• Centre de réalisation des fantasmes

    Centre de réalisation des fantasmes

     


    Tous les thèmes sont possibles ABDL, libertinage, fétichisme, BDSM, fessée, sexe, homosexualité, autres……

    Cette publicité lancée sur le net il y a quelques temps a généré un gigantesque raz-de-marée sur le site internet du centre. Les curieux bien sur, les fétichistes de tous bords ainsi que la police suspectant une activité illégale. Les explications données par le CRF (Centre de réalisation des fantasmes) sont d’une clarté totale bien que surprenante.  Il y a un monde fou !

    Centre de réalisation des fantasmes

    MESSAGE DU WEBMASTER de Fessestivites

    Un grand merci à Ecrivaillon pour ce texte mais également pour sa proposition.

    Ecrivaillon VOUS propose :

    1°) De lire ce texte
    2°) D’écrire vous aussi un chapitre comme un « témoignage » que vous pourriez publier à la suite sur notre forum ici.

    Ecrivaillon a déjà préparé la fin de l’histoire mais vous donne la possibilité avant de la publier d’y ajouter de petits chapitres que vous appelleriez « témoignage de …. ».

    A noter pour les timides :

    Comme tout est fictif, n’hésitez pas à laisser courir votre imagination.
    Tous les thèmes sont possibles ABDL, libertinage, fétichisme, BDSM, fessée, sexe, homosexualité, autres……

    Bonne lecture et à vos claviers.

     

    Centre de réalisation des fantasmes


    Le centre a mis au point une technologie innovante permettant à chacun de vivre ses fantasmes les plus fous sans intervention extérieure.

    La discrétion est totale, ce n’est en aucun cas de la prostitution. Eclatez-vous, envolez-vous dans une totale discrétion.

    Pour en savoir plus cliquez ICI

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    Cette publicité lancée sur le net il y a quelques temps a généré un gigantesque raz-de-marée sur le site internet du centre. Les curieux bien sur, les fétichistes de tous bords ainsi que la police suspectant une activité illégale. Les explications données par le CRF (Centre de réalisation des fantasmes) sont d’une clarté totale bien que surprenante.

    A partir de 200 euros (moyen de paiement à votre convenance) nous mettons à votre disposition une cabine privée avec un ordinateur vous permettant grâce à nos logiciels de programmer vos envies et désirs les plus fou. A la suite de quoi, vous êtes invités à vous mettre intégralement nu et à entrer dans une sorte de scaphandre qui se refermera sur vous et grâce à notre technologie, vous fera vivre tout ce que vous aurez programmé. Un bouton de sortie d’urgence est évidement à votre disposition.

    Les sessions peuvent être plus ou moins longues, une grille tarifaire est à votre disposition à côté de l’ordinateur.

    Exemples de réalisation de fantasmes : BDSM / libertinage / gang bang / urolagnie / ABDL / travestissement / sexe / viol/ ….. et tout ce que vous avez envie de vivre même les fantasmes inavouables.

    Attention : une séance commencée et intégralement due.

    Incompatibilités médicales : problème cardiaque / claustrophobie / problème respiratoire.

    Il est fortement conseillé de réserver à l’avance votre cabine.

    Une remise est accordée aux membres du réseau de rencontre Fessestivites.com

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    Un mois plus tard, devant le succès de cette formule, la société gérant le Centre de réalisation des fantasmes investissait à coups de million pour agrandir son centre et proposer 30 cabines. Lors d’une enquête demandée par le préfet, la première surprise des policiers venus espionner, fut de constater que de très nombreuses femmes revenaient régulièrement et mettaient en péril l’équilibre financier de leur ménage. Un public de tout âge, des jeunes aux personnes âgées se succédait dans les fabuleuses cabines du Centre de réalisation des fantasmes. Les policiers et les journalistes firent des sondages, la seule réponse qu’ils ont pu obtenir est : « c’est magique » ou « c’est extraordinaire » sans plus de commentaire la chose touchant semble t-il la pudeur.

