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Cuckold l'agonie d'un soumis cocu
Par TSM dans Chasteté récit et astuces le 5 Novembre 2012 à 14:50Tags : cuckold, caundauliste, cocu, libertinage, libertine, place nous, libertin, maitresse, chasteté, chaise percée, chaise, bdsmCuckold l'agonie d'un soumis cocu qui va vivre la soumission extrême dans le cocufiage avec en prime sa cage de chasteté
Cuckold l'agonie d'un soumis cocu qui va vivre la soumission extrême dans le cocufiage.
Maîtresse Kalinka devient de plus en plus sadique avec son mari soumis et le fait cocu de la pire des manières.
La semaine dernière, elle l'a entravé sur la table du salon avant de poser la chaise percée sur son visage. Tout heureux, il s'attendait à recevoir son champagne doré mais il n'en fut rien. Louis attendait patiemment, malgré l'inconfort de la position. Son sexe, devenait chaque jour, chaque nuit davantage, le siège de désirs impérieux multipliés par les effets de la cage de chasteté portée en 24/24. La chaise percée lui permettait donc d'espérer en se sustentant de la liqueur de sa Maîtresse de pouvoir enfin embrasser, lécher, savourer l'infime douceur de la vallée des plaisirs de sa reine. Mais il n'en fut rien.
Elle apparue telle une fée dans son champ de vision vêtue d'un déshabiller à réveiller les morts. Le siège naturel de toutes ses convoitises lui apparut masqué par une fine et délicieuse culotte en satin rouge. Aussi délicieuse soit-elle, lorsqu'elle prit place sur la chaise percée, il comprit aussitôt que les pétales de chair il ne les verrait point.
- Avec ton nez, masse-moi doucement et surtout, ne mouille pas ma culotte ! Lui ordonna Kalinka.
Les fragrances naturelles de sa Maîtresse retournent littéralement les sens de Louis privé du contact tant espéré. Il effleurait donc le bourgeon dardé de son nez à travers de fin rempart de tissus lorsqu'elle saisit délicatement ses tétons entre le pouce et l'index puis soudain les étira cruellement.
- Tu dors ou quoi ! Aboya-t-elle.
Pour l'obliger à abdiquer pour le plan sadique mijoté malicieusement pour la fin de la soirée, Kalinka s'était armée d'un martinet. Elle se mit à en rudoyer les testicules tendus pour cause d'érection contrariée par la cage. Louis bondit tant sous la douleur que de surprise en ruant dans ses liens. Pendant un bon moment, elle s'amuse à fouetter ci et là sans aucune pitié pour son soumis.
C'est le son de la sonnette qui mit un terme à ses souffrances. Il ne sut pas à ce moment là s'il devait s'en réjouir ou s'en inquiéter car être vu nu, encagé sous une chaise percée n'est pas l'idéal pour faire briller le vernis social d'un homme. Du salon, il reconnu une voix masculine, masculine certes mais inconnue. Son sang ne fit qu'un tour, même s'il Louis est habitué aux frasques diaboliques de sa Maîtresse. Les pommettes rouges de confusion, il ne put que se fondre tout au plus dans la table du salon, lorsque l'homme entra dans le dit salon des fesses-tivites.
Et là, la tête tournée en s'en démettre les vertèbres cervicales, il put apercevoir un homme roulant une pelle monumentale à sa Maîtresse accrochée à lui comme la misère sur le monde.
En quelques minutes, cet homme lui apparu comme un « gros enculé » une « bordille » un enfoiré sadique de première, un conn.... pervers aussi diabolique que sa Maîtresse.
- Bonsoir cocu, ravi de faire ta connaissance !
Cet en..... se permit de demander à sa Maîtresse de s'asseoir sur la chaise afin que son soumis lui chauffe « la foune » et cela, en posant le pied sur son sexe encagé ! ! ! ! N'ayant d'autres choix que d'abdiquer pour cause de Maîtresse motivée et de pied sur les couilles, Louis agita donc son nez de cocu dans la dite « foune » qui ne tarda pas à migrer vers la couche conjugale lui étant interdite. (Louis dors dans le placard)
Deux heures plus tard, et après des gémissements et cris de plaisir l'ayant rendu fou au point qu'un appel aux urgences psychiatriques aurait était nécessaire, Maîtresse Kalinka et son amant sortirent de la chambre pour venir lui faire part des plaisirs éprouvé et dont il avait déjà connaissance à la sonorité encore imprégnée dans les murs !
Sans que cela souffrît discussion, Maîtresse Kalinka prit place sur la chaise en lui intiment l'ordre de lécher les restes de son amant. Le pauvre Louis dépité, hébété, fou de rage enfonça sa langue dans le vagin et bu l'abondante sève qu'il lapa avec conviction, malgré son dégout, sur les délicates parois pour son sexe interdites.
Le doux nid d'amour savamment nettoyé resta en place à la demande de l'amant qui se permit d'aller chercher des flutes à champagne pour trinquer avec lui. En clair et comble de l'ignominie, l'amant trinqua avec sa Maîtresse en croisant les verres comme des amoureux et avec lui en faisant trinquer sa flute contre sa cage de chasteté ! ! ! ! ! Fou de rage et comme un exutoire, Louis lécha l'anus de sa Maîtresse et le pénétra avec sa longue langue de vipère prête à piquer telle une verge frénétique sans savoir que l'amant était aussi passé par là.
Cette action rageuse provoqua chez Maîtresse Kalinka un petit Mistral, pardon un petit vent qu'il ne perçut pas perdu dans la fureur d'une tornade sentimentale faite de soumission et d'abnégation de soi.
TSM
Les photos de cette agonie de soumis cocu sont ici :
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