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Enlèvement et sexe en Haïti
Tags : Enlèvement, viol, abuse, sexe, histoire érotique, masturbation, plaisir, entravesEnlèvement et sexe en Haïti
Une jeune femme est enlevée par un miliardaire qui va abuser d'elle et lui faire vivre des choses folles avant l'attaque des pirates. Une histoire pleine de rebondissements !
Enlèvement et sexe en Haïti
Auteur : EcrivaillonEncore un de mes vieux textes hard qui peut-être alimentera vos fantasmes les plus fous si vous êtes adepte du BDSM et du sexe soi-disant sous la contrainte.
Le tremblement de terre de 2010 en Haïti est un tremblement de terre d'une magnitude de 7,0 à 7,3 survenu le 12 janvier 2010 à 16 heures 53 minutes.
17 heures
Le bateau d’un milliardaire particulièrement sadique mouillé à Port-au-Prince a simplement vibré dans ses amarres. Les cris et lamentations sur le ponton l’ont arraché à sa sieste. En montant sur le pont, la vision apocalyptique de la ville ravagée l’attriste à peine.
Fred semble plus furieux. Niché au creux des poumons, il y a un organe qui s’appelle le cœur. Tous les êtres humains en ont un. Tous sauf lui. A la place, il y a un bloc de fonte que rien n’atteint.
Ses « esclaves » surnom qu’il donne à ses deux matelots grassement payés auraient du faire les courses hier, sa réserve de champagne diminue à vue d’œil et présentement, il va être difficile de se réapprovisionner. Ce n’est pas un sentiment humaniste qui le pousse vers la ville mais sa curiosité malsaine.
Au milieu des immeubles effondrés, les habitants vivent des moments de panique, à la recherche notamment de leurs proches, d’autres, agars, marchent vers nulle part. Les cris de désespoir et lamentations des gens atterrés devant les ruines des immeubles et maisons l’ennuient. Une femme courant comme une dératée le bouscule, au lieu d’être compatissant pour cette mère affolée se rendant à l’école sûrement détruite, il peste, l’engueule, mais elle ne l’entend pas. Agacé, il fait volte face pour retourner sur son yacht.
18 heures 30
Ses deux matelots ne sont pas rentrés, Fred peste de plus en plus, il aimerait appareiller pour fuir ce lieu maudit et toute cette misère. Naviguer seul ne lui pose pas de problème, mais sans personnel pour le service, c’est chiant. Sur le pont supérieur, vautré dans un fauteuil avec un cocktail à la main, il suit de loin les allers et venues quand soudain lui vient une idée. Il va y avoir des centaines, que dis-je des milliers de morts et de disparues, une de plus ou une de moins, ne fera pas la différence…..
Son instinct franchement esclavagiste s’emballe, l’image d’une belle femme nue hurlant de douleur sous son fouet traversant son esprit, lui fait l’effet d’un coup de pied dans son caleçon. Une disparue de plus ou de moins ne changerait pas grand-chose…..
19 heures 30
C’est dans cet état d’esprit que Fred abandonne son bateau pour retourner au milieu des ruines. Faire son marché parmi cette population n’est pas aussi évident qu’il ne le pensait. Les belles jeunes filles lui paraissent soudain moins belles.
20 heures 15
C’est dans la rue, assise sur un tas de gravas qu’il aperçoit une jolie et jeune blanche métissée avec de longs cheveux blonds pleurant toutes les larmes de son corps dans l’ignorance la plus totale. En vacances avec ses parents à l'hôtel Montana, Aline était sortie pour aller flâner sur le port que son père, ancien marin connaît très bien puisque c’est ici qu’il y rencontré celle qui allait devenir sa maman.
En perdition totale et broyée de chagrin et d’inquiétude elle s’abandonne et craque dans les bras réconfortants de Fred avant de le suivre sans aucune méfiance jusqu’à son yacht d’où ils pourront téléphoner. En chemin, entre deux crises de larmes, il apprend qu’ils sont venus en Haïti pour fêter ses dix-huit ans et qu’ils viennent de Paris.