    Convoqué par le préfet, le patron de la société refusa de dévoiler la technologie utilisée mais accepta bien volontiers d’ouvrir ses portes à la police en dehors des heures d’ouverture et de les laisser fouiner librement. Pour la technologie, le préfet ne put obtenir comme information que son dispositif permet de mettre les personnes dans l’ambiance qu’ils désirent et de vivre psychologiquement leurs envies les plus folles avec un ressenti physique identique à la réalité. Il expliqua par exemple qu’un masochiste pouvait avoir mentalement les sensations d’une séance hard chez une très cruelle dominatrice, sans pour autant avoir la moindre marque sur le corps. Le patron de la société se permit même de proposer au préfet de tester une de ses machines gratuitement en ajoutant qu’il allait pouvoir s’éclater en toute discrétion en oubliant ses fonctions. Comme l’on peut s’en douter, le dit préfet ne goutta pas son humour….


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    Témoignage d’un homme de 42 ans

    Père de famille, chef d’entreprise et sportif, mon physique ne se prête en rien à de la féminisation, mais j’ai toujours aimé la lingerie féminine. La voir et la toucher m’excite, il m’est même arrivé secrètement d’en porter le temps d’un moment de plaisir solitaire en l’absence de ma femme. Je ne suis pas gay, ni même réellement bi, mes expériences se limitent à quelques jeux de touche pipi dans mon adolescence. Mon fantasme récurant a très souvent porté sur la féminisation forcée et des rapports sexuels forcés avec des hommes qui se serviraient de moi. Ce fantasme restera pour moi un fantasme, si un mec me tripote je le démonte et jamais on ne me verra avec des fringues de nana.

    Le Centre de réalisation des fantasmes m’a permis de tester pour voir mon fantasme en situation quasi réelle. Lorsque je me suis enfermé dans le scaphandre en me traitant de malade mental, je ne m’attendais pas à vivre ce que j’allais vivre. Lorsque la partie gonflable a commencé à recouvrir la totalité de mon corps hormis la tête pour le bloquer totalement, une très sérieuse crainte m’a envahi. La musique douce d’un autre monde diffusée dans le scaphandre m’a permis de me décontracter un peu pendant que le dispositif bloquant la tête se plaquait doucement contre mes oreilles.

    Très rapidement je me suis senti « femelle ». J’étais dans un hôtel, des femmes me forçaient à passer des bas et un porte-jarretelles puis un bustier particulier ouvert sur les seins. La particularité de ce bustier était qu’il se serrait dans le dos comme un corset. Elles m’ont ensuite passé une robe de soubrette, après réflexion, aussi impensable que cela puisse paraître j’ai aimé, je n’avais pas honte, au contraire, je me suis senti belle. Ces femmes m’ont entravé les bras dans le dos avant de me forcer à m’asseoir pour me maquiller en me traitant de grosse salope.

    Pendant cette première partie, il ne met jamais venu à l’idée de me révolter, j’étais bien, l’excitation me submergeait totalement. Je suis incapable de dire si je bandais, mes bras et mes mains ne pouvaient pas bouger, seuls mes doigts pouvaient le faire pour appuyer sur les boutons d’arrêt qu’il faut enfoncer deux fois avec les deux index pour arrêter le processus.

    Perché sur des chaussures à talon, conduit, ou conduite par les femmes dans l’hôtel, croiser des clients et clientes ne me gênait pas, je me sentais belle et désirable. Elles m’ont introduite dans un petit salon où des hommes jouaient aux cartes en annonçant « elle est à vous pour deux heures ». Les joueurs ont abandonné leurs cartes et se sont approchés de moi, leurs mains sont devenues baladeuses et me rendaient folle. Ils m’ont forcée à m’agenouiller, à sucer leurs sexes, aussi surprenant que cela puisse paraître, je faisais cela avec passion en y éprouvant du plaisir. Je crois qu’à partir du moment où le scaphandre s’est refermé sur moi, j’ai perdu le contrôle de mon cerveau car je n’avais plus la volonté de résister à rien.

