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BDSM
Tags : BDSM, SM, rencontre BDSMBDSM
BDSM
BDSM quand on essaye
BDSM quand on essaye et que l’on t’aime
BDSM quand cela devient un but dans la vieLe BDSM a toujours titillé mes neurones mais ce n’était qu’un fantasme. En cachette de mon mari, bien trop réservé et pudique, sur internet j’ai trouvé de quoi alimenter ma libido, comment lui dire que j’avais de folles envies ?
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Auteur : Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites
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BDSM quand on essaye
BDSM quand on essaye et que l’on t’aime
BDSM quand cela devient un but dans la vieLe BDSM a toujours titillé mes neurones mais ce n’était qu’un fantasme. En cachette de mon mari, bien trop réservé et pudique, sur internet j’ai trouvé de quoi alimenter ma libido, comment lui dire que j’avais de folles envies ?
Comment dire à un suppléant du curé du village que l’on a envie d’être fessée, fouettée, attachée et prise de force par des hommes assoiffés de sexe sous les yeux d’un Maître prenant plaisir à m’humilier ?
Sans enfant pour cause de stérilité masculine, ma vie de femme avec Jean de 20 ans mon aîné n’était qu’ennuie. Le seigneur l’a rappelé à lui il y a 3 ans, mon deuil affectif n’a pas duré très longtemps. Quand je me suis inscrite sur Fessestivites, j’ai eu beaucoup de chance, une modératrice a guidé mes pas sur le site et dans le monde des rencontres, puis, a accepté d’être ma tutrice lors d’un pique-nique de rencontre organisé par le site. Ce week-end là, j’ai goûté au BDSM, j’ai goûté à la soumission, les personnes présentes étaient heureuses, s’amusaient sans prise de tête, personne n’avait l’air méchant.
Le fait d’être à l’opposé des clichés des donjons rouges et noirs m’a permis de faire mes premiers pas dans ce monde. Ma première fessée d’adulte fesses à l’air devant tout le monde parce que j’avais renversé mon verre, a généré en moi des envies d’aller encore plus loin. J’ai même goûté au fouet avec les mains attachées au-dessus de ma tête sous l’arbre nous ayant ombragé pendant le repas. Si j’étais attachée, je n’avais qu’un mot à dire pour que tout s’arrête, ils avaient été très clairs sur ce point. Intégralement nue, je tirais sur mes bracelets pendant que le fouet mordait ma peau et électrisait mes sens. Tout a été fait en douceur, sans violence pour me donner envie à travers ce week-end de découverte appelé « L’école du BDSM ».
Une femme soumise ronde et aux formes généreuses a lors de ce week-end vécu quelque chose qui m’a énormément impressionnée. Après avoir été fortement fouetté, attachée nue sur une table basse, elle a vécu ce qu’il appelle la jouissance forcée. Ses hurlements d’une puissance étonnante m’ont glacé le sang ! Quand je me suis décidé à entrer dans la maison pour voir ce qu’il se passait, ils étaient en train de la libérer, elle était heureuse et comblée. Pour une femme comme moi qui n’avait jamais connu la jouissance, entendre et voir ça m’a donné des envies monstrueuses.
A partir de ce jour là, j’ai décidé d’entrer dans le BDSM, il me fallait un Maître, un vrai Maître qui m’apprenne tout et me fasse vivre tout ça. Soumis Sacherm avec qui j’avais beaucoup discuté, m’a aidé à trouver mon Maître en me guidant pour trier un peu et décoder les très nombreux messages que je recevais. Merci Sacherm de ta gentillesse.
Maître T m’a reçue chez lui, j’avais une peur bleue car seule avec lui, c’était bien différent de ce pique-nique finalement très sécurisant. Il m’a posé un collier de chien autour du cou dès mon arrivée en m’expliquant que ce n’était pas un collier de soumise mais l’emblème de ma soumission et que si je désirai arrêter, je n’avais qu’à le retirer. Il a rajouté qu’en cas de souci, je n’avais qu’à dire le mot rouge, le mot de ma liberté même si j’étais attachée. Deux minutes après, j’étais couchée sur ses genoux et fessée comme une gamine. Sa fessée était douce au début, puis de plus en plus forte mais c’était bon, cela me faisait un peu mal mais qu’est-ce que c’était bon. Il m’a ensuite mise au coin comme une mauvaise élève avec ma jupe relevée, ma culotte sur les pieds et les mains derrière la tête. Je trouvais cela très humiliant mais en même temps j’étais très excitée.