Aline monte à bord sans aucune crainte ou méfiance et sans aucune considération pour le luxe écrasant du yacht qui l’aurait fait rêver en d’autres circonstances. Frigorifiées et couchée en chien de fusil dans une immense chauffeuse, elle attend avec inquiétude qu’il revienne lui donner des nouvelles mais ce n’est pas des informations qu’il lui apporte mais un grand chocolat chaud en lui indiquant que les lignes semblent saturées. Elle veut repartir pour chercher ses parents mais il l’en dissuade en lui expliquant qu’il va contacter des amis sauveteurs et qu’elle devra les guider. Murée dans le silence et morte de peur, les yeux d’Aline fixent de sol, derrière-elle Fred ferme les rideaux puis s’approche doucement comme un prédateur vers sa proie.
L’attaque du sportif musclé est rapide, précise, efficace. A l’issue d’une courte lutte inégale, elle est bâillonnée et se retrouve couchée par terre avec les bras liés dans le dos. Il la soulève comme s’il s’agissait d’un véritable poids plume pour la jeter sur son épaule, les jambes battant dans le vide elle perd l’une de ses chaussures. A l’entrée d’une coursive, sa tête heurte le mur, mais il n’en a que faire.
22 heures
Le bateau vogue à pleine vitesse cap sur la mer des Antilles en longeant les côtes de l’île de la Gonâve. Aline solidement entravée sur le lit ne peut que tirer inutilement sur ses liens et pleurer sur son sort.
22 heures 30
Ni tenant plus, Fred jette l’encre pour aller s’amuser avec son nouveau jouet. Certes des filles il en a eu, il en a martyrisée mais c’est la première fois qu’il en a une qui lui appartient totalement et avec laquelle il va pouvoir faire tout ce qu’il veut. Totalement captive et vulnérable à souhait, entravée couchée sur le dos jambes écartées et bras dans le dos, Aline supplie dans son bâillon puis fait des « non » de la tête en voyant son ravisseur entrer avec un grand sourire malsain sur son visage. Son tee-shirt portant l’inscription « Y love you » avec un gros cœur rouge ne traduit pas les sentiments éprouvés par Aline à l’instant où il s’assoit près d’elle en posant la main sur sa poitrine.
Il palpe ses seins avec douceur, comme pour faire connaissance avec ce corps juvénile malgré les vaines tentatives de fuite.
Particulièrement oppressé et tétanisée par l’horreur elle croit défaillir quand il arrache soudain son tee-shirt. Il n’a pas de pitié pour le soutien-gorge trop pressé de voir sa belle poitrine juvénile. La plénitude de ses jeunes seins généreux et de la courbe parfaite de ses hanches sont un véritable appel à la caresse. Caressée puis palpée plus fermement à pleines mains, Aline couine dans son bâillon. Fred ne cesse de se repaître de sa poitrine qu’il embrasse du bout des lèvres avant de grignoter les tétons qu’il s’amuse à pincer de plus en plus en arrachant à leur propriétaire de longs cris dont il se délecte. Sentir ce corps fragile bondir de douleur sous lui, l’excite au plus haut point.
La main de Fred descend plus bas, Aline se tend comme un arc quand ses caresses deviennent on ne peut plus précises. Elle s’insinue dans son short doucement comme pour faire durer le plaisir, glisse dans le string puis s’incruste dans ses chairs intimes à la recherche du puits qu’il espère inviolé en y enfonçant un doigt.
- Tu n’es plus vierge et en plus tu t’épiles, mais c’est que tu serais une petite salope…. Hummmm je sens qu’on va bien s’amuser tous les deux.
Fred ouvre délicatement comme s’il ouvrait un cadeau fragile le bouton du short en toile puis découvre en en écartant les pans, un petit éléphant comme motif sur le string rose.
- Mais c’est que tu trompes ton monde toi, coquine, je vais te faire voir une belle trompe moi dans un petit moment, je suis sûr que tu vas apprécier d’en avoir une vraie….
Pressé par la gourmandise, il saisit le short qu’il se met à écarter de toutes ses forces. La fermeture éclair décorative et le tissu ne résistent pas à sa faim de jouvencelle et se déchirent arrachant à Aline le bien faible rempart la protégeant encore de son violeur. Le string n’est qu’une modalité pour le sportif. Aline, les yeux fermés pleure en silence et attendant de vivre ce qu’elle pense être son pire cauchemar. Elle entrouvre les paupières lorsque qu’il manipule la ceinture de son pantalon et le voit avec effroi l’ouvrir puis le baisser en même temps que son caleçon en offrant à son regard une longue et grosse verge gorgée de désir.
