• Féminisation et mésaventures

    Féminisation et mésaventures

    Quand le plaisir d’être en femme vous conduit à jouer Outdoor bondage avec des menottes

    Paul, aiment se féminiser, se vêtir comme ces femmes qu’il adore, qu’il vénère presque. Elles sont si belles, si fines, qu’il rêve d’en être une et pourquoi pas, d’être lesbienne. Hélas, la nature en a décidé autrement, il a un sexe masculin dans sa culotte.

    Sa timidité l’oblige à vivre secrètement ce besoin de vivre sa féminité, il a donc une garde-robe cachée dans une de ses armoires. Quand il se féminise, Paul s’impose une cage de chasteté, pour lui, sa quéquette devient un gros clito et il est hors de question qu’il l’agite manuellement. Le problème qu’il rencontre à cause de sa timidité, c’est de ne pouvoir sortir en femme dans la rue, ni même au grand air dans la forêt ou la nature.

    Lorsque le gîte fétichiste a ouvert ses portes, il a longuement réfléchi avant de les contacter pour avoir des informations, pour savoir si cela poserait problème qu’il soit en femme H24 pendant une semaine. Il lui a été répondu que cela ne poserait aucun problème, que le principal pour le gîte, est que ses clients puissent vivre des « poches » de bonheur, de vivre leurs fantasmes sans être jugés. A chaque fois, le propriétaire lui a répondu : le meilleur des fétichismes est celui qui vous permet de vous épanouir, d’être bien, heureux, de vous faire plaisir et cela, peut importe que vous soyez hétéro, gay, lesbienne, trans ou autres genres.

    Paul a fini par sauter le pas et prendre une semaine de vacances pour se reposer après avoir réservé le gîte pour une semaine. Entre le moment où il a réservé et la date « « « fatidique » » » ses rêves nocturnes se sont chargées de lui donner des envies de soumission en femme. Il en a parlé au patron du gîte, un homme ultra ouvert bourré d’idées coquines pour que ses clients se fassent plaisir. Les réponses lui plaisaient beaucoup, l’excitaient et, en même temps, lui faisaient peur.  

    LE JOUR J

    Le jour J, lorsque Paul est arrivé au gîte fétichistes, le patron était absent. C’est son épouse qui l’a accueilli et guidé vers son gîte puis lui a fait la visite des lieux et du matériel à sa disposition. Tout comme le patron, elle était zen, décontractée, aimable à souhait. A peine était-elle remontée en ses appartements, Paul a réalisé son premier fantasme : mettre un maillot de bain deux pièces et aller se baigner dans la piscine. Pour ce premier pas hors de chez lui, il n’a pas osé mettre sa cage de chasteté, ses craintes étaient d’être vu avec une grosse bosse dans son maillot. Si le plaisir était au rendez-vous, il lui manquait quelque chose « en bas », ce quelque chose qui décuple l’excitation et vous interdit de la soulager. Il s’est donc un peu caressé dans l’eau en s’interdisant de finaliser.

    Excité comme une puce, Paul décide de se vêtir en femme de la tête aux pieds avec un ensemble de sous-vêtement blanc puis d’une robe légère de la même couleur. Arrivé au donjon, son excitation grimpe en flèche. Il lui revient en mémoire qu’il pouvait jouer selfbondage en intérieur et en extérieur en utilisant les accessoires prévus à cet effet. Il prend donc des menottes, les 50 mètres de ficelle puis les clés des menottes qu’il attache à la chaîne des menottes. Ainsi se dit-il, si je trouve un arbre dans le verger pour m’attacher, je serai obligé de patienter le temps de faire remonter les clés jusqu’à mes mains pour me libérer.

    Avant de se lancer dans l’aventure, il prend une cagoule sur la panneau des accessoires puis passe au gîte pour enfiler, presque d’urgence, sa cage de chasteté dont il laisse les clés sur place. Timidement, Paul traverse de parc en ayant un peu peur d’être vu, avant de s’enfoncer dans le verger, les arbres ne font pas que de l’ombre pour lui, en le cachant, ils deviennent également les protecteurs de sa timidité.

    Après avoir traversé une des petites rivières, il aperçoit presque au fond du verger un grand noyer et de belles branches. Le chant des oiseaux l’accompagne dans cette sorte de fugue coquine, ils ne le trahiront pas et ne lui feront pas de mal. Après avoir repéré la branche lui convenant, il dépose les clés des menottes au sol, vérifie trois fois quelles sont bien attachées à la chaînette de ses bracelets en métal avant d’en poser une sur son poignet droit. Un grand moment de doute et de peur le freine avant d’enfiler la cagoule d’isolation BDSM.

    Une fois mise sur sa tête et fermée, en levant les mains vers la branche de son supplice, à l’aveugle il vérifie encore une fois que la ficelle lui permettra de récupérer les clés puis, comme quelqu’un qui se jette à la mer, il referme la deuxième menotte sur son poignet gauche. « Ca y est, c’est fait j’ai osé » se félicite Paul malgré les craintes d’être vu.

    Il savoure quelques instants le fait d’être « piégée » comme une femme dans un champ, à la merci de n’importe qui. Ces divins instants de fantasmes sont un peu castrés par ses peurs dues à son manque d’expérience dans ce type de jeux, de pratique.     

    Alors qu’il entreprend de faire remonter les clés des menottes en tirant sur la ficelle, soudain, elles sont bloquée. Avec prudence, il essaye de les débloquer, tire un peu plus fort malgré sa peur de casser la ficelle.

    - Ben voilà une petite salope qui a envie de s’offrir un plan cul avec des inconnus !

