy a décidé de s’occuper de son vilain bébé et même de lui donner la douche avec beaucoup de douceur. Cette douceur et son sourire m’inquiétaient ! Portée jusqu’à la chambre, j’ai compris à son attitude qu’il allait m’arriver quelque chose. Il m’a faite attendre 2 minutes nue sur le lit étendue sur une couche en m’ordonnant de ne pas bouger. Quand il est entré avec sa main dans le dos pour cacher une grosse poire à lavement que je n’ai découverte que lorsqu’il m’a fait relever les jambes. Mes réfutations n’ont rien changée, il me l’a collée dans les fesses en m’interdisant de bouger pour aller la remplir et m’en administrer une seconde.

    A cet instant, je pensais qui allait me laisser aller aux toilettes pour me permettre d’évacuer mais non !!! Il a fait pire !!!!!!! Il m’a collé deux suppositoires à la glycérine avant de refermer la couche avec un certain empressement. J’ai eu beau le supplier, lui promettre que je serai sage, que je ne le ferai plus, quand Daddy a décidé plus rien ne l’arrête. Ce grand pervers ma ensuite mis un de ses pantalons avant de sortir une chaîne de son sac qu’il a passée comme une ceinture avant d’y poser un cadenas. Dire que j’étais furieuse est un euphémisme mais cela ne l’a pas arrêté du tout. Il a ensuite démonté la serrure des toilettes et de la salle de bain dont il avait fermé les portes avant de m’annoncer qu’il allait faire un tennis avec des potes en me souhaitant une bonne après-midi de jeu sur l’ordinateur.

    Je n’étais pas fière car connaissant mon Daddy je me doutais qu’il allait réellement le faire et malgré mes suppliques désespérées il s’est barré !

    A peine était-il parti que j’ai essayé de retirer le pantalon mais il avait vraiment serré la chaîne faisant office de ceinture et à part me faire mal, je n’arrivais pas à grand-chose. Tant bien que mal je suis arrivée à me lever du lit en serrant les fesses comme une malade. Marcher jusqu’à la fenêtre pour voir s’il était réellement parti, l’espoir fait vivre…. fut très difficile et a nécessité une pause jambes et fesses ultra serrées. Bien décidée à ne pas céder et encore moins à me faire dessus, je suis allée au salon pour m’étendre dans le canapé et regarder la télé car la position assise devant l’ordi me semblait trop dangereuse.

    Cela « poussait » tellement dans le bas de mes reins que j’ai commencé à regarder la télé debout n’arrivant pas à me résoudre à faire dans ma couche. Une accalmie dans l’orage de mes intestins m’a laissée à penser que je pouvais m’allonger sur le canapé. Erreur fatale ! Au moment où je me suis baissée, j’ai sentie la trahison de mes sphincters et une grosse masse chaude se frayer un chemin entre mes fesses. Pendant quelques secondes une forme de soulagement physique et un sentiment de bien-être très original m’ont surprise mais ce fut de courte durée…..

    Deuxième erreur ! Au lieu de rester couchée, mon premier réflexe a été de me relever le plus vite possible pour limiter les dégâts qu’elle conne ! L’effort n’a pas plus du tout à mon colon qui en profité de ma baisse de vigilance pour poursuivre sa vidange sans mon accord. Ni une ni deux, j’ai pris mon téléphone portable pour envoyer à daddy un texto pour lui dire que je le détestais !

    « Et moi je t’aime quand tu es un peu attentionnée envers moi, médite un peu, cela te fera du bien » fut sa réponse.

    Comment méditer avec le cul merdeux et une chaîne qui me cisaillait le ventre ? En guise de méditation, pour commencer j’ai pissé de rage en me rendant rapidement compte que ce n’était par forcément une bonne idée ! ! ! Je n’ai donc pas eu d’autre choix que de passer l’après-midi entière dans une couche dégueulasse et très odorante en passant d’un sentiment de colère après lui à un sentiment de honte aussi car il bosse pour nous faire vivre et moi je joue sur l’ordi au lieu de chercher du travail et à défaut de m’occuper de lui.

    J’ai donc pris une feuille de papier sur laquelle j’ai rédigé un mot d’excuses que j’ai scotché au portemanteau qui est dans l’entrée de la maison en espérant qu’il ne rentre pas trop tard et ne ferait pas durer la chose. Daddy est arrivé vers 18 heures, ce qui représente quasiment 4 heures le cul merdeux et je crois que mon mot d’excuse a joué en ma faveur car ce soir là, après une toilette horrible dont je vous passerai les détails, il fut un amour de douceur.

    Ecrivaillon


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