Il m’avait prévenue que tout ce qu’il me ferait serait soft, son but était de me permettre de découvrir le monde BDSM, pas de m’en dégoûter. Après la fessée et le coin, il m’a ordonnée de me mettre intégralement nue et de me coucher à plat ventre sur la table. Après m’avoir bandé les yeux, il m’a fait de la bougie et du glaçon sur les fesses et le dos. J’ai crié plus d’une fois au début alors il m’a forcée à avouer que je n’avais pas mal, et il avait raison, j’avais juste peur. Les sensations du chaud et du froid se mélangeaient, c’était divin mais je me suis encore affolée quand la cire à commencé à couler entre me fesses. Sa voix grave et ses paroles apaisantes m’ont permis de surmonter cette épreuve et finalement d’y trouver beaucoup de plaisir. Heureusement que je n’ai pas vu le gros couteau qu’il a utilisé pour retirer la cire, sans quoi je me serais enfuie ! Quand la lame froide glissait sur ma peau pour retirer la bougie fondue, je planais sur un nuage, même quand il a écarté mes fesses pour retirer avec le couteau et ses doigts cette bougie coquine. Hormis mon gynécologue, personne n’avait encore vu mon cul d’aussi près.
J’ai eu envie de faire pipi, quoi de plus naturel me direz-vous, sauf que c’est Maître T et en BDSM, cela prend une connotation particulière, une soumise n’ayant pas le droit d’avoir d’intimité pour quelque chose d’aussi naturel. Il était face à moi et me regardait assise sur les toilettes. Je n’y arrivais pas, être regardée dans un moment pareil me bloquait. Il est resté d’un calme olympien et me souriait mais impossible d’y arriver. Il m’a abandonnée deux minutes en m’interdisant de bouger et de faire pipi en son absence pour aller chercher une serviette remplie de glaçons qu’il a posé sur mes cuisses contre mon ventre avant de prendre une chaise et de s’asseoir en face de moi. J’étais blême et lui follement amusé. Entre ma grosse envie et le froid des glaçons puis les gouttes d’eau glacée collant contre les lèvres de mon sexe, j’ai fini par y parvenir. Une fois commencé, tout est parti très vite et sans plus aucune retenue, j’étais fière. Troublée, dans une position humiliante mais fière parce que je venais de parvenir « à vaincre un tabou » comme me l’avait expliqué Maître T.
Pour fêter ça, il m’a faite asseoir par terre à côté de la table basse sur une serviette et a ouvert une bouteille de champagne, après toutes les premières émotions vécues avec lui, les bulles ont achevé ma pudeur et mes réticences. Comme j’avais fermé la porte aux aiguilles, à l’uro et à la scato mais pas au sexe, lorsque nous sommes arrivés à la moitié de la bouteille, il a trempé son gland dans sa coupe de champagne et m’a ordonné de venir le sucer. Alors j’ai fait comme sur les photos et dans les films, c’était ma première fellation. La douceur de la peau de son sexe dur m’a follement excitée, j’avais déjà envie de lui en moi, envie d’être sa chose. Le plus naturellement du monde, je lui ai indiqué que j’avais envie de lui, sa réponse fut dès plus sadique : « cela se mérite » !
Nous avons achevé la bouteille de champagne, pendant qu’il m’expliquait ce qu’il allait faire. Son but était de me faire connaître la jouissance dans l’abandon total. Quand je lui ai demandé pourquoi il avait besoin de m’attacher, sa réponse m’a surprise : « c’est pour que tu te libères encore plus ». Je n’ai compris le sens de ses mots qu’une fois entravée nue bras et jambes en croix sur son lit quand il s’est attaqué à mon sexe avec un gode vibrant et un truc vibrant diabolique pour mon clitoris. Ma retenue s’est envolée en même temps que je tirais comme une folle sur les entraves. Ma première jouissance de femme a donc été une jouissance de femme soumise attachée. C’était divin, je me souviens lui avoir dit « attendre d’avoir 40 ans pour découvrir ça ….. »
Toujours aussi respectueux, il m’a demandé s’il pouvait me prendre, comment refuser ???????
Il n’a pas fait comme mon mari qui a été mon seul et unique homme, il ne s’est pas juste servi de moi comme réceptacle. Ce sadique s’est amusé à me rendre folle en jouant à la porte de mon sexe sans pour autant me prendre. Au bout d’un moment j’ai craqué en lui criant de me prendre, moi qui était si timide avant.
- On dit baiser, on dit acceptez de me baiser Maître j’ai envie de vous ! M’a indiqué Maître T avec un sourire sadique posé sur ses lèvres.
J’ai dit ce qu’il désirait et les mots crus qui ne sont pas de mon vocabulaire, j’avais trop envie de lui. Ce fut divin d’être sa chose et horrible de ne pas pouvoir le serrer dans mes bras. En luttant dans les entraves pendant son va et vient soutenu je me suis effectivement libérée, la femme s’est libérée pour oublier la retenue, le mot « baiser » j’ai du le dire au moins 20 fois car j’avais l’impression que plus je le disais, plus il accélérait, plus c’était bon.
Quand tout c’est arrêté, j’étais morte de fatigue mais sur une autre planète, la planète nommée « bonheur ». J’étais si heureuse que je me suis mise à pleurer en me lovant dans ses bras et en serrant fort contre moi une fois libérée.
BDSM avec toi et Maître T, j’ai découvert la vie, le plaisir, la jouissance, ma vie vient de prendre un virage à 180°, je suis maintenant la soumise de Maître T et heureuse de l’être.
EcrivaillonRéagissez à cet article
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