• J’ai découvert le lavement et jouis comme jamais

    J’ai découvert le lavement et jouis comme jamais


    Cela lui a pris comme ça, sans crier « gare » mais ça c’est mon Maître d’Amour, il est doux, attentionné, trop clément bien que parfois sévère mais imprévisible dans ses envies. J’adore !

    - Ce soir, je te fais découvrir les plaisirs du lavement. Me dit mon Maître en m’ordonnant d’aller me laver les fesses, mais en m’expliquant que je dois être bien propre pour qu’il n’y ait que du plaisir.

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    J’ai découvert le lavement et jouis comme jamais


    Euteur : Ecrivaillon

    Cela lui a pris comme ça, sans crier « gare » mais ça c’est mon Maître d’Amour, il est doux, attentionné, trop clément bien que parfois sévère mais imprévisible dans ses envies. J’adore !

    - Ce soir, je te fais découvrir les plaisirs du lavement. Me dit mon Maître en m’ordonnant d’aller me laver les fesses, mais en m’expliquant que je dois être bien propre pour qu’il n’y ait que du plaisir.

    - Je ne vois pas le plaisir qu’il y a à se faire des lavements.

    - Je ne te demande pas de discuter, je te demande d’aller te laver le cul, on verra après si tu as aimé ou pas ! Me répond-il avec son sourire amusé.

    En tant que soumise, je n’ai pas à discuter et me rends donc plusieurs fois à la salle de bain pour m’injecter de l’eau dans les fesses avec la douchette, avant de partir à toute vitesse aux toilettes pour rejeter ce que j’ai à rejeter. (Passons les détails et sonorités romantiques….)

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    Une fois de retour au salon, mon Maître est assis dans le canapé, sur la table de salon une espèce de grosse gourde en latex pour lavement est posée avec des accessoires qui semblent destinés à mon anus. Les voir m’inquiète déjà mais comme d’habitude, il affiche le sourire tranquille d’un pervers sûr de lui, ce qui ne me rassure pas vraiment.

    - Qu’est-ce que c’est que ce truc ?

    - J’ai trouvé ça sur ABCplaisir.com c’est délirant et cela fait un moment que j’en cherchais une.

    - Cela ne me dit pas réellement ce que c’est ?

    - Pour une soumise tu poses trop de questions. Allonge-toi sur la table.

    Je m’étends donc sur la table basse recouverte d’une grande serviette et tends mes poignets vers les cordes fixées au-dessus de ma tête mais il ne semble pas décidé à m’entraver tout de suite. Cela me laisse à penser que la soirée risque de durer car il ne les a pas installées pour rien. Il m’introduit la canule recouverte de gel avec douceur, puis prend place entre mes jambes sur un pouf en affichant un sourire banane. Je sens soudain quelque chose au creux de mes reins, l’eau commence donc à faire son chemin en moi sans que cela ne génère des douleurs ou les sensations si agréables annoncées, mais bon…..

    Au fur et à mesure qu’il presse cette grosse vessie en latex pour mon lavement, je me sens envahir, cela gargouille un peu mais ses caresses délicates, se voulant sûrement rassurantes, sur mon sexe ne me laissent pas indifférente. Avec beaucoup de patience et son éternel sourire sadique, il poursuit mon « remplissage » en me caressant avec plus d’insistance et en me faisant frissonner. Et là, ce sadique sort son arme fatale qu’il pose sur mon clitoris. Les vibrations puissantes auront forcément raison de ma résistance au plaisir annoncé avec son lavement, mais c’est de la triche. Concentrée sur mon plaisir clitoridien, j’en arrive presque à oublier le lavement alors que mon Maître de plus en plus sadique s’amuse à me titiller juste pour m’allumer.

    - Bon, tu as pris un gros litre dans les fesses et vas pouvoir te lever pour aller te vider, mais attention de ne pas fuir sans quoi c’est 10 coups de fouet !

    Il est drôle lui, comment ne pas fuir alors qu’il m’a mis bien plus de liquide que mes petits lavements ? Les fesses serrées au possible, aidée par mon Maître je parviens tant bien que mal à me lever sans fuir, mais à peine le premier pas fait, mon anus se rebelle. Un filet coule sur ma jambe que faire ? A petits pas mais le plus vite possible je fonce aux toilettes en fuyant un peu tout le long du chemin, sous les propos sarcastiques de mon sadique d’Amour. Et là surprise !