    Forcée de m’agenouiller sur un canapé avec la tête par-dessus le dossier, j’ai continué de sucer des bites pendant que l’un d’eux s’est placé derrière moi. Quand son gland a commencé à fouiller mes fesses, un sursaut de virilité m’a poussée à résister mais entre leurs mains, je n’ai rien pu faire pour lui résister. Au début j’ai eu mal quand il m’a forcée mais cela n’a pas duré. Très rapidement le tigre est devenu tigresse puis chienne en chaleur. Je sais que ce que je viens de dire est totalement illogique mais c’est vraiment ce que j’ai vécu, ou du moins ressenti. Que dire si ce n’est que c’était divinement bon ?

    Dans tous les sens possibles et imaginables, ils m’ont prise malgré mes suppliques car au bout d’un moment j’étais épuisée mais il n’en avait que faire, j’étais à eux pour deux heures. Quand l’un d’entre eux s’est masturbé devant mon visage en m’ordonnant d’ouvrir la bouche, mon subconscient me criait « non », mais ma bouche s’est ouverte. Pendant qu’un homme me défonçait le cul, celui qui se branlait devant moi a soudain enfoncé sa bite dans ma bouche pour y déverser sa semence. Un haut-le-coeur m’est venu mais le sperme avait un goût de miel. Je l’ai bu en le suçant son sexe pour aller en chercher les dernières gouttes comme si ma vie en dépendait. Devant ma boulimie de sperme, ils m’ont traitée de sac à foutre, cela ne m’a pas gênée, j’aimais ça. Ils m’ont abandonnée quasiment nue couchée sur la moquette sans plus de considération. Je planais, j’étais bien, heureuse et comblée. Les femmes sont venues me chercher et le scaphandre s’est ouvert.

    Questions posées lors du témoignage 100% anonyme et de l’interview écrite faite dans le box via l’ordinateur immédiatement après la séance.

    - Avez-vous remarqué que vous êtes passée du masculin au féminin lors de votre témoignage ?

    - Non, je dois encore être dans votre scaphandre diabolique.

    - Après cette expérience, avez-vous envie de concrétiser ce fantasme ?

    - Non, c’est hors de question, par contre, mon regard sur les travestis ou transsexuelles sera différent.

    - En parlerez-vous à votre épouse ?

    - Hors de question, j’ai une image de chef de famille à respecter.

    Anonyme

    ………….

    Témoignage d’une femme de 31 ans mère de famille

    Le fantasme du viol me suit depuis mon adolescence. A cette époque, l’inconsciente que j’étais lisait le journal à la recherche de ces faits divers horribles, ma libido exacerbée faisait le reste la nuit sous ma couette. Comme mon mari est coincé du cul, j’ai abandonné l’idée de lui demander de m’attacher pour me prendre sauvagement, le jour où j’ai essayé de lui parler de mes fantasmes, il m’a traitée de folle. Pour moi, le Centre de réalisation des fantasmes pouvait me permettre de vivre secrètement et sans danger ce fantasme qui me suit depuis plus de 16 ans. Le Centre de réalisation des fantasmes devenu une obsession, je me suis souvent garée à côté pour observer les allers et venues. Les gens sortant de là affichant tous un visage radieux, j’ai fini par me décider mais j’ai payé en espèce grâce à de petites économies faites pendant trois mois, car si mon mari le sait…..

    Quand j’étais assise sur la chaise devant l’ordinateur permettant de programmer ses folies, j’ai cliqué ci et là en orientant la chose selon mes fantasmes. Seule et face à moi-même j’étais aussi gênée qu’excitée. A la question sur « où pourrait se dérouler votre fantasme» j’ai répondu au stade de foot, d’autres questions ont suivi, j’y ai répondu avec franchise et une grosse part de délire érotiques.

    Je mouillais déjà quand je suis entrée dans le scaphandre tant j’étais excitée. Cela m’a fait tout drôle quand mon corps a été recouvert par la combinaison gonflable hormis la tête. une musique douce et relaxante m’a permis de me décontracter un peu pendant que se plaquait le dispositif sur mes oreilles en me bloquant la tête.