    La gorge de Paul se serre, son coeur s’emballe. Il fait des « non » avec sa tête, tente de réfuter mais avec la cagoule, sa voix ne semble pas assez forte pour être entendue.

    - Ce n’est pas la peine de tirer sur ta ficelle, c’est moi qui ait les clés !

    Malgré la cagoule qui lui donne soudainement horriblement chaud, Paul tente de dire, que ce n’était qu’un jeu, que ses amis l’ont attaché et vont arriver.

    - Ouai, ouai, c’est ça, prend-moi pour une bille salope, pour venir ici il n’y a qu’un passage et je t’ai vu venir seule !

    L’homme se plaque soudain contre lui en enroulant ses bras autour de son corps pour venir tripoter sa poitrine. « Putain, que j’ai été con » pense Paul avant d’essayer de se soustraire aux horribles attouchements. Au lieu d’arrêter, le sadique le serre encore plus fort dans ses bras, donne des coups de hanche comme si il était en train de le prendre debout par derrière. Ses mains glissent ensuite de la poitrine à ses cuisses dont il tâte sans aucune gêne l’intérieur à travers la robe.

    « Si il touche ma cage de chasteté, il comprendra que je ne suis pas une femme » se plait à espérer Paul. Hélas pour lui, l’inconnu décide de s’en prendre à nouveau à sa poitrine. A travers le soutien-gorge rembourré il la malaxe sans vergogne, pire encore, il cherche à l’embrasser dans le cou. Débout avec les mains menottées assez haut au dessus de sa tête, à par crier « non, stop, arrêtez », il ne peut fuir le sadique dont les intentions sont claires ! 

    Soudain, il parvient à faire remonter le soutien-gorge pour s’attaquer à ses tétons.

    - Tu sembles avoir un très beaux cul mais tu n’as pas beaucoup de nibard, ce n’est pas grave, on fera avec !

    La panique s’empare de Paul quand l’homme passe un truc ressemblant à une chaîne autour de son cou. Après l’avoir faite passer par dessus la branche, il tire comme si il voulait le pendre. Pris de panique, Paul essaye de luter, en vain. Toute l’horreur de la situation lui saute aux yeux, il est à la merci d’un fou !

    - Tien, ce sont les clés des menottes, détache-toi et remets-les mais cette fois mains dans le dos !

    Paul abdique aussitôt, il a trop peur que résister pousse le malade mental à le pendre. Affolé il galère pour trouver le trou de la serrure de la menotte de son poignet gauche.

    - Allez, magne-toi si tu ne veux pas que je te pende de suite !

    Tant bien que mal, il parvient enfin à se libérer et, sous la traction de la chaîne le motivant à être très « obéissante » il referme la menotte sur son poignet gauche après avoir mis les mains dans son dos. C’est avec un grand soulagement qu’il sent que la chaîne qui aurait pu servir à le pendre se desserrer.

    - Allez la belle, on va aller faire la fête ! Lui indique le sadique en lui donnant une grande claque sur les fesses pour le pousser à avancer.

    Guidé par le bras il est rattrapé de justesse par deux fois pour éviter une chute.

    - Bon, on va enlever ta cagoule, tu marcheras plus vite si tu y vois ! Déclare le pervers.

    Lorsqu’il lui retire la fameuse cagoule d’isolation BDSM, l’affreux personne constate qu’il n’est pas une vraie femme. Paul se plait à espérer que cet homme qu’il trouve hideux va le libérer. Il n’en est rien ! Si il semble déçu, il semble toujours intéressé par ses fesses qu’il malaxe en lui disant qu’il a un très beau cul et que lui est ses amis de la plantation devaient apprécier.

    Quelques minutes plus tard, la chaîne toujours fixée autour de son cou est accrochée à la charrue attelée derrière le tracteur du paysan psychopathe. Lorsque Paul entend le moteur démarrer, il croit sa dernière heure arrivée. Par chance, le sadique est en vitesse courte, le tracteur avance à la vitesse d’un escargot et Paul peut suivre sans aucun souci.

    Arrivé au garage après 5 minutes de marche traumatisante, le pervers arrête le moteur, puis, après être descendu, tire un peu sur la chaîne pour obliger Paul à se pencher en avant et à s’appuyer sur la charrue. Une fois ainsi entravé fesses bien relevées, le sadique soulève la robe et le complimente sur la beauté de son popotin.

    - Ca va, tu as aimé mon scénario ?  Demande le propriétaire du gîte fétichistes.

    - Même si je savais que vous me prépariez un scénario, j’avoue qu’à certains moments je n’étais vraiment pas rassurée !

    - C’était un peu le but, mais comme indiqué, ici on arrive entier et on repart entier en bonne santé. Je ne suis qu’un gentil psychopathe ! Lui indique le propriétaire du gîte en le libérant. Franchement, tu étais très belle ainsi vêtue, tu verras par toi-même sur les photos que j’ai prises.

    - Merci monsieur !

    EPILOGUE

    Se sentant en sécurité et surtout pas jugé, les vacances de Paul n’ont vraiment pas, mais vraiment pas été sages aux yeux de « sages s’autorisant à dire ce qui est bien ou mal ». Pendant sa semaine de vacances, Paul n’a jamais porté de sous-vêtements masculins, même lorsqu’il a visité la région et fait ses courses. Au gîte, la valise contenant ses vêtements « classiques » n’a pas été souvent ouverte, vivre en « Pauline » lui a permis d’être heureux.

    Fin

    TSM   

    Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

    Le site du gîte fétichiste et BDSM est ici
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