Quand il monte sur le lit, elle ferme les yeux comme pour échapper à l’horreur. Tétanisée elle ne bouge pas quand il se couche sur elle, ce n’est qu’au moment où de la main guide le gland pour chercher la faille, que mue par l’énergie du désespoir elle se cabre comme une furie mais en vain. Encore plus excité par cette tentative dérisoire de lui échapper, il s’amuse à la fouiller un instant avant de s’enfoncer profondément en elle d’un seul coup. La pénétration brutale horriblement douloureuse arrache un cri d’agonie à Aline qui se débat sous les assauts du bélier de chair dure et brûlante. Fred se délecte des agitations de ce corps, des seins fermes qu’il malaxe, de la peau du cou laiteuse qu’il se plait à lécher.
Aline épuisée s’est calmée et ne pousse plus que de petits gémissements plaintifs pendant qu’il la prend à grand coups de reins. La chaleur du corps de son violeur, la fait abondamment transpirer. Résignée elle attend maintenant la fin de son calvaire et ne réagit plus. Au bout d’un moment où il se met à ahaner puis à beugler comme un porc en libérant un flot de sperme épais en son ventre profané avant de s’écrouler sur elle tout essoufflé.
Pris d’une soudaine envie câline, il caresse son visage défait, ravagé, lui fait de petits baisers et lèche ses larmes.
- « Pleur » pas bébé, on va s’amuser tous les deux, je vais de faire vivre des sensations si intenses et si fortes que tu n’imagines pas à quel point tu vas jouir. Je suis ce que l’on appelle un Maître, je vais te dresser et te rendre folle de sexe, tu vas connaître des jouissances folles. Regarde ce que j’ai pour te faire vibrer ! Dit-il en se levant pour aller ouvrir un immense placard et dévoiler au regard terrorisé d’Aline une gigantesque panoplie d’accessoires SM bien rangé.
Il extrait d’une caisse deux vibromasseurs filaires avant de revenir vers sa proie avec un sourire sadique posé sur ses lèvres. Après avoir fait un passage dans son sexe pollué, le plus petit des vibros force son anus rapidement suivi par le gros équipé de billes tournantes. Pour les maintenir en place, il les scotche en se gardant bien de couvrir le clitoris pour lequel il a d’autres projets. Fred installe ensuite un socle équipé d’une perche avec un gros vibromasseur en forme de micro scotché à son extrémité. Il pose la grosse boule sur le clitoris d’Aline avant de bloquer le tout par une petite sangle.
Impuissante Aline ne peut que le regarder et trembler de peur quand il branche les prises électriques dans une multiprise. Fred démarre un à un les vibros arrachant des suppliques désespérées à sa victime. Le vibro anal vibre bien sûr mais à l’intérieur une bille décentrée monte et descend dans le tube de forme phallique générant une sensation de pénétration. Celui qui est profondément enfoncé dans son vagin est équipé de mini billes qui se mettent à tourner autour du gros gode, massant ainsi les parois en vibrant. Tout cela n’a rien de douloureux mais affole Aline. Quand Fred allume le gros vibro en forme de micro qui est posé sur son clitoris, elle pousse un cri de surprise car c’est ultra puissant. Pour compléter son abominable machination sexuelle, il lui pose deux électrodes sur les seins et les relie à un boîtier d’électro stimulation.
- Elle n’est pas belle la vie ! Lui indique Fred en s’installant confortablement dans un fauteuil. Regarder une femme luter contre le plaisir avec un bon cigare et un bon verre est quelque chose qui m’amuse beaucoup, résiste au plaisir, mes yeux ne se lassent pas de cette lutte.
« Comment une femme violée peut-elle prendre du plaisir » a envie de lui hurler Aline en lui criant toutes les insultes lui passant par la tête. Elle parvient à contrôler son excès de rage par peur de représailles. Son intimité est monstrueusement chahutée, cet équipement diabolique l’ennuie fortement mais elle reconnaît intérieurement qu’en d’autres circonstances, elle aurait pu apprécier de vivre cela. Pour essayer de mettre un terme à son calvaire, elle mime le plaisir et commence à geindre en espérant qu’il y croit.