    Soudain, je me suis retrouvée au stage, le match de mon fils âgé de 8 ans commençait. Le petit dernier de mon amie ayant disparu, nous nous sommes mises à le chercher, chacune de son côté. Je me suis aventurée sans aucune crainte dans le vestiaire des hommes en leur demandant s’ils avaient vu un enfant quand ils ont décidé de refermer la porte puis de la bloquer avec une armoire à casier. J’ai pris peur, je les ai suppliés mais en vain, ils s’amusaient à me pousser vers l’un ou vers l’autre quand soudain, l’un d’eux m’attrapée à bras le corps. Mes coups de pieds n’ont servi qu’à une chose, leur permettre d’attraper mes jambes. Adossée contre celui qui m’avait attrapée, les jambes maintenues écartées quand l’un d’entre eux a plaqué sa main entre mes cuisses j’ai compris que j’allais y passer. « On ne va pas te faire de mal », disaient-il, « juste te baiser et te faire jouir par tous les trous » qu’elle horreur !

    En un rien de temps ils m’ont mise nue et portée sur une table de massage pour jouer avec « mes tétines » comme ils disaient en fouillant mon sexe sans plus de précaution. Au fur et à mesure, leurs attouchements très savants comme s’ils me connaissaient intimement, m’ont perturbée, j’ai arrêté de me débattre. Les jambes maintenues en V avec les fesses au bord de la table, je n’ai rien pu faire pour éviter mon viol. Le plus grand, beau comme un dieu a mouillé mon vagin avec de la salive et m’a prise tout de suite. Quand son sexe s’est enfoncé en moi, je l’ai maudis quelques instants avant de sombrer dans les sensations diaboliques d’une possession virile. Avec les seins pincés, malmenés et sous ses coups de butoir, ma volonté s’est envolée, toute honte bue, j’ai pris en bouche le sexe qu’un des sportifs a présenté à ma bouche en me tenant la tête. Ils étaient six à se relayer en moi pour me propulser dans le monde « sexe » et m’arracher des cris de plaisir.

    Ils se sont attaqués ensuite à mon petit trou n’ayant connu que quelques amants dans ma prime jeunesse, mon mari trouvant ça sale. Ce fut titanesque, la possession infernale me propulsa au septième ciel en un rien de temps. J’avais besoin de bites, de partout, ils ne me forçaient plus, je voulais du sexe. C’était pour moi une forme d’exutoire aux sensations trop fortes, j’éprouvais le besoin de m’accrocher aux sexes que je suçais pendant qu’ils me défonçaient.

    Comme dans les films que je regarde parfois sur Fessestivites, l’un d’eux s’est étendu sur le dos, les autres m’ont forcée à m’empaler sur lui, et là, un autre s’est mis en position derrière moi, j’allais connaître la double pénétration si redoutée, si fantasmée aussi. Quand il m’a prise par derrière pendant que l’autre s’agitait en moi, une forme de douleur était là, mais c'est le plaisir qui dominait quand soudain un orgasme torrentueux m’a dévastée. J’étais en transe, l’extase mystique me submergeait, mon corps tout entier était pris de spasmes nerveux lorsqu’ils m’ont déposée sur un banc.

    Ils éjaculaient sur moi et me recouvraient le corps de leur semence généreuse quand le scaphandre c’est ouvert.

    Questions posées lors du témoignage 100% anonyme et de l’interview écrite faite dans le box via l’ordinateur immédiatement après la séance.

    - Après cette expérience, avez-vous envie de vous approcher de ce fantasme dans un gang bang par exemple ?

    - Non, ce n’est pas possible, mon mari est trop jaloux, lui en parler pourrait être un désastre pour notre couple.

    - Avez-vous envie de revenir vivre d’autres fantasmes ?

    - J’ai bien peur que votre centre soit déjà une drogue pour moi.

    Anonyme


    Témoignage d’un homme de 53 ans

    Le BDSM et la soumission m’ont toujours fait fantasmer malgré mon métier que je ne vous dévoilerai pas. Mon trip est le facesitting forcé, imposé par une Maîtresse qui me donnerait son champagne à boire. Mes seules expériences en la matière se limitent à mes relations sexuelles vanilles avec ma femme qui a eu beaucoup de mal à accepter que j’aime la lécher après qu’elle ait fait pipi. Le Centre de réalisation des fantasmes m’a offert la possibilité de vivre mes fantasmes au-delà de ce que j’imaginais.