    Surprise parce qu’en rejetant le lavement, une troublante sensation me submerge. Cela n’a aucun rapport avec les sensations que l’on éprouve lorsque l’on va aux toilettes pour déféquer. Cela fait drôle, comme si on faisait pipi par derrière ! En même temps, mon intérieur s’agite, c’est aussi surprenant qu’original bien que troublant je dois l’avouer. A mon retour au salon, mon Maître m’attend avec sa grosse vessie en latex à la main.

    - Ah non, s’il vous plait !

    - Allonge-toi et écarte les jambes ! Fut sa seule réponse face à mes réfutations.

    Cette fois, une fois allongée, il calle son énorme gourde entre mes fesses puis introduit une canule un peu plus grosse dans mon anus déjà plus « ouvert » avant de m’attacher les mains derrière la tête. Lorsqu’il se met à pousser le liquide, une douce chaleur m’envahit. A mon regard étonné, il m’explique que c’est du lait chaud et que nous allons pouvoir passer à l’étape supérieure dans mon lavement. Du lait ? Il est fou. Cette fois, l’injection est un peu plus rapide, ses doigts taquins plus coquins, mon remplissage et ses attouchements pervers génèrent en moi de bien troubles sensations. Lorsqu’il attaque mon clitoris avec son arme fatale, cette fois je sens bien qu’il est décidé à me conduire au plaisir. Tel un acharné, il appuie sur la vessie en faisant vibrer tout mon sexe en même temps qu’il titille mon clito de sa langue diabolique. Tout devient trop fort, diabolique, c’est bon mais trop fort et me pousse dans mes retranchements. Si je n’étais pas entravée, j’essayerai de le fuir pour causse de « trop bon / trop fort » mais là je ne peux que subir et me tordre de plaisir.

    Mon corps tout entier se met à vibrer, l’orgasme passe à travers mon ventre, mon colon, mon sexe, mon anus et ma chouchounette qu’il titille de ses doigts agiles. Cette jouissance n’est pas un raz de marée c’est un tsunami ! J’aimerai que cela dure des heures tant c’est violent mais il s’arrête puis, en me lançant un regard sadique et un sourire diabolique au coin des lèvres, il enfile des gants puis pose une grosse serviette par terre. Il semble me dire de ses yeux inquisiteurs en recouvrant les gants de lubrifiant, que la fête va commencer !

    Avec précaution, il retire la canule de mes fesses mais à peine retirée, il y introduit ses doigts. Ohhhhhhhhh ! Les doigts de sa main gauche envahissent ma chouchounette. Il me lance un grand sourire particulièrement pervers puis se met à me grignoter le clito. Sous ces doigts de plus en plus inquisiteurs et sa langue diabolique, je deviens folle. Je serai morte ou bonne pour la camisole de force quand il va me libérer, car tout cela me transporte dans un état de folie pure tant les sensations sont fortes. Il se décale soudain, sort ses doigts de ma couchounette pour entreprendre de me « branler le cul » comme un malade. (Désolée pour les mots crus mais c’est la réalité)

    Alors que je me tords de plaisir sous ses doigts de malade mental, le lait s’échappe, gicle dans le salon, ma tête semble flotter, c’est complètement fou.

    Mon Maître semble à présent décidé à me tuer, à m’achever ! ! ! Les gants recouverts de lubrifiant, il s’attaque à mes deux orifices en agitant ses doigts à la vitesse grand V. Mon dieu que c’est bon, mon dieu que c’est fort, dans ma tête, mon corps se résume à présent à deux orifice, mon cerveau s’est focalisé sur eux. Ce n’est pas un long moment de jouissance, non c’est pire ! Lorsqu’il s’arrête j’en veux encore mais il me répond qu’il ne faut pas abuser des bonnes choses. Je hais mon Maître un instant même si je sais qu’il a raison et que son refus a pour objectif de me protéger et ma santé.

    Après m’avoir libérée, il m’abandonne sur la table sous un gros peignoir pour pas que je n’ai froid et me laisse revenir sur le plancher des vaches. Encore une fois mon Maître avait raison, un lavement peu générer de très grandes et agréables sensations.

    Epilogue

    Mon Maître m’a mis une couche pour la nuit, en m’indiquant que je ne pouvais pas avoir rejeté la totalité des lavements en si peu de temps. Encore une fois il avait raison mais je n’ai même pas essayé de discuter, je n’en avais pas le force.


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