- Même pas en rêve petite, je n’en crois rien, mais dans un moment, tu chanteras réellement avant de te mettre à hurler de plaisir.
Fred se lève, affine les réglages de ses instruments diaboliques en augmentant la puissance, et là, Aline sent que des choses se passent en elle. Les picotements électriques sur ses seins détournent son attention sur autre chose que son intimité. Ils varient d’intensité, les fréquences se rapprochent, cela commence réellement à piquer. Puis c’est au tour de son anus de perturber ses pensées, le gode semble s’accélérer. Tout en vibrant, son proche voisin logé dans son vagin entretient un massage pendant que son clitoris commence à s’affoler.
Quelques minutes plus tard, elle tire en vain sur ses liens pour fuir la jouissance qu’elle sent honteusement arriver. Ses mâchoires se mettent à trembler, sa respiration s’accélère, son ventre et ses orifices commencent à se contracter malgré elle. Elle claque des dents, tourne la tête dans tous les sens pour essayer de lutter, elle ne veut lui accorder le plaisir de la voir jouir. Fred se lève et vient inonder son ventre de lubrifiant avant de reprendre place sur son fauteuil, il sait qu’elle va craquer, aucune fille n’a pu résister à ses machines diaboliques.
Confusion indicible commence envahir Aline, son corps est secoué de spasmes comme au paroxysme de la jouissance physique. Elle se met à haleter. Un sentiment de honte puis d'exaltation la submerge. Son regard devient vitreux, son corps tendu comme un arc fibrille un instant avant de se cabrer de volupté sous un embrasement intégral des sens. Une marée de plaisir inonde sa caverne intime en attisant dans son sexe un embrasement de perversité, c’est maintenant un véritable l'incendie qui couve entre ses cuisses s’agitant pour fuir le trop de plaisir, ce plaisir si intense qu’il rend fou.
Elle vient de jouir éperdument mais, une fois sa chair emplie de lave, d’autres spasmes pointent le nez à l’horizon. Elle gémit en implorant avec des mots inaudibles qu’il arrête ses machines mais en même temps se surprend à agiter ses reins.
Fred ne se lasse pas de la voir se contorsionner dans ses liens, quand un bruit de pas sur le pont attire son attention. Il bondit de son fauteuil pour prendre son révolver dans sa chambre avant de se précipiter dehors pour voir qui s’est permis de monter sur son bateau. Quatre pirates sont à l’avant, il braque son arme et leur hurle de sauter par dessus bord quand soudain un violent coup de crosse sur la tête le coupe net dans ses élans. Le pirate qui l’a assommé lui donne encore quelques coups pour s’assurer de son calme, l’un d’eux l’atteint à la nuque lui autant la vie en une fraction de seconde.
Ils se lancent dans une inspection du bateau à la recherche d’autres occupants et découvrent Aline qui à leur entré se met à hurler avant de crier « help help ». Ils poursuivent leur visite du navire avant de revenir vers elle. Les cris qu’elle pousse et ses « help » répétés comme une femme affolée les titillent. Quand l’un d’eux la libère, elle se jette dans ses bras en pleurant puis en le remerciant.
Les pirates peu habitués à ce que leurs victimes leur sautent dans les bras et les remercient comprennent aussitôt que cette fille à été enlevée. Le bateau, fouillé et pillé, ils l’abandonnent sur le navire avec comme seul compagnon le cadavre de Fred. Dans sa folie, elle descend en courrant chercher les cordes la maintenant sur le lit pendant son viol avant de venir lier les mains et les jambes de son tortionnaire sans même se rendre compte qu’il est mort.
Une fois vêtue, elle se précipite dans le bateau à la recherche d’un téléphone. Il est codé et ne peut s’en servir. Au pas de course elle monte au poste de pilotage et s’acharne sur la radio. Elle lui explique la situation et demande de l’aide. L’homme suspicieux demande des précisions avant de lui expliquer comment prévenir la police maritime et indiquer sa position, car il ne veut pas être impliqué. Devant les suppliques désespérées de la femme qu’il a sur la radio, il accepte de prévenir la police pour elle mais il refuse de venir la chercher sur le bateau par peur que les pirates ne reviennent ou que la police le soupçonne.
Trois heures plu tard, un siècle pour Aline, un bateau de la police maritime accoste celui du milliardaire.
Ecrivaillon
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