• Emprisonnée au mur de baise

    Auteur Ecrivaillon

    A l’attention du lecteur. Ce vieux texte hard écrit à l’époque des groupes Mots n’est pas consensuel, il n’est pas destiné aux âmes sensibles.

    Alex a trouvé une astuce pour faire tourner son club de nuit : offrir des femmes !

    Emprisonnée au mur de baise

    Auteur Ecrivaillon

    A l’attention du lecteur. Ce vieux texte hard écrit à l’époque des groupes Mots n’est pas consensuel, il n’est pas destiné aux âmes sensibles.

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    Alex a trouvé une astuce pour faire tourner son club de nuit : offrir des femmes !

    Les clients ne les voient pas réellement, ils ne voient que leurs jambes et leur intimité offerte. Le renard chassant loin de son terrier, elles sont enlevées dans les départements voisins et endormie au chloroforme pour les faire taire pendant le trajet. Lucie est l’une d’entre elle. Enchaînée par le cou comme une bête dans une cave, âgée de 24 printemps, cette étudiante en médecine se désespère et attend son heure convaincue de mourir sous peu.

    Lorsque Alex ouvre la porte de la cave, elle n'arrive pas à concevoir ce qu'il lui arrive, elle ne peut pas admettre ce qui va se passer. Par prudence il est toujours cagoulé, ce qui ne permet pas à Lucie de connaître son visage. A son approche, elle se recule contre le mur couvert de salpètre et se met à crier.

    - Je te conseille de ne pas crier trop tôt !! Tu as bien le temps !! Lui dit Alex toujours très calme même quand elles se débattent.

    Il lui tend un bâillon et lui demande de le mettre puis lui donne une cagoule afin qu’elle ne puisse reconnaître les lieux, la tuer l’ennuierait, ce n’est pas son truc. Rapidement menottée, elle se laisse guider à l’aveugle dans les escaliers où elle butte sur les marches inégales. Arrivée dans la pièce des horreurs, Lucie est étendue sur le dos à même une solide planche de bois posée à 80 centimètres du sol sur des barreaux d’acier. Une chaîne autour de son buste vient compléter le dispositif pour l’entraver et lui ôter toute possibilité de fuite.

    La planche et Lucie sont ensuite poussés à travers un trou fait dans un premier mur de placoplâtre insonorisé par de très épaisses couches d’isolants pour étouffer ses cris, précaution supplémentaire car de l’autre côté, la musique doit en principe couvrir les plaintes et hurlements. Alex sort de la pièce pour faire le tour et entrer dans son club avant de se diriger vers le mur de baise situé dans un box près des toilettes. C’est bien pense t’il la petite n’a pas bougé.

    Il se saisit des pieds de l’étudiante et la tire fortement d’un seul coup à travers le mur de brique. Habitué aux gestes de défense il plaque aussitôt une jambe contre le mur avec son épaule pendant qu’il entrave la jambe droite avec des bracelets qu’il cadenasse. Ces bracelets sont doublés avec de la fourrure pour faire croire à ses clients qu’il prend soin des filles. L’autre jambe subit le même sort. A ce stade, il ne lui reste plus qu’à découper le fin rempart de tissu protégeant l’intimité de l’étudiante et à pousser sa jupe derrière la cloison.

    Les clients ne verront de Lucie que ses jambes attachées en V contre le mur et son intimité offerte. L’imagination perverse d’Alex lui a permis de concevoir une sorte de glory hole où ce n’est pas le sexe de l’homme qui entre dans le trou, mais seulement l’intimité de la fille qui dépasse. Au dessus de son horrible dispositif il est écrit en gros :

    Cette salope ne vous a fait aucun mal, merci de ne pas la blesser.
    Le préservatif est obligatoire
    Merci de jeter vos préservatifs dans la poubelle prévue à cet effet.

    Alex revient dans la salle des horreurs pour finir de combler le trou du mur afin qu’un client trop curieux ne puisse apercevoir les entraves. Lucie pleure à chaudes larmes, supplie mais en vain, il n’a que faire de ses suppliques. Une fois son travail d’isolation achevé, il sort de la pièce et coupe la lumière.

    21h le club ouvre ses portes, le videur monte la garde devant la porte, rappelant aux clients de par sa présence qu’en ces lieux le respect est obligatoire comme indiqué sur la porte. L’entrée de son club est à 40 euros avec une consommation. Les premiers clients entrent et viennent chercher leur conso avant de s’étaler sur les banquettes face à la scène où une fille viendra dans un moment s’exhiber à la barre. Un des habitués ne tard pas à se rentre aux toilettes puis à bifurquer vers le box maudis. Il palpe les merveilles avec douceur, comme pour faire connaissance avant d’ouvrir sa braguette pour en sortir son sexe bandé et de passer un préservatif.