    Trop d’abondance ne nuisant pas, j’ai indiqué mes fantasmes à l’ordinateur en précisant qu’il y aurait pendant la séance trois Maîtresses pour me dominer. Sur ce coup là, j’ai franchement surévalué mes capacités même si pour me faire peur, il faut se lever de bonne heure ! Une fois installé dans la machine, j’ai éprouvé les mêmes sensations que les témoignages précédents, mais étant prévenu, j’avais hâte que cela commence.

    Sans savoir pourquoi ni comment, je me suis réveillé nu, couché dans un cachot avec des fers de bagnard aux pieds et aux mains. Une chaîne les reliant entre eux, mes mouvements étaient très limités. A ce moment là, j’ai vraiment cru que des Talibans m’avaient enlevé. Avec ce type d’entraves, me défendre était impossible, cela me rendait fou de rage et d’inquiétude. Trois femmes bardées de cuir sont entrées avec accroché à leur taille, un fouet digne des grands films SM. J’ai aussitôt essayé de parlementer avec elles, en guise de réponse, les trois coups de fouet que j’ai reçu laissèrent comme des traits de feu sur mon corps et me firent hurler de douleur. Elles m’ont obligé à marcher à quatre pattes comme un chien dans les couloirs froids au sol bétonné pour me conduire, j’en étais convaincu, à la salle de torture.

    Lorsqu’elles ont poussé une porte en vieux chêne, un magnifique donjon m’est apparu, ses équipements dignes d’une salle de l’inquisition m’ont vraiment fait peur. Elles m’ont obligé à m’étendre sur le dos dans une sorte de caisson mobile. Quand elles ont refermé le couvercle en attrapant mon sexe et mes couilles qu’elles ont bloqués à l’extérieur avec une chaîne, j’étais convaincu qu’elles voulaient m’émasculer, autant dire que je n’étais pas fier. La haut du caisson non fermé me permettait de les voir s’agiter. Une main a saisi ce qui fait de moi un homme pour commencer à s’en amuser pendant qu’une des femmes enjamba ma tête, offrant une vue imprenable sur son entrecuisse. Elle s’accroupit au-dessus de mon visage sans aucune gêne ni pudeur pour bloquer ma tête en position bien droite.

    « Si tu me mords, on t’émascule conard » me dit-elle en m’ordonnant de lui lécher les doigts. Elle les retira pour se caresser l’entrejambe avant de me les redonner à lécher. A ce moment là seulement, mon cerveau a repris conscience que j’étais dans le scaphandre du Centre de réalisation des fantasmes. Ces doigts eurent soudain plus de saveur….

    Deux petites pinces à la mâchoire sévère furent posées sur le bout sensible de mes seins, munie d'une ficelle tendue avec force, elles m’arrachèrent un cri de douleur déclenchant les rires des Maîtresses. « Chochotte, tu ne vas pas commencer à crier alors que nous ne faisons que commencer, prend ton temps ». Me dit celle m’offrant une vue imprenable sur sa féminité recouvert d’un fin voile de tissu noir. Elle s’agenouilla en plein pour poser son sexe sur mon visage en m’ordonnant d’humer les parfums de sa culotte. Ne nez entre ses fesses, j’avais un peu de mal à respirer mais motiva ma respiration en tirant sur mes tétons avec ses horribles pinces. Ses doigts, s’insinuent sous son string fermant la porte de sa plus profonde intimité qu’elle posa sur ma bouche en m’ordonnant de lécher. Dans la frénésie du moment, j’en oubliais les pinces pour déguster les lèvres intimes de cette Maîtresse fascinante et venimeuse à la fois.

    Elles poussèrent le caisson mobile dans le donjon pour me conduire sous une chaise percée.
    La seconde Maîtresse retira son string avant d’enjamber la chaise. Ses jambes divines chatoyaient sous l'effet magique de la lumière réfléchie par les crispations de ses muscles oblongs, conduisant irrémédiablement mon regard à la délicieuse partie de l’anatomie féminine. L’ordre d’ouvrir la bouche tomba comme un couperet, je m’exécutais aussitôt pour recevoir le divin champagne d’une femme quand le flot arriva soudain sur mon visage. Elle ajusta son « tir » pour me remplir la bouche. D’un seul coup, mes tétons me firent un mal de chien et mes couilles s’écrasèrent sur le caisson, avale cria l’une d’elle. Pour faire cesser les abominables douleurs je fis ce qu’elles attendaient de moi, mais trop vite. Je me suis étouffé, j’ai toussé comme un asthmatique en crise.

    A peine remis, elle finit son pipi et moi de le boire avec une attention très particulière, le pied de l’une d’elle étant toujours sur mes couilles. Sa seconde prit un entonnoir muni d’un tuyau qu’elle plaça dans ma bouche. Le cône plaqué contre son sexe, elle s’abandonna elle aussi, du tube jaillit son champagne beaucoup plus salé. La langue contre le trou du tuyau, j’essayais de doser l’arrivé de l’urine pour ne pas m’étouffer. La source s’étant tarie, elles firent rouler le caisson pour y poser une sorte de tabouret avec en son centre une cuvette fixée par de gros ressort. Quand la Maîtresse à l’entonnoir y prit place, la cuvette descendit aussitôt, son sexe encore mouillé se posa son mon visage. Accompagné d’une traction sur mes tétons, l’ordre de nettoyer ne tarda pas m’obligeant à laper pendant que ses doigts rejoignant la commissure des grandes lèvres, suivirent le sillon de chair tendre, pour parvenir son clitoris qu’elle caressa avec frénésie. Les humeurs liquoreuses ne tardèrent point à alimenter mes papilles gustatives gourmandes pendant de longues et délicieuses minutes.

    La troisième Maîtresse au visage fermé et d’une grande dureté vint ensuite poser son seant sur mon visage sans aucun meuble pour la soutenir. Si rien ne vaut un peu de transpiration, la légère moiteur d’une journée, pour que ce parfum féminin intime vous monte à la tête et vous embrase, mais là, une odeur entêtante envahit mes narines. La cruelle dégrafa son body pendant qu’une autre martyrisait avec plaisir mes bijoux de famille comme pour me rappeler ma mission. Assise sur mon visage le dos tourné à mes pieds, je voyais entre ses cuisses fuselées ses yeux fermés, elle se mordait la lèvre inférieur comme pour savourer l’agréable sensation de libération d’une vessie trop pleine. Elle m’inonda totalement le visage et la bouche sans s’arrêter pendant qu’on laminait mes précieuses et m’arrachait les tétons. Je bus tant que je pus en essayant d’éviter la noyade. Cruella puissance deux se frotta ensuite sur mon visage afin que mon appendice nasal visite ses orifices. Elle s’amusa même pendant un instant à empaler son anus sur mon nez, la tête bloquée, il m’était totalement impossible d’y échapper.

    Libéré du caisson, je fus ramené à mon cahot mais cette fois en étant conduit en laisse comme un chien. Le scaphandre s’ouvrit lorsqu’elles me poussèrent sur le dallage froid.

    Questions posées lors du témoignage 100% anonyme et de l’interview écrite faite dans le box via l’ordinateur immédiatement après la séance.

    - Après cette expérience, avez-vous envie de vous approcher de Maîtresses pour revivre ce fantasme ?

    - Je ne sais pas répondre pour l’instant, disons qu’avec ma femme, une partie du voyage que je viens de vivre ici me comblerait de bonheur. Je vais essayer de revenir à la charge sur nos libidos défaillantes pour lui proposer d’ajouter du piment dans nos pratiques.

    - Avez-vous envie de revenir vivre d’autres fantasmes ?

    - J’’en ai bien peur.

    Anonyme

    RAPPEL DU WEBMASTER : vous pouvez poster vos "témoignages" sur le forum ici cela devrait donner une sacrée suite à rebondissement.

    « Voyeurisme et exhibitionnisme : jeux et enjeux du regard »
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