    Lucie hurle, la musique assourdissante et son bâillon couvre ses cris. Ses vaines tentatives de fuite sous les mains odieuses ne servent à rien, ses jambes ne bougent pas de plus d’un demi centimètre. Des doigts parcoururent la toison d'or et s’incrustent dans ses chairs intimes arrachant à Lucie des plaintes et des larmes de désespoir. Constatant qu’elle est sèche, le client prend du lubrifiant au distributeur à savon devenu distributeur de lubrifiant qui est vissé au mur.

    Il joue d’une main avec sa fourrure intime pendant que l’autre lubrifie ses lèvres et sa chatte on ne peut plus offerte. La malheureuse serre les cuisses par réflexe pour se soustraire à ces attouchements mais en vain.

    Elle sent une verge s'ajuster sur sa vulve à la recherche de l’entrée de son nid d’amour. Le gland l’ouvre, l’écarte et la remplit soudain sans plus de précaution. Lucie ne peut retenir un cri de douleur inaudible sous l'assaut du bélier de chair dure et brûlante. Sous l’effet de la saillie sauvage elle hurle silencieusement sa rage et son désespoir. Lucie sait maintenant qu’elle est moins qu’une fille à plaisir, elle est devenue un simple objet à satisfaire les hommes. Ses frêles jambes écartées lutent encore mais en vain.

    Un autre homme ne tarde pas à arriver, il ajusta son sexe face à la vulve offerte puis la pénètre sans autre formalité. Lucie subit les assauts et coups de butoir depuis plus d'une demi heure quand elle prend conscience que rien ne lui sera épargné. Un nouveau contact la fait frémir des pieds à la tête. Un doigt touche son anus et la pénètre à sec générant d’horribles douleurs. L’homme met un peu de lubrifiant, pose son Priape au centre de l'orifice étroit et se met à forcer cette petite ouverture encore vierge. Le rectum s’élargit à outrance arrachant à sa propriétaire de hurlement de douleur. D’une seule poussée il s’enfonce dans l’anus vierge et contracté. Lucie pousse un cri de bête forcée en se débattant inutilement dans ses entraves sans pouvoir se dérober à l’intrusion de la bite féroce.

    Complètement rompue par le désespoir elle se laisse tout entière aller au rythme du ballottement ignoble des hommes venant se servir du réceptacle humain. L’intimité vulnérable de Lucie haletante est en feu. Ses poignets agités de vaines contractions, rythment le martèlement quasi continuel jusqu’à une heure du matin, un horaire imposé par la préfecture.

    Après avoir fait sa caisse et fermé le club, Alex libère Lucie qui est quasiment inconsciente. Esclaves sans âme ni raison elle le laisse nettoyer et soigner ses orifices en feu et reconduire à la cave sans aucune réfutation, elle n’en a plus la force.

    ………………..

    Le club est sous la surveillance de la police depuis quelques temps car il y a toujours quelqu’un pour parler. Alex a répondu au policier en civil venu comme un client et qui n’a fait que mimer une pénétration, que les filles sont soit des salopes en manque de baise hard soit des soumises sexuelles mise en pâture par des Maîtres par plaisir ou en guise de punition. Au quartier général de la PJ, même si l’on sait que cela existe dans le monde libertins et BDSM, qu’Alex ait autant de contact génère des questions tout comme le fait qu’on ne voit pas sortir les filles après la fermeture hormis la danseuse. Un rapprochement est fait entre les enlèvements et ce que racontent les filles totalement désorientées ou devenues folles que l’on découvre ces derniers temps dans les départements voisins.

    Le procureur et le préfet alertés dans la nuit donnent l’ordre d’investir les lieux. Le GIGN investit simultanément le club et le domicile d’Alex à 6h01. Alex tiré de son sommeil par l’alarme infrarouge de sa propriété se barricade et tire sur les policiers. Prévenu par radio que le résultat de l’intervention est tristement positif, le préfet donne carte blanche au GIGN. Deux minutes plus tard, par chance ou malchance pour Alex, la balle à destination de son cerveau se dévie en traversant le triple vitrage et lui arrache la moitié de la main droite. Il est donc interpellé et transporté sous bonne garde au centre hôtelier.

    Un mois plus tard, Alex est incarcéré à la maison d’arrêt de Fresnes en attendant son procès. Le père de Lucie étant gardien de prison dans une autre maison d’arrêt de la région parisienne, la solidarité fonctionne pour rendre la vie d’Alex particulièrement odieuse. Les détenus sont parfois de véritables sauvages mais lorsqu’ils apprennent qu’un pédophile et violeur d’enfants et dans les murs, la vie du détenu accusé de ces horreurs est un véritable calvaire et ne tient qu’à un fil. Ales nie, c’est faux, elles étaient toutes majeures mais on ne le croit pas. Il ne connaîtra pas la honte du jugement il a été retrouvé mort une semaine plus tard avec son propre sexe dans sa bouche.

    Ecrivaillon

    « Ma chef se découvre nurse sadique Chasteté mon rêve s'est enfin réalisé »
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